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a pourtant fallu la justifier, ce qui n’a pas été
sans
quelques tours de passe-passe de logique, admirablement masqués d’ail
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r avant pour les milieux d’ouvriers noirs au Cap.
Sans
toucher à des questions de partis, avec une passion contenue d’hommes
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oral comme au physique. Chacun dit ce qu’il pense
sans
se préoccuper d’être bien pensant et les Romands recouvrent l’usage d
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s limites. Ma liberté est de les porter plus loin
sans
cesse, de battre mes propres records. De ce lent effort naît une mode
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le débat de ma vie : comment surmonter un malaise
sans
cesse renaissant, comment m’adapter à l’existence que m’imposent mon
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s lyriques. Une œuvre d’une seule coulée, presque
sans
intrigue, sans cette orchestration de thèmes qui faisait la richesse
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œuvre d’une seule coulée, presque sans intrigue,
sans
cette orchestration de thèmes qui faisait la richesse du Songe, mais
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ent. À l’inverse de tant d’autres qui s’analysent
sans
fin, avant que d’être, Montherlant impose un tempérament lyrique d’un
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e pavé qui exhalait sa chaleur, au long des quais
sans
bancs pour notre lassitude. Florence s’éloignait derrière nous qui su
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, ô mélodieuse lassitude. Vivre ainsi simplement.
Sans
pensée, perdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature… L’
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ière nous, les arbres se brouillent dans une buée
sans
couleurs, nous quittons un mystère à jamais impénétrable pour l’homme
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e volupté de sentir l’esprit se défaire et couler
sans
fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante va
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— pour infuser dans nos corps charmés d’un repos
sans
rêves une langueur dont on ne voudrait plus guérir… Mais nous voyons
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es hommes-qui-font-des-gestes. Les autos répètent
sans
fin les notes mêlées d’une symphonie qui va peut-être composer tous l
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puis s’avança lentement vers la mienne et s’assit
sans
paraître me voir. Une grande figure aux joues mates, aux yeux clairs.
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ainquit ma timidité, je pris les dés et les jetai
sans
hésiter. Il compta de nouveau, puis avec une légère exaltation : — Vo
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plissaient d’une joie inconnue. Et je me refusais
sans
cesse aux questions qu’en moi-même posait ma raison effarée. L’étrang
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emercier. Vois quels chemins de perdition j’ouvre
sans
cesse à ta course aveugle ; tu n’aurais pas trouvé ça tout seul, avec
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faillites morales et douleurs d’amour — ô vertige
sans
prix du lâchez-tout ! Ils ont inventé les caisses d’épargne, monument
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e, soudain plein de mépris et de désespoir, ô vie
sans
faute, vie sans joie… Ah ! plus amère, plus amère encore, saurai-je u
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de mépris et de désespoir, ô vie sans faute, vie
sans
joie… Ah ! plus amère, plus amère encore, saurai-je un jour te désire
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s plans ne tue pas un certain mystère. Cette cour
sans
issue, cette tulipe bizarre, cette tête prisonnière qui regarde aille
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ttendre de ce tempérament qui fait jaillir en lui
sans
cesse des possibilités imprévues. Il y a un côté « homme de la Renais
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. Celui-ci s’était égaré en avant, très en avant,
sans
s’en apercevoir, peut-être. Il suivait son petit bonhomme de chemin s
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eut-être. Il suivait son petit bonhomme de chemin
sans
se douter qu’il avait pris quelques années d’avance sur ses contempor
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e souvenir de Charles Harder, qui est mort jeune,
sans
avoir pu donner toute sa mesure. Il a laissé surtout des dessins, d’u
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ous sortîmes de l’Opéra, Gérard de Nerval et moi,
sans
nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se connaissent depuis
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le illusoire est la plus douce à mes vagabondages
sans
but. Vous savez, je lance mes filets dans l’eau des nuits, et quelque
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nous arrêtâmes. Au léger sifflement du bec de gaz
sans
manchon qui éclairait la boutique, et que le vent menaçait d’éteindre
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lais, descendaient les invités du bal. Des femmes
sans
chapeau couraient vers les voitures, les hommes s’inclinaient pour de
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nt je suis seul à redescendre au jour dans l’aube
sans
refuges… VI Prisonnier de la nuit mais plus libre qu’un ange prison
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comme dit M. Charly Clerc ; des révolutionnaires
sans
idéal et sans puissances de mythe ; des philosophes sans pente ni gra
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Charly Clerc ; des révolutionnaires sans idéal et
sans
puissances de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je me
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éal et sans puissances de mythe ; des philosophes
sans
pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs inso
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es certains sophismes et ce « badinage mystique »
sans
l’accompagnement desquels, semble-t-il, nul Français ne saurait accep