1
me solaire », l’éditeur un roman, parce que ça se
vend
mieux. Ce récit des premiers combats de taureaux du jeune Montherlant
2
re Charles Barraud, qui lui, passe ses journées à
vendre
des couleurs, à encadrer des glaces. Et plaise aux dieux que les visa
3
vendeuse de fleurs. C’était la petite bossue qui
vend
des roses et des œillets dans la rue de Carinthie. Gérard lui paya qu