1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 oriques et abstraites. De cette époque datent des toiles comme le Souvenir de l’Évêché. Décors et personnages semblent d’une m
2 es jardins de sourires qui s’épanouissent sur les toiles de Meuron. Il semble toujours qu’il peigne entre deux pluies. Il aime
3 On a pourtant l’impression, à voir ses dernières toiles , d’une plus grande certitude intérieure. Les visages sont plus calmes
4 Il atteint son équilibre et sa maîtrise avec une toile comme le Potier. Si la couleur n’est pas encore aussi plantureuse que
5 ier, pêle-mêle avec les siens. Vous retournez une toile appuyée au mur, c’est un Renoir… Retournez-en une autre, ce doit être