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ubir. C’est-à-dire qu’il se décide pour la police
contre
la révolution. Non-violence, tel est le prétexte typique, grossier et
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et tous les bourgeois pacifiques qui se préludent
contre
nous de leur « humanité », sont en réalité les complices de cette vio
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de l’épouvantable désordre dans lequel il vit. ⁂
Contre
une violence absurde, dénaturée et hypocrite, nous ne défendrons pas
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tits purs, ceux qui se prévalent d’un mot d’ordre
contre
ceux qui font l’ordre nouveau ; petits purs, ceux qui trouvent toujou
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Seule cette revendication perpétuelle de l’humain
contre
l’inhumain portera toujours en elle-même une garantie révolutionnaire
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ontraire la revendication universelle de l’humain
contre
tout ce que l’homme invente pour se mettre à l’abri du risque normal
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ri du risque normal et nécessaire de l’existence,
contre
toutes les tyrannies qu’il s’impose en vertu du sadisme de la lâcheté
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sère aujourd’hui le personnalisme, c’est la lutte
contre
l’étatisme moderne tel qu’il s’est constitué depuis Marx, phénomène b
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e du chambardement, de l’émeute et du sang versé.
Contre
lui, nous maintiendrons la primauté de la doctrine, avec tout ce que
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étariat, par-dessus la tête de ses vieux meneurs,
contre
la condition prolétarienne. Pour l’Ordre nouveau : Arnaud Dandieu, De
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en d’une « rouspétance », devenue traditionnelle,
contre
les pouvoirs et les corvées publiques. C’est un conformisme total et…
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peut dire qu’il mourut en martyr9 d’avoir défendu
contre
tous l’impossibilité humaine du témoignage, — n’a-t-il point, par sa
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essentiellement la faculté qui, dressant l’homme
contre
l’univers, le faisant résister et survivre, attaquer et étendre son p
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, qui seul constituerait la Révolution véritable.
Contre
cette illusion rationaliste-idéaliste de la synthèse, qui justifie en
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Royaume de Dieu, non le royaume de l’homme moyen.
Contre
le réactionnaire, il affirme que l’ordre établi ne saurait être en au
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saurait être en aucun cas définitif ni suffisant.
Contre
le marxiste, il affirme que l’évolution nécessaire n’entraîne pas une
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un acte révolutionnaire. Elles se dressent ainsi
contre
le préjugé le plus nocif de la mentalité politique française. C’est u
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uvelle communauté. Or, on s’unit toujours pour ou
contre
quelque chose. Des gens qui souffrent et qui n’ont plus d’attaches so
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it plus s’ils s’opposent ou s’ils s’appuient l’un
contre
l’autre. Elle est drame, elle est événement. Elle ne connaît rien que
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e de la France. Nous pouvons nous dire nationaux,
contre
l’idole sanguinaire du nationalisme moderne. Nous pouvons nous dire p
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alisme moderne. Nous pouvons nous dire patriotes,
contre
les sociétés anonymes qui ruinent des provinces entières et financent
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ront national. Nous pouvons nous dire populaires,
contre
les démagogues apeurés qui font le jeu d’une dictature aux ordres des
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aux ordres des nationalistes russes. Nous sommes
contre
un système capitaliste, à droite, ou étatiste, à gauche, qui tente de
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e mène à la guerre entre autres. Faut-il préciser
contre
qui ? Leurs intérêts pratiques se rejoignent très bien par-delà les m
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reur sur la mystique : la lutte des « nationaux »
contre
les « populaires » ne fait que prolonger dans la rue l’opposition sté
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roites auront compris que la Banque de France est
contre
la patrie, quand les gauches auront compris que la peur de Chiappe n’
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e me coûte pas d’en être aussitôt privé ». Et par
contre
ceci, que je lis dans Service inutile, n’est-ce pas l’écho de la viri