1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 ne commence qu’aux limites les plus hautes de la vertu . Dans ce sens, il ne peut exister de saint véritable. Il n’y a pas de
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 trouver l’instinct le plus profond de l’homme, la vertu conservatrice qui ne peut dicter que les gestes les plus favorables.
3 n’est pas encore parfait cet instinct qui est la Vertu . Ma vertu est de chercher cette Vertu ; de me replacer dans le sens d
4 encore parfait cet instinct qui est la Vertu. Ma vertu est de chercher cette Vertu ; de me replacer dans le sens de ma vie ;
5 qui est la Vertu. Ma vertu est de chercher cette Vertu  ; de me replacer dans le sens de ma vie ; de rendre toutes mes forces
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
6 es par des forces qui se lèvent. Car telle est la vertu de ce livre, qu’on l’éprouve d’abord trop vivement pour le juger. L’a
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 e monde où tous les extrémismes sont prônés comme vertus cardinales, et qui forme ailleurs le premier public des jeunes artist
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
8 bien simple, si vous persistez à dédaigner cette vertu qu’il est vraiment trop facile de nommer l’avarice française, il vous