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ion toujours trop courte. Et les repas réunissent
tout le monde
dans la gaieté la plus charmante. On y vit un ouvrier en maillot roug
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raient avec une pitié curieuse : je me sentis nu,
tout le monde
devait voir en moi une tare que j’étais seul à ignorer, était-ce ma f
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e au foyer dans une Rolls-Royce et fortune faite,
tout le monde
s’accorde à dire qu’on n’attendait pas moins du fils d’un tel père. «
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ez-vous, bonnes gens ?… Il a eu tort, sans doute.
Tout le monde
s’accorde à trouver malsain ce genre de tentatives : cela ne peut que
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émesurés, mais combien sympathiques, à l’heure où
tout le monde
exagère, à qui mieux mieux dans le sens de la médiocrité spécifiqueme