1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 radictoires ; au gré du temps, d’un sourire, d’un sommeil , tant de bonheurs ou de dégoûts étranges viennent m’habiter ; je ne s
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 èches… Puis la brume est venue comme une envie de sommeil . Une lampe dans la maison blanche nous a révélé proche la nuit. Nous
3 ir l’esprit se défaire et couler sans fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguement heureuse d’ê
4 fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguement heureuse d’être pliée au vent qui ne parle jamais
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 ignes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil  ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très
4 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
6 ur lui-même il se perd en méditations éléates. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se voir : il est laid. Lâchement il s
5 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
7 re côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La perfection