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serviront avec une assurance tempérée de douceur
cette
phrase type qui résume à leurs yeux la sagesse, la mesure, le bon sen
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cceptent pas de crever de faim en douceur. ⁂ Mais
cette
action très particulière de la non-violence mérite un examen plus app
3
ur « humanité », sont en réalité les complices de
cette
violence jamais avouée. Il est faux et contraire aux faits les plus
4
ce de la Propriété : des violences épisodiques de
cette
envergure n’auraient pas de quoi nous troubler. Mais il arrive que l’
5
ec la brutalité physique imbécile. Et il condamne
cette
brutalité dans tous les cas où elle ne sert pas à assurer sa sécurité
6
enant des « ennemis de la violence » ! On songe à
cette
race de moutons dont parlait Élisée Reclus, et qui sont plus néfastes
7
ne mouche. » Peut-être est-il prudent de corriger
cette
exagération légère. Léon-Paul Fargue, à propos du bourgeois, disait u
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aits marquants de la mentalité petite-bourgeoise,
cette
avarice de tempérament, cette méfiance vis-à-vis de toute nouveauté r
9
petite-bourgeoise, cette avarice de tempérament,
cette
méfiance vis-à-vis de toute nouveauté réelle, ce besoin de contrôler
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abattre sans pitié tout ce qui dépasse. Cependant
cette
défense meurtrière d’une position toute théorique se révélant pour l’
11
t l’avènement « dialectique », de l’inévitable. À
cette
pureté synonyme de mort nous opposerons notre violence personnelle, r
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a son ressort dans la personne même, en tant que
cette
personne s’oppose à toutes les abstractions systématiques, qu’elles s
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actuel l’empêche atrocement d’être humain. Seule
cette
revendication perpétuelle de l’humain contre l’inhumain portera toujo
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ndiqué nettement, à la fin de l’enquête, pourquoi
cette
solidarité nous paraissait encore plus indésirable qu’impossible. Je
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prix littéraires et de coups de pied au derrière.
Cette
jeunesse a terriblement vieilli : elle est déjà jeune-radicale. On di
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ne tradition révolutionnaire personnaliste. C’est
cette
tradition qui a fondé l’autorité de la France dans le monde moderne.
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mmes et voulons être avant tout des doctrinaires.
Cette
volonté a scandalisé certains de nos adversaires, qui prétendent part
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ar le commencement ». Nous accepterons volontiers
cette
formule, qui a le mérite de la simplicité. Mais nous disons que le co
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effet d’une doctrine matérialiste) ou du champ de
cette
liberté (par l’effet d’une doctrine étatiste) ? En présence de ces fa
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ctions et la méthode personnaliste qui les anime.
Cette
méthode constitue la partie la plus élaborée de notre effort et l’on
21
dée la tension nécessaire, et assuré, en fonction
cette
fois d’une mesure humaine, le minimum de vie matérielle qui permet à
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révolutionnaire. On ne saurait trop insister sur
cette
vérité, à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroite
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dont nous faisons dépendre tout l’ordre nouveau,
cette
« source d’énergie » permanente de la révolution, c’est la personne h
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la guerre, mais qui n’avait pas encore trouvé, à
cette
époque, une forme politique adéquate. Cette « civilisation quantitati
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vé, à cette époque, une forme politique adéquate.
Cette
« civilisation quantitative » telle que M. Guglielmo Ferrero, le prem
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u malentendu, d’autant plus grave qu’il porterait
cette
fois sut le centre même de l’œuvre, et non plus sur les avatars de sa
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ensée par ailleurs authentiquement chrétienne. Et
cette
défaillance expliquerait pourquoi Kierkegaard ne devint pas lui-même
28
ors Freud en serait un, dans l’autre sens !) Oui,
cette
foi est « impensable », comme l’éternité pour le temps. Oui, c’est un
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soit sauvé par sa perte. Mais que vient faite ici
cette
ardeur de durer, de penser, de trouver des raisons ? Ne sent-on pas q
30
nt une réponse. Ce n’est pas que je puisse donner
cette
réponse, loin de là. Je voudrais seulement les aider à prendre au sér
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ondition prolétarienne ». Il est bon de noter que
cette
conception dépasse les rêveries marxistes dans leur domaine de prédil
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a justesse, découvert la fécondité surprenante de
cette
vue d’origine purement doctrinale. Bel exemple du pouvoir des philoso
33
dans Que faire ? On ne saurait trop insister sur
cette
vérité, à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroite
34
n félicitent gravement.) Il faut rendre à Dandieu
cette
justice11 que le « contresens habituel sur l’esprit » n’a jamais été
35
eul constituerait la Révolution véritable. Contre
cette
illusion rationaliste-idéaliste de la synthèse, qui justifie en philo
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rkegaard, vis-à-vis de la dialectique hégélienne.
Cette
opposition me paraît la plus profonde et la plus significative de tou
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aître une pensée effective, créatrice, c’est bien
cette
faculté de libérer l’être des mots. Cessons d’épiloguer sur les vieil
38
int par hasard qu’on tentait de nous la réduire à
cette
description résignée des altérations du langage. Je ne voudrais pas c
39
t de la Révolution nécessaire. Mais qu’est-ce que
cette
définition, sinon celle même du vieil individu idéaliste, cet individ
40
acte. (Il faudrait être Bloy pour montrer comment
cette
« peau » du bourgeois pour laquelle il mourrait, dit-on, ne peut être
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-août 1934)o Y a-t-il des jeunes protestants ?
Cette
enquête le démontrera sans doute. Il faut avouer pourtant qu’il n’est
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firmer dans le domaine de César ? De la réponse à
cette
question dépendra notre évaluation des tentatives esquissées jusqu’ic
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devenir un ange. Le christianisme intervient dans
cette
fausse symétrie avec une sorte d’humour transcendant, fort bien expri
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vangile le révèle à lui-même, comme perdu, et par
cette
révélation, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans un paradoxe ;
45
e, mais à le transformer — seulement, il sait que
cette
transformation s’appelle le Royaume de Dieu, non le royaume de l’homm
46
ue la communauté doit toujours être subordonnée à
cette
fin la plus haute de l’homme qu’est sa foi, — sa situation personnell
47
la diffusion, je crois, est restée assez limitée.
Cette
tentative désespérée n’est pas sans noblesse. Et l’on ne saurait trop
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d à échapper à la politique et sort du domaine de
cette
enquête. Dans la mesure où elle devient l’expression d’un mouvement,
49
, manifesta pour la première fois l’existence de
cette
« troisième force », non marxiste et anticapitaliste, qui depuis lors
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écisée et développée. Les deux groupes de tête de
cette
révolution que je considère comme étant la seule réelle et vraiment n
51
e de conscience révolutionnaire. Lieu commun pour
cette
génération : la violence véritable est celle des constructeurs. Le pr
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nisme antiproductiviste, régionalisme, traduisant
cette
formule de base : Spirituel d’abord, Économique ensuite, Politique à
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(l’individu engagé dans un conflit concret). Sur
cette
notion d’acte pris comme point de départ 18 se fondent ses analyses d
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ouvoir et des valeurs, et sa critique du travail.
Cette
critique se développe en une doctrine économique, dont on trouvera la
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auche. « Primauté du spirituel », nous retrouvons
cette
affirmation dans la revue Esprit . S’agit-il là, encore, du spiritue
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if « spirituel » qualifiant l’acte personnel — et
cette
nuance est capitale —, il est incontestable que l’« esprit » d’ Espri
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tel titre n’évoque-t-il pas un souvenir fameux ?
Cette
revue jouera-t-elle un rôle comparable à celui des Cahiers de la quin
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Je crois bien n’être pas sorti du cadre précis de
cette
enquête en marquant la coïncidence de ces principes et des doctrines
59
el parti, aussi bien à gauche qu’à droite22. Avec
cette
différence qu’au sein de partis si nombreux, sa voix n’aurait aucun e
60
e théologie fidèle à la Réforme. Mais, justement,
cette
théologie nous ordonne d’agir, et de nous engager. N’attendons pas qu
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fendent, et qu’on le peut sans renoncer à rien de
cette
vérité qui jugera toujours tous les systèmes. Travaillons avec ceux q
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préparation. 19. L’origine « philosophique » de
cette
institution a pu rendre méfiants certains économistes. Mais déjà tout
63
numéro 5 de Hic et Nunc , tout entier consacré à
cette
exégèse de la parabole du bon Samaritain. 21. On trouve cependant au
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le frein à l’entraînement de la vie citadine ; à
cette
espèce de centrifugation spirituelle. Rappelons ici quelques-unes des
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exorable, inconnaissable, tout prêt à sanctionner
cette
confusion de la morale et de l’argent que les bourgeois s’obstinent à
66
pour visage et vision : Gesicht. Quelle est donc
cette
parenté des apparences ? Si la vision voit le visage, et de la sorte,
67
situer certains résultats provisoires acquis par
cette
éphémère « science ». L’un, entre autres, qui peut nous apporter ici
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aphysiciens. En vérité, la curieuse aventure, que
cette
espèce d’autosuppression ! Une fois rendus à qui de droit les honneur
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se perd dans un bavardage infini, dans ce vide ou
cette
« profondeur » ou plus rien n’arrête la parole. Mais les mystiques et
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se risque à déchiffrer le fascinant spectacle de
cette
œuvre mordue par le temps et modelée par la lumière, ce n’est pas le
71
s, peut aussi nous apprendre le moins. Où trouver
cette
force et ce maître, comment voir ce modèle idéal qui saurait nous ren
72
l’attendons avec persévérance », dit encore Paul.
Cette
attente persévérante, cette action d’espérance, voilà le sens qu’il f
73
e », dit encore Paul. Cette attente persévérante,
cette
action d’espérance, voilà le sens qu’il faut donner à l’imagination q
74
lle n’est pas non plus ce rêve de l’indiscret, ou
cette
revanche sur le réel qu’elle figure aux yeux du romantique ; si elle
75
e soit la vénération qu’on éprouve en présence de
cette
forme de toutes les formes que nous offre la face de l’homme, il faut
76
qui est la clef de tout le romantisme allemand de
cette
grandiose conception d’un univers où tout est correspondance organiqu
77
des symbolistes. Je suis bien loin de croire que
cette
pensée ait épuisé sa vérité. Je la vois même promise à une prochaine
78
gique. Schleiermacher est l’expression géniale de
cette
hérésie romantique, qui ne tendait à rien de moins qu’à la glorificat
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Ce qui subsiste de l’Organismusgedanke, une fois
cette
conception débarrassée des équivoques métaphysiques, c’est un irratio
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hercher dans la vocation créatrice, non plus dans
cette
fonction sociale impersonnelle que représente la raison. Faut-il conc
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ions de l’âme ? Pas trace de « psychologie » dans
cette
œuvre qui cependant paraissait ne prêter à rien d’autre : Les Affinit
82
e Gai Savoir : J’ai regardé durant un bon moment
cette
ville, ses maisons de campagne et ses jardins d’agrément et le large
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re ; je vois des visages de générations passées —
cette
contrée est couverte par les images d’hommes intrépides et souverains
84
ques. Autre différence, ou plutôt autre aspect de
cette
même différence : l’ON s’interdit, dans sa revue, toute espèce de pol
85
uel grossier abus du mot nation a-t-on pu venir à
cette
alternative ? Lorsqu’à Valmy le général Kellermann entraîne ses troup
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« plan d’action » sur la doctrine, on est sûr que
cette
gauche et cette droite travaillent en fait pour le désordre, et que l
87
» sur la doctrine, on est sûr que cette gauche et
cette
droite travaillent en fait pour le désordre, et que les seuls bénéfic
88
uche parlementaires. Seulement, cela se complique
cette
fois de matraques et de mitrailleuses. Au lieu de tomber un ministère
89
c’est moins bien. Quoi qu’il en soit, retenons de
cette
préface sa morale : « Dès l’instant où l’on se récure du frivole, la
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’Espagne, d’autres sur l’Algérie, échantillons de
cette
Rose de sable qu’un scrupule patriotique retient l’auteur de publier
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de de l’écrivain devant l’action. Arrêtons-nous à
cette
partie-là qui explique le titre du livre. On a plaisir à discuter des
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spèce de hargne. (On perdait un peu l’habitude de
cette
fière politesse, dans ce temps où les partisans ont l’air de haïr dav
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ervice — à condition que le sentiment poignant de
cette
vanité finale n’empêche pas de servir quand il faut. C’est ce que j’a
94
oute œuvre est une action, et c’est le contenu de
cette
œuvre, ou l’objectif de cette action, qu’il importe avant tout de con
95
c’est le contenu de cette œuvre, ou l’objectif de
cette
action, qu’il importe avant tout de connaître. Et non pas seulement q
96
’autre, ces mêmes façons de ne se piquer de rien,
cette
même désinvolture tempérée de respect vis-à-vis de ses propres affair