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oriques et abstraites. De cette époque datent des
toiles
comme le Souvenir de l’Évêché. Décors et personnages semblent d’une m
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es jardins de sourires qui s’épanouissent sur les
toiles
de Meuron. Il semble toujours qu’il peigne entre deux pluies. Il aime
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On a pourtant l’impression, à voir ses dernières
toiles
, d’une plus grande certitude intérieure. Les visages sont plus calmes
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Il atteint son équilibre et sa maîtrise avec une
toile
comme le Potier. Si la couleur n’est pas encore aussi plantureuse que
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ier, pêle-mêle avec les siens. Vous retournez une
toile
appuyée au mur, c’est un Renoir… Retournez-en une autre, ce doit être