1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 l’antinomie de l’esprit catholique et de l’esprit sportif . « On se fait son unité comme on peut », avoue-t-il franchement. Il m
2 ’une fermeté presque brutale parfois, un style de sportif , mais qu’on sent humaniste et poète, un style à la fois bref et chaud
3 e). Enfin, enseignement plus général de la morale sportive  : « la règle de rester en dedans de son action, application de l’imme
4 on, car la faiblesse est le péché capital pour le sportif . Or c’est la faiblesse « qui fait lever la haine ». « La faiblesse es
5 nt sera de voir ce qu’il sacrifiera, de la morale sportive ou de la morale jésuite. Mais enfin, voici un homme, et non plus seul