1 sme bourgeois. Nous ne prenons pas à la légère le drame de la Révolution. Il est des crises nécessaires1. Mais c’est à nous p

2 ou s’ils s’appuient l’un contre l’autre. Elle est drame , elle est événement. Elle ne connaît rien que des formes, et ne croit

3 duit dans la vision, s’est installé à la place du drame , avec l’étrange prétention d’arbitrer le conflit vital, de séparer le

4 es autres — le mangent. Il sera donc mangé, et le drame pourra se poursuivre24. Ceci soit dit pour situer certains résultats

5 e, dans l’axe de la personne en exercice, dans le drame de la forme, — et y participer. Nous le tenons, ce lien vivant qui un

6 est réel, tout est action et résistance, tout est drame . Et les correspondances sont embrassées d’un seul regard. Les formes

7 dans l’actualité de la Parole. C’était sortir du drame , pour se perdre dans une fièvre nostalgique. Schleiermacher est l’exp

8 t perdre l’humain, elles sortent du concret, — du drame . 25. M. Spaier, dans la Pensée concrète (Alcan). 26. Depuis l’impre

9 débarrasser ce mot de tout pathos romantique. Le drame , c’est proprement l’action, en tant que mouvement, évènement, risque,

10 que mouvement, évènement, risque, tension. Un tel drame se passe fort bien d’appréciations sentimentales. Il est d’ailleurs d