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Barrès. Le rapprochement est peut-être prématuré,
tout
au plus peut-on dire qu’à l’heure présente déjà, son œuvre, comme cel
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la vérité. Dès son premier livre, il s’est montré
tout
entier, il a bravement affirmé son unité. Car le temps n’est plus, où
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doctrine de M. de Montherlant, qui en est sortie
toute
formée et casquée pour la lutte de l’après-guerre. ⁂ Deux philosophie
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urras, est ce qu’il importe de sauvegarder, avant
tout
autre principe. Jusqu’ici, rien d’original dans cette conception simp
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rs par des façons cavalières un peu intimidantes.
Toute
une partie du Paradis à l’ombre des épées 1, son dernier livre, est c
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able : « Ces simplifications valent ce que valent
toutes
les simplifications, qu’on les appelle ou non idées générales, et j’a
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e sauvage et déloyale, la morale d’équipe devient
toute
la morale, et les qualités indispensables au bon équipier deviennent
8
e monde ancien : La moitié est plus grande que le
tout
». Le sport comme un apprentissage de la vie : tout servira plus tard
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ut ». Le sport comme un apprentissage de la vie :
tout
servira plus tard : Ô garçons, il y a un brin du myrte civique tress
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uipe. Le cœur connaît la présence muette et sûre.
Toutes
ces choses ne se font pas en vain. Le chef se dresse entre les dix qu
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échauffer sur de la précision. » On évitera ainsi
tout
niais romantisme. Je sais bien ce qu’on objectera : le sport ainsi co
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ormez des jeunes filles assez fortes pour pouvoir
tout
lire, et il n’y aura plus besoin de roman catholique. » C’est ce qu’o
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rmer avec d’autant plus de force que « en situant
tout
le devoir chrétien dans l’accomplissement scrupuleux, joyeux et fidèl
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météorologiques du succès d’une telle rencontre :
tout
alla froidement jusqu’à ce que la bise tombée permît à « l’atmosphère
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racle, c’est l’esprit d’Aubonne. C’est ce miracle
tout
ce qu’il y a de plus protestant — mais oui, M. Journet — et je ne cro
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s qu’en terre romande. C’est l’esprit de liberté,
tout
simplement. Mais précisons : c’est bien plus que la liberté de défend
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rare qu’on ne pense, à Aubonne on se sent prêt à
tout
lâcher pour une vérité nouvelle, on tient moins à convaincre qu’à se
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es sur le doute, le modèle des réponses désirées.
Tout
cela, c’est l’atmosphère de la chapelle où ont lieu travaux et médita
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nriod debout sur un tronc coupé n’eut pas trop de
toute
sa souplesse pour maintenir l’équilibre des discussions et de sa prop
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crire à la brochure de la conférence3 pour savoir
tout
ce que je n’ai pas dit dans ces quelques notes. 3. Il suffit encore
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suis-je ? Par ces trois mots commence le drame de
toute
vie. Ha ! Qui je suis ? Mais je le sens très bien ! je sens très bien
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rer, était-ce ma fatigue seulement qui me rendait
toutes
choses si méticuleusement insupportables, si cruellement présentes et
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is. Mais en même temps que je le découvrais, dans
tout
mon être une force aveugle de violence s’était levée. Ce fut elle qui
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istingue plus de l’animal. Louée soit ma force et
tout
ce qui l’exalte, et tout ce qui la dompte, tout ce qui sourd en moi d
25
. Louée soit ma force et tout ce qui l’exalte, et
tout
ce qui la dompte, tout ce qui sourd en moi de trop grand pour ma vie
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t tout ce qui l’exalte, et tout ce qui la dompte,
tout
ce qui sourd en moi de trop grand pour ma vie — toute ma joie ! » Ce
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t ce qui sourd en moi de trop grand pour ma vie —
toute
ma joie ! » Ce n’était plus une douleur rare que j’aimais dans ces b
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peut-être arriverai-je à la vouloir, et c’est le
tout
. S’il est une révélation, c’est en me rendant plus parfait que je lui
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Sur moi d’abord. Il ne faut plus que je respecte
tout
en moi. Je ne suis digne que par ce que je puis devenir. Se perfectio
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de me replacer dans le sens de ma vie ; de rendre
toutes
mes forces complices de mon destin. D’abord donc, choisir Mes instinc
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t oublier, d’où cette fatigue générale qui fausse
tout
, et qui s’oppose au perfectionnement de l’esprit, puisqu’elle ne perm
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jouir, en même temps que ma puissance d’agir. Que
tout
cela s’agite sur fond de néant, je le comprends par éclairs, mais une
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des phrases qu’il ne faut pas encore comprendre —
tout
est si fragile —, mais je sais quelle légèreté puissante, quelle conf
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tendancieuse. 5. Quant à adhérer à une doctrine
toute
faite, ce me semble une dérision complète. Je m’étonne qu’après tant
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ndre les excommunications et les intransigeances.
Toutes
les aspirations me paraissent légitimes chez d’autres, même celles qu
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in du tableau des ruades, des chevaux qui partent
tout
droit, la tête dressée, des vachettes qui se mordillent et se frôlent
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aud, cochon, saligaud ! » Il l’apostrophait ainsi
tout
bas, sur un ton révérenciel, et comme on déroule une litanie. Sous le
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peut penser ce qu’on veut de ce paganisme exalté,
tout
ivre de la fumée des sacrifices sanglants. Pour ma part, je le trouve
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à de quoi faire oublier des défauts qui tueraient
tout
autre que lui. Certes, il ne soulève directement aucun des grands pro
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lle attitude agace des gens qui se soucient avant
tout
de trouver des réponses de l’intelligence ou de la foi aux inquiétude
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e tristesse. Seule une maison blanche est arrêtée
tout
près de l’eau. Mais ce n’est pas d’elle que vient cette chanson jamai
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eintes du char, l’Italie des poètes… Mais ce pays
tout
entier pâmé dans une beauté que saluent tant de souvenirs n’a d’autre
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u, puis perdent dans la nuit leurs lignes graves.
Toutes
ces formes devinées dans l’espace nous environnent d’une obscure conf
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que je savais très clairement que je gagnerais à
tout
coup. L’étranger se mit à discourir. Et dans mon ivresse, ses paroles
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e à ta course aveugle ; tu n’aurais pas trouvé ça
tout
seul, avec tes airs pessimistes. De nouveau, d’un coup de dés, je bou
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egarde avec inquiétude, parce que je ne suis plus
tout
à fait le même. Puis elle me laisse, parce que le lait va monter. Alo
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une part, la dispersion des efforts artistiques.
Tout
ce monde d’amateurs de découvertes, de snobs, de marchands de tableau
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être appelés jeunes, c’est par leurs œuvres avant
tout
. D’autre part je préfère la légende à l’histoire comme la peinture à
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ors et personnages semblent d’une matière idéale.
Tout
est lisse et parfait. Trop parfait seulement. Il manque à ces recompo
50
e « simplicité précieuse », il sait la conférer à
tout
ce qu’il touche, qu’il décore une bannière, fabrique une poupée, comp
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streindre à la voluptueuse rigueur latine, et qui
tout
en s’épurant dans des formes claires a su les renouveler. Il nous app
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ai dire j’en vois peu parmi les jeunes qui vouent
tout
leur amour à la peinture pure. Je crois même que, Paul Donzé touché à
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istesse qui ne s’affiche pas, mais s’insinue dans
toute
sa palette, ce charme enfin, ce je ne sais quoi qu’on cherche en vain
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ue l’on consente en effet à telle déformation, et
tout
devient satisfaisant. Ce lyrique, ce mystique exige pour être compris
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ntres de ce pays pour qui la couleur existe avant
tout
. Mais la nostalgie de Bouvier l’entraîne à mille lieues des jardins d
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beau dessin, qui ont du poids et nulle lourdeur,
tout
cela communique une impression de puissance domptée et qui semble se
57
l est artisan, dans le beau sens ancien du terme,
tout
comme son frère Charles Barraud, qui lui, passe ses journées à vendre
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les, moins intensément réalistes, plus fins, mais
tout
aussi habiles dans l’utilisation du clair-obscur qui simplifie et ren
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Harder, qui est mort jeune, sans avoir pu donner
toute
sa mesure. Il a laissé surtout des dessins, d’une sûreté un peu tradi
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lpteur qui saura s’imposer. Léon Perrin a compris
tout
le parti qu’on pouvait tirer des principes cubistes dans un art dont
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Le Corbusier8, Meili, Evard, Perrin, manifestent
toutes
une recherche de la simplicité savante et de la perfection du métier,
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s un tour de tourniquet anéantissait cette Vienne
tout
occupée à ressembler à l’idée qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, o
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anger. Mais le thème de la Barcarolle s’empare de
tout
mon être — ainsi d’autres deviennent patriotes au son d’une fanfare m
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tants les accords d’une harmonie surnaturelle. Et
tout
cela chanté dans une langue que je comprends mal. Je me penche vers u
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. L’envie me prend d’aller le rejoindre. Me voici
tout
abandonné à l’évocation d’un amour tragiquement mêlé à des forces inc
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le pouvoir de cette musique. Voici que vous êtes
tout
près de comprendre… Mon voisin avait parlé tout haut ; personne pourt
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s tout près de comprendre… Mon voisin avait parlé
tout
haut ; personne pourtant ne se détournait. Comment pouvais-je être le
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pour une élégance très moderne. Il n’y avait dans
toute
sa personne rien de positivement démodé ; je n’eus même pas le sentim
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onner pour quoi que ce soit. Cette ville, qui est
toute
caresses, a peur de l’étreinte… C’est d’ailleurs une chose que je com
70
. De terreur, le homard avait rougi : il conserva
toute
la nuit une magnifique couleur orangée. Gérard semblait habitué à ces
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était-ce la même sous deux attributs différents.
Toutes
les femmes qui m’ont retenu un instant, c’était parce qu’elles évoqua
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fant était charmante, comme elles le sont presque
toutes
dans cette ville, — du type que Gérard et Théo nommaient « biondo et
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usqu’à l’insensibilité et l’Illusion étendait sur
toutes
choses une aile d’ombre flatteuse aux caprices redoutables. Cette nui
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aux nous parlèrent, bientôt dissous dans le vent.
Tout
était reflet, passages, allusions. Plus tard, dans un petit bar laqué
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entiments qui montre vivantes dans la même minute
toutes
les incarnations d’un amour dont l’être éternel apparaît peu à peu, à
76
ec une liberté magnifique et angoissante. Il mêle
tout
dans le temps et l’espace. Cent années et tous les visages aimés revi
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es aimés revivent dans cette coupe de songes avec
toutes
leurs illusions, — illusions des formes passagères que nous croyons s
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ainsi la Lune et sa moitié d’ombre. Et parce que
tout
revit en un instant dans cette vision, il connaît enfin la substance
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connaît enfin la substance véritable et unique de
toutes
ses amours, il communie avec quelque chose d’éternel. Tous les drames
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t finissent aux pierres précieuses en passant par
toutes
les formes animales. Pour lui, les choses n’ont d’intérêt que par les
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e vie résume cette vie entière et fait allusion à
tout
ce qu’il y a sous le soleil, et même ailleurs. Croyez-moi, ce qu’il f
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c’est une Vie simultanée de Gérard, qui tiendrait
toute
en une heure, en un lieu, en une vision. » Nous sortîmes. Seules des
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e petite portion et la fit prendre au homard avec
toutes
sortes de soins. Les chauffeurs regardaient d’un œil las, trop las po
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d’un pied sur l’autre dans de la neige fondante,
tout
en croquant une de ces saucisses à la moutarde qu’on appelle ici « Fr
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solences sur les chapeaux noirs de ses cavaliers.
Tout
cela s’empila dans des autos ; en dix minutes, il n’y eut plus person
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sortie des invités, sur une femme qui s’en allait
toute
seule vers une auto à l’écart des autres. Une femme aux cheveux noirs
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es journaux du matin, des triporteurs passèrent à
toute
vitesse, m’éclaboussant de neige et de titres dépourvus de sens. Je d
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e de travail, de façon à pouvoir s’y surprendre à
tout
instant. Cet exercice — essayez ! — ne tarde pas à devenir obsédant.
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peu plus tard, ce fut un jour de grand soleil sur
toutes
les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le soleil et «
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u d’un piano dont il a coupé les cordes, mais pas
toutes
, en sorte que plusieurs touches sonnent encore, et c’est là-dessus qu
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avec son banc et ses lilas fleuris qui trempent…
Tout
est familier, paisible au soleil. Il passait des heures à cette fenêt
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Il y a pourtant cette petite chambre… Est-ce que
tout
cela existe dans le même monde ? (Il est bon de poser parfois de ces
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tions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville,
tout
semblable à ces théologiens aux yeux voilés, aux pantalons trop court
94
ilés, aux pantalons trop courts, qui se promènent
tout
seuls… Et puis, il lui est arrivé quelque chose de terrible, où il a
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néreuses autour d’eux… Cela s’oublie. Et l’amour,
tout
justement, nous fait comprendre, dans le temps même qu’il nous entr’o
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leur échappe — je t’échappe ô douceur de vivre !
Tout
redevient autour de moi insuffisant, transitoire, allusif. Tout se re
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autour de moi insuffisant, transitoire, allusif.
Tout
se remet à signifier l’absence. 11. Bettina von Arnim-Brentano : D
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rouge, professeurs, journalistes, spécialistes de
tout
au monde ; des jeunes gens qui ont fait leurs études à la Nouvelle R
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us ne risquons pas d’être tués par des statues !)
Tout
d’un coup, trois hommes qui ont du cran. Deux qui viennent : Bernanos
100
s « milieux » littéraires, l’un parce qu’il croit
tout
à fait, l’autre parce qu’il ne croit pas du tout, le troisième parce
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tout à fait, l’autre parce qu’il ne croit pas du
tout
, le troisième parce qu’il croit ou ne croit pas selon les sautes brus
102
des pamphlets qu’on la lui rend ? Je le trouve en
tout
cas bien tonique, celui que Beausire et Simond viennent d’écrire au s
103
s furent achevées, les murs s’élevèrent, et quand
tout
fut terminé, l’on interdit l’entrée du palais à nos trois amis (qui p
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qui leur permettrait d’envisager ce problème dans
toute
son ampleur et sa force. » Ainsi Beausire nous montre un Barrès tout
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sa force. » Ainsi Beausire nous montre un Barrès
tout
crispé sur quelques certitudes et quelques doutes immédiatement utili
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r sa révolte. Il y a bien quelques outrances dans
tout
ceci. Mais je voudrais que s’en offusquent ceux-là seuls que l’outran
107
utrancière habileté contemporaine écœure plus que
tout
. Plutôt donc que de discuter ces thèses, je voudrais suivre leurs pro
108
le et le clair génie que l’on sait se chargent de
tout
réduire à la raison, y compris la Révolution, thème rhétorique, y com
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à situer la position d’attaque de nos auteurs : «
Tout
créateur néglige sa personnalité » et « Kant est un peu plus redoutab
110
ent sa vérité — une vérité qu’il doit se créer de
toute
sa volonté, telle inéluctablement qu’elle est en Dieu — et soit qu’il
111
absurde. Des fantômes d’une autre sorte, ceux-là
tout
rayonnants d’allusions indéfinies, naissent autour de moi quand la pa
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pittoresque essayer, au hasard, des incantations
tout
juste bonnes à évoquer la basse pègre du monde spirituel. Ce n’est pa
113
tre conscience. C’est un effort de création — car
toute
découverte du monde spirituel revêt pour nous, normalement, l’aspect
114
onses à cette interrogation que posent tacitement
toute
forme de vie, et explicitement — croyons-nous — certaines expériences