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er et du bourgeois. Dernièrement, il abandonna le
stade
et rentra dans le monde où nous vivons tous. Écœuré du désordre génér
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de Montherlant son admirable lyrisme de poète du
stade
. En un style d’une fermeté presque brutale parfois, un style de sport
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calme » des « grands corps athlétiques ». Sur le
stade
au soleil se déploient les équipes, et l’équipier Montherlant les con
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apitaine. » Ces choses ne sont pas dites en vain.
Stades
que parcourent de jeunes et purs courages, donnez-moi votre silence j
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de soi-même. ⁂ M. de Montherlant, qui a quitté le
stade
, se rendra mieux compte à distance de la contradiction sur laquelle e