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radictoires ; au gré du temps, d’un sourire, d’un
sommeil
, tant de bonheurs ou de dégoûts étranges viennent m’habiter ; je ne s
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èches… Puis la brume est venue comme une envie de
sommeil
. Une lampe dans la maison blanche nous a révélé proche la nuit. Nous
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ir l’esprit se défaire et couler sans fin vers un
sommeil
à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguement heureuse d’ê
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fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un
sommeil
de plante vaguement heureuse d’être pliée au vent qui ne parle jamais
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ignes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous
sommeil
? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très
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ur lui-même il se perd en méditations éléates. Le
sommeil
l’en délivre. Au matin il court se voir : il est laid. Lâchement il s
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re côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce
sommeil
« dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La perfection