1
nt pas de crever de faim en douceur. ⁂ Mais cette
action
très particulière de la non-violence mérite un examen plus approfondi
2
tre forme encore, non moins dangereuse pour notre
action
. C’est l’état d’esprit trop facilement héroïque et généreux de ceux q
3
combat : 1° « Sans théorie révolutionnaire, pas d’
action
révolutionnaire. On ne saurait trop insister sur cette vérité, à une
4
n » consiste à séparer jalousement la pensée de l’
action
, du risque et de l’engagement personnel, quitte à se lamenter sur le
5
ses droits. Sans théorie révolutionnaire, pas d’
action
révolutionnaire, écrivait Lénine dans Que faire ? On ne saurait trop
6
lectuelle, sans contact avec les événements, sans
action
effective, on est parvenu à stériliser l’un et l’autre, en privant la
7
cile de repérer leurs positions, sur le plan de l’
action
publique. On ne connaît pas en France de parti protestant comparable
8
t reçu la promesse d’être sauvés de son empire. L’
action
politique nous est nécessaire, comme manger, travailler et penser, ma
9
, dans l’état de choses qui s’offre à nous ? De l’
action
« sociale » ? C’est dans ce sens que concluent les Compagnons, groupe
10
qu’elle suppose et implique entre la pensée et l’
action
. 2. Quelques affirmations doctrinales : affirmation des droits de la
11
peu par les ligues d’anciens combattants (dont l’
action
sera peut-être décisive l’année prochaine) ; l’idée de la « mission p
12
lui qu’un chrétien protestant peut assigner à son
action
publique. Je ne me dissimule pas certaines incompatibilités. Plusieur
13
tions. 17. Et depuis peu, plusieurs mouvements d’
action
publique, qui dans des domaines divers, répandent la doctrine ON. Cit
14
que seul le lieu que nous avons choisi pour notre
action
, nous sépare, et non pas nos principes de départ. o. Rougemont Deni
15
la fameuse opposition de la contemplation et de l’
action
. Une notion claire de ce qu’est la vision eût peut-être évité bien de
16
peut-être évité bien des malentendus illustres. L’
action
est un moment de la contemplation essentiellement active et transform
17
nation moderne. Sur la vision qui est jugement et
action
: « Quiconque regarde une femme avec convoitise a déjà, dans son cœur
18
it encore Paul. Cette attente persévérante, cette
action
d’espérance, voilà le sens qu’il faut donner à l’imagination qui crée
19
l’esprit, sinon celui qui voit l’esprit dans son
action
, et le prend sur le fait de la métamorphose ? Et si l’on sait que la
20
nt de notre humanité. Ici tout est réel, tout est
action
et résistance, tout est drame. Et les correspondances sont embrassées
21
tre : Les Affinités électives. Tout y est formes,
actions
, symboles ; et tout est vision créatrice. Goethe est un œil. Et le ch
22
t pathos romantique. Le drame, c’est proprement l’
action
, en tant que mouvement, évènement, risque, tension. Un tel drame se p
23
tion. Pas question de séparer ces deux temps de l’
action
, et qu’on n’aille pas croire que L’ON n’a pas établi ses constructi
24
Mounier, « d’épurer », d’enrichir si l’on veut, l’
action
en cours. Et c’est à quoi s’emploient les 180 pages mensuelles d’ Esp
25
he et la droite proclamer la priorité du « plan d’
action
» sur la doctrine, on est sûr que cette gauche et cette droite travai
26
ants essais sur l’attitude de l’écrivain devant l’
action
. Arrêtons-nous à cette partie-là qui explique le titre du livre. On a
27
’œuvre avant tout ? Oui, mais toute œuvre est une
action
, et c’est le contenu de cette œuvre, ou l’objectif de cette action, q
28
le contenu de cette œuvre, ou l’objectif de cette
action
, qu’il importe avant tout de connaître. Et non pas seulement que l’au