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nne foi, ni même la bonne volonté, vous serviront
avec
une assurance tempérée de douceur cette phrase type qui résume à leur
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honnête », réservons-le à ceux qui reconnaissent (
avec
ou sans dégoût) leur crapulerie naturelle (lâchetés, compromissions,
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que la bourgeoisie cultive ce genre de problèmes
avec
une prédilection à vrai dire bien compréhensible, car cela mène prati
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philosophique de la violence, qu’il critiquerait
avec
talent, au nom de l’« humanité ». Nous avons plus simple à lui oppose
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amour. (Mais à Moscou, les petits Russes naissent
avec
un couteau entre les dents.) Ainsi, la violence bourgeoise est caract
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isme un régime d’opinion put jamais être confondu
avec
un régime de liberté. La liberté d’opposition est tout à fait illusoi
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geois qui ne s’en doute guère confond la violence
avec
la brutalité physique imbécile. Et il condamne cette brutalité dans t
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lus, dans la brutalité physique, c’est le contact
avec
le réel, c’est le fait que celui qui donne un coup se met à portée d’
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combattre sachant qu’ils ne pourraient que périr
avec
elle, ils vont chercher dans la lecture, pour eux très aride, de Marx
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ine connaissance de cause que vous avez collaboré
avec
les révolutionnaires dont vous répudiez aujourd’hui avec horreur la p
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s révolutionnaires dont vous répudiez aujourd’hui
avec
horreur la prétendue « solidarité ». Je crois d’ailleurs avoir indiqu
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est pourquoi le problème de son destin se confond
avec
le problème de notre génération. La sécurité ne sera jamais garantie
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évolutionnaires » d’une doctrine destinée à périr
avec
le système régnant, qu’elle croit combattre, et dont elle figure le d
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c’est l’individu engagé dans un conflit créateur
avec
lui-même d’abord, avec la nature ensuite, avec l’ambiance sociale enf
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é dans un conflit créateur avec lui-même d’abord,
avec
la nature ensuite, avec l’ambiance sociale enfin. Ce conflit comporte
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ur avec lui-même d’abord, avec la nature ensuite,
avec
l’ambiance sociale enfin. Ce conflit comporte un choix permanent, don
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ementarisme. Nous ne combattrons pas le Parlement
avec
des discours, mais bien en créant un monde où il apparaîtra sous son
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omme le conservatoire de la politique bourgeoise,
avec
ses monarchistes et ses communistes, figurants indispensables et inof
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c les institutions qui nous permettront de rompre
avec
tout étatisme, de changer de plan, de réaliser une révolution effecti
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i, nous maintiendrons la primauté de la doctrine,
avec
tout ce que cela comporte, en apparence, de sécheresse technique. Nou
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formes les plus étroites du praticisme va de pair
avec
la propagande de l’opportunisme ». (Encore Lénine, 1902.) 2° Dans l’é
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aître le capitalisme matérialiste. 9° Nous sommes
avec
le prolétariat, par-dessus la tête de ses vieux meneurs, contre la co
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s’était bornée à les traduire et à les critiquer
avec
un scepticisme plus ou moins sympathique ; mais elle n’avait pas répo
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ns économiques qui ne permettaient pas d’élaborer
avec
la lucidité nécessaire des solutions vraiment neuves et fécondes, ell
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t ainsi que la jeunesse s’est trouvée embrigadée,
avec
tout son élan, avec toute sa passion rénovatrice, dans des cadres bie
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sse s’est trouvée embrigadée, avec tout son élan,
avec
toute sa passion rénovatrice, dans des cadres bien plus rigides que c
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un livre de doctrine. S’adressant au grand public
avec
autant de précision que pouvait en permettre un sujet aussi vaste, il
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ard. Je soupçonne un peu Carl Koch d’intelligence
avec
l’assesseur Wilhelm. Mais voilà justement ce qu’il nous faut. Du pers
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rands de mépriser l’esprit. Curieux aussi de voir
avec
quelle facilité des incroyants ont fait grief à Kierkegaard de n’avoi
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formes les plus étroites du praticisme va de pair
avec
la propagande de l’opportunisme. C’est pourquoi, sans vouloir en rie
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une faculté purement intellectuelle, sans contact
avec
les événements, sans action effective, on est parvenu à stériliser l’
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ui instituèrent ce désordre. L’Esquisse en décèle
avec
rigueur le vice fondamental, d’essence rationaliste. Pourquoi les rév
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lles conditions données… et peut faire bon ménage
avec
la société la plus strictement sociale ». Et voici détendu le ressort
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nouveau définit une personne qui n’a rien à voir
avec
cet individu. Une personne qui n’est pas plus l’homme naturel de Rous
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nouveau, le seul qui se soit exprimé sur ce point
avec
netteté (Cf. le numéro 3 de sa revue). 12. et qui surtout ne rendent
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ristianisme intervient dans cette fausse symétrie
avec
une sorte d’humour transcendant, fort bien exprimé par Pascal : « L’h
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ccès politique ne pourra, pour nous, se confondre
avec
un progrès de salut. Principe d’une politique du pessimisme actif. Un
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seulement le chrétien pourra et devra collaborer
avec
tous les « mouvements » politiques qui revendiquent les droits supéri
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lesse. Et l’on ne saurait trop louer l’insistance
avec
laquelle certaines déclarations de l’AS condamnent le nationalisme my
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urs yeux l’idée de patrie préalablement confondue
avec
celle de l’État, en témoignent avec évidence. Mais, d’autre part, le
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ent confondue avec celle de l’État, en témoignent
avec
évidence. Mais, d’autre part, le « politique d’abord » de Maurras, l’
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ales de Robert Garric. Créer des contacts vivants
avec
les milieux ouvriers athées, par le moyen de cercles d’études ou d’«
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ère partie. Elle ne saurait être mise en symétrie
avec
aucune des autres attitudes que j’ai indiquées. Elle comporte un risq
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ces de César. Elles sont en singulière consonance
avec
les principes directeurs de deux mouvements de jeunesse : Esprit et l
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hésion sentimentale que les deux groupes refusent
avec
rigueur. D’où les malentendus, parfois bien réjouissants, qu’ils ont
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que les partis aux prises dans la presse évitent
avec
ensemble de poser les questions fondamentales, et se cantonnent dans
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e conception spiritualiste qui n’a rien de commun
avec
cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gauche,
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ces deux groupes se confond presque intégralement
avec
celui qu’un chrétien protestant peut assigner à son action publique.
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te quel parti, aussi bien à gauche qu’à droite22.
Avec
cette différence qu’au sein de partis si nombreux, sa voix n’aurait a
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ui jugera toujours tous les systèmes. Travaillons
avec
ceux que nous pouvons aider. 15. Jeunesses ouvrières catholiques (
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ée (novembre 1934)p On s’étonne de la facilité
avec
laquelle les jeunes bourgeois de ce temps se déclarent révolutionnair
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ns la vision, s’est installé à la place du drame,
avec
l’étrange prétention d’arbitrer le conflit vital, de séparer les deux
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ugement et action : « Quiconque regarde une femme
avec
convoitise a déjà, dans son cœur, commis l’adultère avec elle. » (Mat
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nvoitise a déjà, dans son cœur, commis l’adultère
avec
elle. » (Matt. 5. 28) Sur la vision qui est transformation : « Nous s
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érons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons
avec
persévérance », dit encore Paul. Cette attente persévérante, cette ac
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aider30. L’imagination de la forme est sympathie
avec
la création. Mais nous tenons ici la clef du monde de l’incarnation,
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ippopotame, le monstre Léviathan, la Grande Ourse
avec
ses petits, — la Parole sous forme de tonnerre ! 23. J’emploie ce
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re assez “hermétiques” au lecteur peu familiarisé
avec
cet ordre de spéculations. Certains mots employés ici dans un sens tr
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« confrontation ». Confrontation dirigée certes,
avec
une souplesse dont les avantages l’emportent, jusqu’ici, sur les inco
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volutionnaire, et qui se confondra nécessairement
avec
l’instauration de l’Ordre nouveau dans les faits. s. Rougemont Den
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serez la cause que vous croyez défendre. D’accord
avec
les Izvestia et votre ambassadeur de la rue de Grenelle, j’ai bien l’
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Ce long avant-propos, où l’auteur nous rapporte
avec
quelque détail l’emploi de son temps durant ces dix dernières années,