1 ence… ». L’ennemi de la violence, tel que nous le connaissons , est un monsieur qui soutient la police, chargée de réprimer violemme

2 e-t-on déjà, sous le fard, de vieilles rides bien connues  ? À ces questions, l’ouvrage que René Dupuis et Alexandre Marc vienne

3 r dans le rêve d’un « troisième terme » dont nous connaissons désormais le monstrueux visage ? — « Nous sommes sur la terre décisiv

4 ositions, sur le plan de l’action publique. On ne connaît pas en France de parti protestant comparable aux nombreux groupements

5 ange fait la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’Évangile le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette révél

6 nière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa condition actuelle. Mais il faut savoir aus

7 u prend les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les fins, et en vient à dévaloriser les moyens. Ou encore : pour

8 u, prendre parti. Comme le réactionnaire, il veut connaître l’homme tel qu’il est — seulement il le connaît mieux. Comme le marxi

9 connaître l’homme tel qu’il est — seulement il le connaît mieux. Comme le marxiste, il sait que sa doctrine n’a pas à expliquer

10 aimer : Colette a décrit cela dans la Chatte. On connaît ces faits. On les connaît bien dans le détail. Je ne vois pas qu’on a

11 cela dans la Chatte. On connaît ces faits. On les connaît bien dans le détail. Je ne vois pas qu’on ait tiré de leur ensemble a

12 utre. Elle est drame, elle est événement. Elle ne connaît rien que des formes, et ne croit rien que ce qui apparaît. « Rien n’e

13 n peut les dire du visage. La langue allemande ne connaît qu’un mot pour visage et vision : Gesicht. Quelle est donc cette pare

14 saint Paul ou de saint Jean, pour la plupart bien connus , qui ont fixé le vocabulaire métaphysique et poétique de tout le Moye

15 s alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. » (I Cor. 1

16 ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. » (I Cor. 13.12) À la question de notre psychol

17 n partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu . » (I Cor. 13.12) À la question de notre psychologue — sinon celle qu

18 à laquelle répond l’apôtre lorsqu’il écrit : « Je connaîtrai comme j’ai été connu ». Au commencement est la lumière (physique)

19 lorsqu’il écrit : « Je connaîtrai comme j’ai été connu  ». Au commencement est la lumière (physique) On ne voit que ce

20 t se meut et se forme, et de même qu’elle a été «  connue  » par la lumière, de même elle devient à nos yeux reconnaissable. Il

21 poètes ont, de tout temps, depuis l’Incarnation, connu ce grand mystère de la vision. C’est parfois une connaissance égarée

22 et reflet, fragment et trouble. « Aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu ». Cet alors

23 « Aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu ». Cet alors est la plénitude d’un aujourd’hui q

24 n partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu  ». Cet alors est la plénitude d’un aujourd’hui que nous ne connaisson

25 ors est la plénitude d’un aujourd’hui que nous ne connaissons que par ses limites et ses formes. Ainsi donc, dépasser la vision, ce

26 ier, mais au nom de la foi, c’est du même coup la connaître dans sa signification actuelle. « Ce que nous sommes n’a pas encore é

27 n ce grand mouvement de la pensée européenne, qui connut sa splendeur féconde aux temps du romantisme et de la vie de Goethe,

28 as intervenir un seul concept abstrait, et qui ne connaît d’autres arguments que les parties du corps humain, les plantes, les

29 ctif de cette action, qu’il importe avant tout de connaître . Et non pas seulement que l’auteur a su se mettre en condition de fai