1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 auvegarder, avant tout autre principe. Jusqu’ici, rien d’original dans cette conception simpliste du monde, qui n’est en rie
2 cette conception simpliste du monde, qui n’est en rien différente de celle de l’Action française ; remarquons toutefois cett
3 mot de ralliement, paradis à l’ombre des épées. Rien de moins artificiellement moderne que ce lyrisme sobre et prenant : «
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
4 connu l’atmosphère particulière à ces rencontres. Rien de plus aéré, au moral comme au physique. Chacun dit ce qu’il pense s
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
5 rt. L’important, c’est de ne pas se défaire. Mais rien n’était résolu. Me voici devant quelques problèmes dont je sais qu’il
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 que cela m’intéresse au fond : les faits-divers, rien de moins divers. Mais je suis pris dans l’absurde réseau des lignes,
7 caracole, éclabousse, ils n’y comprendront jamais rien , écoutez-les, comme ils me jugent et leurs cris indignés qui couvrent
8 . Et de cette nuit peut-être, je ne saurai jamais rien … (sinon qu’au lendemain je n’avais plus un sou). Je n’ai jamais revu
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
9 sez singulier. Nos artistes, en effet, n’ignorent rien des courants les plus modernes, et sont bien situés pour n’en prendre
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
10 très moderne. Il n’y avait dans toute sa personne rien de positivement démodé ; je n’eus même pas le sentiment de quoi que c
11 l’Opéra, Gérard de Nerval et moi, sans nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se connaissent depuis si longtemps qu
12 vous savez, « les autres » n’y comprennent jamais rien , dès qu’on aime… Oh ! cette femme ! elle n’était qu’un regard, un cer
13 que l’Orient est devenu fou. Il ne comprend plus rien . » Des bugles agonisaient, aux dernières mesures d’un tango. Notre en
14 t n’en buvait pas moins. « Pourquoi vous ne dites rien  ? » fit-elle d’un ton de reproche, évidemment scandalisée par cette a
15 je sais lire les signes. » Comme je ne répondais rien  : « Avez-vous sommeil ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié
16 ans la nuit froide. Gérard ne disait presque plus rien  ; à peine, de temps en temps, s’il parlait à voix basse à son homard,
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
17 ’ils ne peuvent donner… D’ailleurs on ne lui doit rien , n’est-ce pas ? Il en tombe d’accord ; accepte d’attendre comme un en
18 (Ces jeunes gens ne veulent pas se fatiguer pour rien .) Cette histoire idiote, d’ailleurs vraie, se borne à décrire l’aspec
19 nce glaciale de l’évidence. Un jour, à propos de rien , Stéphane pense avec fièvre : « Il faudrait briser tous les miroirs.
8 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
20 et mai et juin sont lointains, Je ne suis plus rien , je n’aime plus vivre. Il y avait encore plus de paix que maintenant
21 ur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçonnent jamais rien  ? Ou bien, peut-être, seulement, quand l’amour leur donne une petite
9 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
22 ntre eux pendant que tes yeux s’ouvrent n’attends rien d’autre qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends les mains au ve
10 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
23 faudrait donner une œuvre. Il faudrait créer, si rien n’existe qui vaille qu’on s’y dévoue. Mais quoi ! cela peut vous mene
24 t le tour des galeries du Lido : bien décidé à ne rien acheter qui mette en péril le budget mensuel. Ô sens de la mesure ! (
11 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
25 é apparente nous fascine. Un fantôme ne manifeste rien d’autre que la qualité du regard qui le perçoit. Dis-moi qui te hante