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quelle est bâtie son œuvre. L’intéressant sera de
voir
ce qu’il sacrifiera, de la morale sportive ou de la morale jésuite. M
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emarquable. Les œuvres de cet artiste, qu’on a pu
voir
à la Rose d’Or témoignaient de ces mêmes qualités : car la façon de p
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cellence de la sainteté. Le peuple, encore païen,
voit
dans la vénération des pèlerins pour les tombes de leurs saints une f
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artis, avec une passion contenue d’hommes qui ont
vu
, qui ont souffert, et qui ne se payent plus de mots ni d’utopies, Cle
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t le monde dans la gaieté la plus charmante. On y
vit
un ouvrier en maillot rouge assis entre un banquier et un philosophe
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us beau soleil de printemps. Libre à qui veut d’y
voir
un symbole. On ne saurait exagérer l’importance des conditions météor
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ne pièce inexistante. Enfin le dernier soir, l’on
vit
apparaître un fakir… Il y eut aussi une assemblée délibérative en ple
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curieuse : je me sentis nu, tout le monde devait
voir
en moi une tare que j’étais seul à ignorer, était-ce ma fatigue seule
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cela sente un peu l’étable ? L’étonnant, c’est de
voir
à quel point Montherlant reste poète jusque dans la description la pl
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elques secondes encore elle cligna des yeux et on
vit
sa respiration. Puis ses pattes se tendirent peu à peu, comme un corp
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ui que nous donnons ? » ⁂ Il est impossible de ne
voir
dans les Bestiaires qu’une évocation de l’Espagne et du génie taurin.
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ngueur dont on ne voudrait plus guérir… Mais nous
voyons
la ville debout dans ses lumières. Architectures ! langage des dieux,
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s cette agitation aimable et monotone nous allons
voir
courir l’arabesque des sentiments et le mouvement perpétuel de l’amou
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tement vers la mienne et s’assit sans paraître me
voir
. Une grande figure aux joues mates, aux yeux clairs. Il déplia le jou
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paroles peignaient des tableaux mouvants où je me
voyais
figurer comme une sorte de « personnage aux dés ». Ce furent d’abord
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« Destin, s’écria-t-il, tu pourrais me remercier.
Vois
quels chemins de perdition j’ouvre sans cesse à ta course aveugle ; t
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rd de fumée, et la musique noyait mes pensées. Je
vis
qu’une femme était assise à notre table, en robe rouge, et très fardé
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s », écrit Madame de Maintenon. Mais bientôt l’on
voit
la France se dépeupler ; des industries sont presque anéanties ; les
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sorte enfin et se mette à graver les scènes qu’il
voit
dans la petite cité ouvrière, et c’est merveille de constater combien
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our qui la peinture consiste à habiller une idée.
Voyez
son portrait de Meili : il ne prend pas le sujet par l’intérieur, mai
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u la palpe, la presse, la réduit à la forme qu’il
voit
. Il y a de la sensualité dans l’écrasement de ses couleurs, une sensu
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pourrait pas se tromper plus. ⁂ À vrai dire j’en
vois
peu parmi les jeunes qui vouent tout leur amour à la peinture pure. J
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yeux de Japonais d’une ironie mélancolique et qui
voient
plus loin qu’on ne croit, mais il a toujours l’air de songer à la Hol
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e complicité de sentiments ou d’état d’âme. Je ne
verrais
guère que Louis de Meuron, parmi ses aînés, dont on le puisse rapproc
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us encore chez un Aurèle Barraud. Il suffit de le
voir
peint par lui-même pour s’en assurer. La tête large, aux yeux clairs
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tte revue entretenait récemment ses lecteurs. 8.
Voir
sur cet artiste neuchâtelois, de son vrai nom Ch. E. Jeanneret, un ar
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êtres véritables. Nous nous rencontrons. Vous me
voyez
parce que vous comprenez certaines choses par votre souffrance… Mais
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Cela vexe les Viennois, me dit-il, parce qu’ils y
voient
une façon de me moquer de leurs petits chiens musclés… Je n’en suis p
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est en décadence quand je la regarde s’amuser. Je
vois
se perdre ce sens des correspondances secrètes et spontanées du plais
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ne foire éclatante de faux luxe. La misère est de
voir
ici des femmes aussi ravissantes que celle-là qui danse en robe mauve
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odes s’appellent par le simple jeu des images, se
voient
par transparence au travers de l’autre. Il dit : « Pour celui qui sai
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ailleurs endormi. En passant par la Freyung, nous
vîmes
un palais aux fenêtres illuminées. Des autos attendaient devant le po
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’en pas finir. Quand il est très fatigué, il veut
voir
encore cette fatigue dans son regard : appuyé sur lui-même il se perd
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es. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se
voir
: il est laid. Lâchement il se prend en pitié. Ces séances lui font d
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e à Stéphane sa tête, son portrait en pied. Il se
voit
dans l’acte de se raser, de se baigner ; son image descend en face de
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e sorte d’angoisse qu’il la recherche. Il veut se
voir
tel qu’il est parmi les autres. Mais s’il lui arrive de prendre son i
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arence, qu’il doute de sa réalité. Le mystère de
voir
ses yeux l’épouvante. Il y cherche une révélation et n’y trouve que l
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’on dépasse ? Et qu’il faut sortir de soi pour se
voir
? Il y a dans l’homme moderne un besoin de vérifier qui n’est plus l
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Il faudrait briser tous les miroirs. Alors tu te
verrais
en vérité. Peut-être te reconnaîtrais-tu sous un autre visage. Car ou
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l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il
voyait
des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’eau jaune e
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s et les contreforts de l’Église du Chapitre : je
vois
s’y engager chaque jour le fou au profil de vieille femme qui promène
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iennes quand je te regardais trop profond pour te
voir
? Maintenant je suis seul à redescendre au jour dans l’aube sans refu
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se livrèrent à ce petit jeu avant d’écrire —, que
voyons
-nous en effet ? Une grande nuée de romanciers à peine plus réels que
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uestions qui dépassent un certain plan. C’est mal
vu
. » Ou si on les pose, ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussitôt
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. Ils ne sont pas obscurs, ils sont arborescents.
Voyez
Bertram, Gundolf, Rudolf Kassner… En France, hélas ! une logique verb
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. Romancer la vie de ces excessifs est assez bien
vu
; mais tenter de leur opposer un effort digne de ce qu’ils furent… Ce
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ême la grandeur d’un Ramuz, dont Beausire ne veut
voir
que le maniérisme, non la substance. q. Rougemont Denis de, « [Comp
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itudes individuelles, en dehors de quoi je ne lui
vois
pas de signification générale. Certains fantômes m’apparaissent quand
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de leur esprit ou de celui des autres. Nous avons
vu
des amateurs de pittoresque essayer, au hasard, des incantations tout
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espond à une certaine sécheresse d’âme. Car on ne
voit
que ce qu’on mérite. — Les plus beaux fantômes, et les plus réels, ce
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sont les anges. Mais ceux-là seuls parmi nous les
verront
, dont l’esprit parviendra par sa puissance d’adoration, à se créer un