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insi » (16 avril 1932)a Mouvement Ô ciel
c’est
par ici dépêchons-nous ! L’explosion sera retardée si vous m’ai
2
ntières nos corps sont dans l’autre nuit mais
c’est
ici que je t’ai touchée pour la première fois Ainsi Comme o
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s ont le même âge que les canapés Louis-Philippe.
C’est
trop ou trop peu. 4. « … libéraux, … ». Le libéralisme de la bourgeoi
4
pprimé par l’adversaire. Si au contraire il dure,
c’est
qu’il s’est défendu par des moyens qui trahissent ses principes. (M.
5
Révolution. Il est des crises nécessaires1. Mais
c’est
à nous précisément de préparer les voies que la force nouvelle, à leu
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la police ou à la foule. Mais nous qui le savons,
c’est
à nous qu’il incombe, dès maintenant, de préparer une Révolution asse
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brutale, sans qu’on puisse distinguer (ni eux) si
c’est
de volupté ou de terreur. La peur du sang, le goût du sang : ce sont
8
x aspects morbides d’une même maladie bourgeoise.
C’est
à quoi mène la violence larvée qui inspire l’hypocrisie régnante. Non
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lui répugne le plus, dans la brutalité physique,
c’est
le contact avec le réel, c’est le fait que celui qui donne un coup se
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rutalité physique, c’est le contact avec le réel,
c’est
le fait que celui qui donne un coup se met à portée d’une riposte. Il
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, et une cible facile pour les réactionnaires. Et
c’est
bien pour cela qu’il nous paraît urgent de leur coller une étiquette
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donnée. La seule pureté vraiment révolutionnaire,
c’est
celle de la violence spirituelle créatrice ; nous ne nous lasserons p
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tion cohérente et rationnelle que nous défendons,
c’est
l’homme en tant que l’état social actuel l’empêche atrocement d’être
14
el que le vôtre pût un seul instant s’y tromper :
c’est
en pleine connaissance de cause que vous avez collaboré avec les révo
15
ectif sur ses doctrines. Ce que je veux dissiper,
c’est
le malaise créé chez vos lecteurs, — que vous l’ayez ou non voulu, pa
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Elle souffre d’une carence aiguë de la jeunesse.
C’est
pourquoi le problème de son destin se confond avec le problème de not
17
. Il se pose en termes historiques bien définis :
c’est
le problème de la destruction des tyrannies étatistes, au nom des dro
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sède une tradition révolutionnaire personnaliste.
C’est
cette tradition qui a fondé l’autorité de la France dans le monde mod
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eau pour lequel nous sommes prêts à combattre. Et
c’est
à lui que désormais s’adresseront ceux qui veulent s’adresser à la je
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fait jusqu’ici beaucoup de bruit sur les places.
C’est
que nous sommes et voulons être avant tout des doctrinaires. Cette vo
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ont assuré le développement actuel du machinisme.
C’est
dans cet humus de doctrines périmées que plongent « les racines du ma
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périmées que plongent « les racines du malheur »,
c’est
lui d’abord qu’il faut détruire si l’on veut tuer ces racines et surt
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actères spécifiques de notre effort de doctrine ?
C’est
d’abord une volonté de considérer les problèmes économiques et sociau
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lèmes économiques et sociaux dans leur totalité ;
c’est
aussi une volonté constante de changer de plan. Ces deux expressions
25
n changement de plan. Changer de plan, pour nous,
c’est
porter l’effort constructif sur un terrain que le désordre actuel nég
26
ique ou moral, matériel ou abstrait. La personne,
c’est
l’individu engagé dans un conflit créateur avec lui-même d’abord, ave
27
ge universel, tout le monde croit aujourd’hui que
c’est
quelque chose de très simple, une évidence, une sorte de lieu commun.
28
s simple, une évidence, une sorte de lieu commun.
C’est
en effet le lieu commun de tous les malentendus actuels. Cet homme sa
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t-on vu ? qui l’a vu ? et comment existerait-il ?
C’est
pourtant sur cet homme abstrait qu’est bâti tout le système démocrati
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rinale, se retrouve à tous les étages du système.
C’est
à cause d’elle qu’il s’écroulera. Il suffira sans doute d’indiquer ic
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ans lequel s’insère aujourd’hui le personnalisme,
c’est
la lutte contre l’étatisme moderne tel qu’il s’est constitué depuis M
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ionner les énergies du pays. Ce que nous voulons,
c’est
rétablir sur le plan politique la tension nécessaire et créatrice ent
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tonneront peut-être de la voir si peu romantique.
C’est
qu’il sévit actuellement, parmi certains groupes d’intellectuels, un
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e encore, non moins dangereuse pour notre action.
C’est
l’état d’esprit trop facilement héroïque et généreux de ceux qui nous
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demandent. Seulement, il en est d’injustifiés. Et
c’est
ce que nous voulons déterminer d’abord. On nous a aussi reproché de n
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« source d’énergie » permanente de la révolution,
c’est
la personne humaine telle que nous l’avons définie. 5° Dans « l’Ordre
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de la guerre moderne économique et militaire. 8°
C’est
au nom d’antagonismes naturels féconds et créateurs que nous voulons
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érée la révolution personnaliste et régionaliste,
c’est
une existence culturelle. Des nations débarrassées de leurs États et
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ans, plus qu’il ne l’avait fait depuis Napoléon,
c’est
une évidence acquise et qui peut figurer d’ores et déjà dans les manu
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rd’hui dans les régimes fascistes ou soviétiques.
C’est
elle qui constitue leur parenté la plus profonde. Mais il y a entre c
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acilement l’observateur sensible aux atmosphères.
C’est
l’air de parenté que donne, aux trois régimes, la prépondérance de la
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u de n’être considérés que comme des moyens ». Et
c’est
ainsi que la jeunesse s’est trouvée embrigadée, avec tout son élan, a
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ine, le visage rajeuni de l’Europe. En vérité, et
c’est
une des observations capitales de nos auteurs, les jeunesses soviétiq
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le, contre les pouvoirs et les corvées publiques.
C’est
un conformisme total et… enthousiaste ! Une nouvelle idolâtrie de l’É
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ns insisté sur la partie critique de cet ouvrage,
c’est
que les conclusions constructives peuvent sans peine en être déduites
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clésiaste : in vino veritas ! L’assesseur Wilhem,
c’est
la sagesse bourgeoise appuyée sur la religion. Et le Jeune Homme perd
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vre sa joie que dans le risque extrême de la foi,
c’est
le chrétien tel que le veut Kierkegaard. Je soupçonne un peu Carl Koc
48
eur. Mais Kierkegaard est surtout un chrétien, et
c’est
ce qu’il eût fallu montrer d’abord. Un chrétien peu rassurant, certes
49
’angoisse moderne. Le mérite décisif de ce livre,
c’est
que peut-être il fera faite la moue aux spécialistes de l’histoire de
50
is l’acte ! », répète inlassablement Kierkegaard.
C’est
de toi, lecteur, qu’il s’agit, et non pas d’un auteur nouveau. Koch n
51
reproche, plus grave que Koch ne veut le croire.
C’est
en vain qu’il s’efforce tardivement d’en limiter la portée. La thèse
52
l’homme. Le tout de l’homme est négation de Dieu.
C’est
pourquoi l’homme n’arrive à Dieu et à la Vie qu’en mourant totalement
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du péché « ce n’est pas la vertu, mais la foi ».
C’est
une étrange confusion que de baptiser ascétisme une attitude qui se f
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mpensable », comme l’éternité pour le temps. Oui,
c’est
un « paradoxe étrange » qui veut que l’homme soit sauvé par sa perte.
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trême : car « la plus haute passion de la pensée,
c’est
de découvrir quelque chose qu’elle ne puisse pas penser ». Il est cur
56
, n’est qu’apparences, psychologie. Le seul fait,
c’est
la foi qui soutient tout. Mais peu l’ont vu. 8. « Le christianisme d
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dans l’actualité, au sens littéral du terme ; et
c’est
ce que ne font pas, et ne peuvent pas faire, nos professeurs idéalist
58
s puissances libératrices qu’on leur propose ; et
c’est
ce que ne font pas les brigadiers et les embrigadés de toute farine q
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va de pair avec la propagande de l’opportunisme.
C’est
pourquoi, sans vouloir en rien sous-estimer l’analyse qu’Aron et Dand
60
es cadres de la pensée ses opérations solitaires.
C’est
essentiellement la faculté qui, dressant l’homme contre l’univers, le
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vons reconnaître une pensée effective, créatrice,
c’est
bien cette faculté de libérer l’être des mots. Cessons d’épiloguer su
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u’un symbole de son argent.) Mais ce que je sais,
c’est
que l’homme tout court, ou même l’homme noble, ou prolétaire, n’a jam
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rdre nouveau propose à notre besoin de sacrifice,
c’est
la qualité d’homme par excellence, la qualité créatrice de la personn
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sur le plan philosophique. 14. Mais le concret,
c’est
l’acte justement ! et non pas un donné « objectif ». m. Rougemont D
65
l est ou tel qu’il devrait être. Tel qu’il est :
c’est
la conception réactionnaire, ou statique, la politique de la contrain
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le, de la mesure (ou hiérarchie) sociale imposée.
C’est
une doctrine pessimiste, une politique de la camisole de force. Tel
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e la camisole de force. Tel qu’il devrait être :
c’est
la conception révolutionnaire, ou dynamique, la politique du devenir
68
la politique du devenir et de l’évolution fatale.
C’est
une doctrine optimiste, dont la mesure n’est pas dans le présent inju
69
e. À droite, on dit que l’homme est une bête, que
c’est
là son partage et qu’il faut s’y tenir. À gauche, on dit que si l’hom
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fait humain : car si l’homme peut se voir perdu,
c’est
qu’il croit, c’est qu’il est dans la foi ; mais être dans la foi, c’e
71
si l’homme peut se voir perdu, c’est qu’il croit,
c’est
qu’il est dans la foi ; mais être dans la foi, c’est faire la volonté
72
st qu’il est dans la foi ; mais être dans la foi,
c’est
faire la volonté de Dieu, c’est agir, c’est donc attester sa dignité
73
être dans la foi, c’est faire la volonté de Dieu,
c’est
agir, c’est donc attester sa dignité proprement humaine. La foi seule
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foi, c’est faire la volonté de Dieu, c’est agir,
c’est
donc attester sa dignité proprement humaine. La foi seule est un acte
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partis politiques. S’il rejette les partis pris,
c’est
qu’il doit sans cesse, à nouveau, prendre parti. Comme le réactionnai
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es qui s’offre à nous ? De l’action « sociale » ?
C’est
dans ce sens que concluent les Compagnons, groupe fondé par la Fédéra
77
de cercles d’études ou d’« amicales » de travail,
c’est
une activité dont, à coup sûr, le bienfait ne sera jamais perdu, pour
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ante de l’ensemble concret des données actuelles.
C’est
un péril proprement protestant. La doctrine calviniste de la vocation
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plications générales d’une attitude particulière.
C’est
évidemment à propos de l’attitude des objecteurs de conscience qu’il
80
on d’un mouvement, le moins qu’on en puisse dire,
c’est
qu’elle est dangereusement insuffisante : elle impliquerait, en effet
81
e plus nocif de la mentalité politique française.
C’est
un volume entier qu’il faudrait consacrer à la critique des méfaits d
82
pour des doctrines de droite, ou de gauche. Mais
c’est
précisément ce genre d’adhésion sentimentale que les deux groupes ref
83
coup plus radical au sens étymologique du terme :
c’est
aux racines du mal qu’ils s’attaquent. D’où leur force d’entraînement
84
ue, pour le plaisir stérile des clercs bourgeois.
C’est
ici la question de la tactique qui se pose, en même temps que celle d
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temps que celle des institutions à construire. Et
c’est
ici que nos deux groupes divergent. Qu’est-ce que l’Ordre nouveau ? U
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33, est essentiellement orienté vers la création.
C’est
en vain que l’on chercherait dans ces minces cahiers les pittoresques
87
la notion fondamentale de prochain ? Le prochain,
c’est
celui qui pratique la miséricorde ; ce n’est pas le simple voisin. Cf
88
André Philip ne me contredirait pas sur ce point.
C’est
le seul d’entre les jeunes protestants qui « milite » publiquement et
89
al : que la révolution naît dans les villes ; que
c’est
un phénomène citadin et l’expression incompressible d’une jeunesse dé
90
mme enraciné défendra son patriotisme. Le danger,
c’est
que ces deux conceptions partielles, qui comportent chacune leur véri
91
ux de ville, échappés de leurs cages. Et pourtant
c’est
dans les campagnes seulement que pourra se résoudre l’angoissant prob
92
révolution nécessaire ne sera ordre qu’à ce prix.
C’est
là son vrai problème. p. Rougemont Denis de, « Jeunesse déracinée
93
ît. « Rien n’est, dit-elle qui ne se manifeste ».
C’est
pourquoi dans le monde de la vision, il n’y a ni mensonge ni feintes
94
e a bien pu se tailler son domaine. La propriété,
c’est
le vol, disait Proudhon, au temps où paraissaient précisément les pre
95
», et tout, en l’homme dépend de la pensée. Voir,
c’est
porter un jugement distinctif. Mais, alors, deux questions se posent
96
a vision est métamorphose (métaphysique) Voir,
c’est
juger en même temps que former : — c’est transformer. Dis-moi ce que
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Voir, c’est juger en même temps que former : —
c’est
transformer. Dis-moi ce que tu vois, je te dirai qui tu deviens. Car
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ce, qui lentement la redécouvre, depuis peu27. Et
c’est
ainsi que la physiologie dévore tout ce que la métaphysique avait lai
99
Incarnation, connu ce grand mystère de la vision.
C’est
parfois une connaissance égarée qui traverse un délire lucide, tel ce
100
t mon cœur gelé : “Faiblesse ou force : te voilà,
c’est
la force. Tu ne sais ni où tu vas, ni pourquoi tu vas, entre partout,
101
és ne m’ont peut-être pas vu ».28 D’autres fois,
c’est
la claire connaissance de la béatitude visionnaire : connaissance par
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de l’amour et sur celle de la vision ? Voir Dieu,
c’est
se transformer au sens le plus violent et le plus impossible d’ailleu
103
lent et le plus impossible d’ailleurs ; voir Dieu
c’est
aller à lui. Nous ne voyons que ce qui nous regarde : voir Dieu, c’es
104
us ne voyons que ce qui nous regarde : voir Dieu,
c’est
être regardé par lui. Mais alors, c’est aussi être aimé, et c’est se
105
oir Dieu, c’est être regardé par lui. Mais alors,
c’est
aussi être aimé, et c’est se rendre à la transformation de la vision
106
dé par lui. Mais alors, c’est aussi être aimé, et
c’est
se rendre à la transformation de la vision : c’est donc aimer. Et nul
107
’est se rendre à la transformation de la vision :
c’est
donc aimer. Et nulle vision ne serait « admirable » si elle n’était e
108
et de la vie ; et la nier, mais au nom de la foi,
c’est
du même coup la connaître dans sa signification actuelle. « Ce que no
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la plénitude. Deviner la forme de notre vocation,
c’est
aller au-delà des « apparences actuelles », mais dans les lignes de l
110
la forme saisit d’abord la loi de formation ; et
c’est
alors, mais alors seulement, qu’elle peut poursuivre sans s’égarer da
111
de l’image physionomique de l’univers. Imaginer,
c’est
se placer dans la perspective même de toute genèse spirituelle, dans
112
ception débarrassée des équivoques métaphysiques,
c’est
un irrationalisme concret. L’analyse de l’homme intérieur ou social,
113
es. Notre mesure est donc devenue personnelle, et
c’est
pourquoi il nous faut la chercher dans la vocation créatrice, non plu
114
e est un œil. Et le chant de Lyncée sur sa tour —
c’est
le chant du bonheur de la vision : Zum sehen geboren Zum schauen b
115
tel recueil d’aphorismes, le Gai savoir, Aurore :
c’est
une chasse royale pour l’amateur de correspondances et de métaphores
116
ique ! 28. Une saison en enfer. (Mauvais sang).
C’est
Rimbaud qui souligne les derniers mots. 29. Soliloques de saint Aug
117
asser ce mot de tout pathos romantique. Le drame,
c’est
proprement l’action, en tant que mouvement, évènement, risque, tensio
118
du terme. La formule caractéristique d’ Esprit ,
c’est
la « confrontation ». Confrontation dirigée certes, avec une soupless
119
», d’enrichir si l’on veut, l’action en cours. Et
c’est
à quoi s’emploient les 180 pages mensuelles d’ Esprit . Rien dans tou
120
être plus grave au point de vue de la révolution,
c’est
la fluidité excessive du style des manifestes d’ Esprit . Crainte de
121
ont raison. Pour nous, la vraie nation française
c’est
la communauté des personnes responsables, conscientes de la mission l
122
litants de gauche et de droite l’ignorent encore,
c’est
en vertu d’une double erreur que l’Ordre nouveau seul a dénoncé depui
123
Qu’il se moque de ce qu’on pense de sa conduite,
c’est
parfait ; qu’il le dise, c’est moins bien. Quoi qu’il en soit, reteno
124
se de sa conduite, c’est parfait ; qu’il le dise,
c’est
moins bien. Quoi qu’il en soit, retenons de cette préface sa morale :
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de pratique que Montherlant a cru bon d’adopter ?
C’est
celle du clerc — il dirait : du poète —, qui se réserve pour son œuvr
126
ité finale n’empêche pas de servir quand il faut.
C’est
ce que j’appelle du pessimisme actif. Et c’est la devise du Taciturne
127
t. C’est ce que j’appelle du pessimisme actif. Et
c’est
la devise du Taciturne : « Point n’est besoin d’espérer pour entrepre
128
faut-il entreprendre. D’abord servir, sachant que
c’est
inutile ; ensuite persévérer, malgré les résultats. Mais je crains bi
129
er un peu trop vite le second terme de son titre.
C’est
le concours des deux qui est vrai. L’œuvre avant tout ? Oui, mais tou
130
t tout ? Oui, mais toute œuvre est une action, et
c’est
le contenu de cette œuvre, ou l’objectif de cette action, qu’il impor
131
éconcerter son public à plaisir ; ce qui l’amuse,
c’est
peut-être zéro pour le lecteur. S’il a le droit de déconcerter, c’est
132
pour le lecteur. S’il a le droit de déconcerter,
c’est
pour mieux souligner ce qu’il apporte ; et c’est sur cela seul qu’on
133
c’est pour mieux souligner ce qu’il apporte ; et
c’est
sur cela seul qu’on le jugera. Je veux savoir pourquoi un écrivain éc
134
e dernier trait. Mais comparez leur « écriture »,
c’est
amusant. Et je leur vois, devant certains échecs qu’un peu de soin ou