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s révolutionnaire ? M. Durand-Dupont ne s’est pas
fait
prier pour nous répondre. Il est curieux de tout ce que font « les je
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pour nous répondre. Il est curieux de tout ce que
font
« les jeunes ». Il a été jeune, lui aussi. Du moins il l’affirme. — P
3
pes libéraux, ennemi de toute violence, et qui ne
ferait
pas de mal à une mouche. ⁂ Des millions de gens vous répondront cela
4
ont est persuadé qu’il exprime une opinion tout à
fait
courante et par là même justifiée jusqu’à l’évidence. Prenons sa phra
5
ue toutes ses convictions inconscientes tendent à
faire
apparaître comme très grave, et théoriquement insoluble. Et l’on sait
6
r le déclarer insoluble, puis se résout à laisser
faire
à d’autres, et par d’autres, ce qu’il ne voudrait pas faire, ni subir
7
autres, et par d’autres, ce qu’il ne voudrait pas
faire
, ni subir. C’est-à-dire qu’il se décide pour la police contre la révo
8
me de liberté. La liberté d’opposition est tout à
fait
illusoire, même chez nous (sic). Et ceux qui seraient tentés d’en use
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qui seraient tentés d’en user n’aboutiraient qu’à
faire
apparaître la violence latente du régime. Il suffit d’un Léon Daudet,
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une illusoire non-violence : ce serait en réalité
faire
le jeu des maîtres de l’heure. Nous proclamons une violence spirituel
11
umaine3. Mais la santé révolutionnaire consiste à
faire
apparaître, fût-ce brutalement, ce que l’« ordre » bourgeois prétend
12
physique, c’est le contact avec le réel, c’est le
fait
que celui qui donne un coup se met à portée d’une riposte. Ils préfèr
13
upont cherchait à nous persuader. 6. « … qu’il ne
ferait
pas de mal à une mouche. » Peut-être est-il prudent de corriger cette
14
« Il n’est pas d’une méchanceté cérastoïde. Il ne
ferait
pas de mal à un lion. » 1. Interventions chirurgicales. 2. Aron et
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ils sont incapables de dominer, condamnent ce qui
fait
la vie même de la Révolution, c’est-à-dire : la critique violente et
16
qui se prévalent d’un mot d’ordre contre ceux qui
font
l’ordre nouveau ; petits purs, ceux qui trouvent toujours de bonnes r
17
nt les petits bourgeois de la Révolution. Puis du
fait
qu’ils se disent révolutionnaires, ces bons petits intellectuels devi
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fé. À les en croire, il n’y aurait rien d’autre à
faire
que d’installer des mitrailleuses tout le long de la fameuse « ligne
19
Nizan, une querelle de personnes que je veux vous
faire
. Vous parlez au pluriel, en ce qui vous concerne, et vous n’attaquez
20
e de votre étude. Pour le reste, je ne puis mieux
faire
que de renvoyer ces lecteurs à l’article de Jean-Richard Bloch, que l
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ns qui l’entourent et qui la menacent. Tel est le
fait
. Elle souffre d’une carence aiguë de la jeunesse. C’est pourquoi le p
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s œuvres ; un peu plus de violence réelle les eût
fait
accéder à la conscience active et concrète de l’époque ; et c’eût été
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je le sais bien, que l’idéologie révolutionnaire
fait
des ravages, depuis peu, dans les primes cervelles bourgeoises. Une r
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par des revues littéraires. Peut-être voulait-on
faire
allusion aux exercices de rhétorique prolétarienne publiés ici où là
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sabotée, ruinée et trahie. De la personne elle a
fait
l’individu, ouvrant ainsi les voies aux collectivismes qui triomphent
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’Est. De la patrie, centre de rayonnement, elle a
fait
la nation-carcan. Et de l’universalité de la personne, elle a permis
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itlériens sont justifiés à nous jeter. Nous ne le
ferons
pas en défendant des institutions démocratiques qui sont le témoignag
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ont le témoignage de notre démission ; nous ne le
ferons
pas en nous mettant à la remorque du marxisme, fils d’une démocratie
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arxisme, fils d’une démocratie exsangue ; nous le
ferons
bien moins encore par l’affirmation tardive d’un nationalisme traître
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re 1933)h Le groupe de l’Ordre nouveau n’a pas
fait
jusqu’ici beaucoup de bruit sur les places. C’est que nous sommes et
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i : nous suspendons toutes nos constructions à un
fait
humain central, la personne — telle que nous la définirons tout à l’h
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atrice, partant, de toute dignité humaine. ⁂ Pour
faire
sentir tout de suite le concret d’une telle doctrine, voyons d’abord
33
ivisé, soumise à un organe de répartition, tout à
fait
distinct du pouvoir politique. Ainsi se trouve sauvegardée la tension
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privilèges abandonnés, sabotent la révolution et
font
la bourgeoisie du xixe siècle. Des privilèges ? Mais tous les hommes
35
un ordre nouveau. 4° Cet acte créateur dont nous
faisons
dépendre tout l’ordre nouveau, cette « source d’énergie » permanente
36
les antagonismes artificiels et destructeurs que
fait
naître le capitalisme matérialiste. 9° Nous sommes avec le prolétaria
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uer, elles devront se compléter. 5. Lénine : Que
faire
? h. Rougemont Denis de, « Positions d’attaque pour l’ordre nouveau
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ait changé, depuis dix ans, plus qu’il ne l’avait
fait
depuis Napoléon, c’est une évidence acquise et qui peut figurer d’ore
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nger, la réputation de « statisme » que l’on veut
faire
à la France d’après-guerre. Nos deux publicistes appartiennent à la g
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omme L’Ordre nouveau ou Esprit . Ils ont voulu
faire
œuvre d’information d’abord mais aussi de critique constructive, et i
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« vieilles rides » qui reparaissent et qui déjà,
font
grimacer d’une grimace fâcheusement américaine, le visage rajeuni de
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ns le calme et l’audace spirituelle, un ordre qui
fasse
de l’« homme », et non plus de l’État ou de l’Argent, son but suprême
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Kierkegaard (1934)l Je serais bien en peine de
faire
l’éloge de ce livre. Parfois, je le voudrais tout autre. Tel qu’il es
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ut rendre un sens énergique — le croyant le moins
fait
aux mystères dialectiques. Le livre de Koch est la démonstration de l
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érite décisif de ce livre, c’est que peut-être il
fera
faite la moue aux spécialistes de l’histoire des systèmes, aux amateu
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décisif de ce livre, c’est que peut-être il fera
faite
la moue aux spécialistes de l’histoire des systèmes, aux amateurs d’é
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riissem nisi periissem ! La devise de Kierkegaard
fait
écho à ce cri de Thérèse d’Avila : « Je meurs de ne pas mourir. » Qu’
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e l’homme soit sauvé par sa perte. Mais que vient
faite
ici cette ardeur de durer, de penser, de trouver des raisons ? Ne sen
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ntendu, n’est qu’apparences, psychologie. Le seul
fait
, c’est la foi qui soutient tout. Mais peu l’ont vu. 8. « Le christia
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ppels à Luc, n’a pas répondu à notre question, il
fait
métier d’être incapable de répondre aux questions. Aussi quittant le
51
n savoir pour quelle espèce d’hommes on écrit, en
fait
, mais il faudrait des statistiques difficiles à établir. Par exemple
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urs d’une conversation, cet été, Nicolas Berdiaev
faisait
observer que notre époque dominée par les « problèmes économiques »,
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é, au sens littéral du terme ; et c’est ce que ne
font
pas, et ne peuvent pas faire, nos professeurs idéalistes et tous nos
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; et c’est ce que ne font pas, et ne peuvent pas
faire
, nos professeurs idéalistes et tous nos prêtres de l’insoluble. Encor
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ératrices qu’on leur propose ; et c’est ce que ne
font
pas les brigadiers et les embrigadés de toute farine que nous voyons
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’action révolutionnaire, écrivait Lénine dans Que
faire
? On ne saurait trop insister sur cette vérité, à une époque où l’eng
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révolution matérialiste, à force d’autre part, de
faire
sur l’esprit le contresens habituel qui le réduit à être une faculté
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aculté qui, dressant l’homme contre l’univers, le
faisant
résister et survivre, attaquer et étendre son pouvoir, lui permet de
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resens habituel sur l’esprit » n’a jamais été son
fait
, mais bien celui, intéressé, de certains de ses adversaires, de certa
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sans soulever deux objections que Ramon Fernandez
faisait
récemment à ces auteurs13. La première porte sur la notion de la pers
61
ans n’importe quelles conditions données… et peut
faire
bon ménage avec la société la plus strictement sociale ». Et voici dé
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usse. » Fernandez a peut-être des lumières qui me
font
absolument défaut sur la psychologie du bourgeois, animal visqueux et
63
arseille, juin 1934, p. 386-391. n. Rougemont en
fera
la recension dans la NRF de mars 1936.
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es de la doctrine. I. Ce que la foi nous dit de
faire
En dépit de certaine polémique bourgeoise, il n’existe pas de théo
65
ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut
faire
l’ange fait la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’Év
66
ête, et le malheur veut que qui veut faire l’ange
fait
la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’Évangile le ré
67
’il se sait perdu. Je dis que seul ce paradoxe le
fait
humain : car si l’homme peut se voir perdu, c’est qu’il croit, c’est
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il est dans la foi ; mais être dans la foi, c’est
faire
la volonté de Dieu, c’est agir, c’est donc attester sa dignité propre
69
stème, par un programme, par des solutions toutes
faites
. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la politique et not
70
e révolution sans illusions. II. Qu’avons-nous
fait
? Le lecteur voudra bien considérer que ce qu’on vient de lui dire
71
ssent. Un chrétien a-t-il le droit de rêver ? Que
faire
alors, dans l’état de choses qui s’offre à nous ? De l’action « socia
72
suis rallié pour ma part. III. Qu’allons-nous
faire
? Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pessimisme actif. Révoluti
73
des métiers : germes de corporations destinées à
faire
éclater, par leur développement normal, les cadres de l’ordre ancien.
74
ves ou les abyssales logomachies dialectiques qui
font
le charme des revues communistes. Rien dans ces textes pour flatter l
75
ation de la personne à un acte20, tel est donc le
fait
spirituel, le fait humain par excellence auquel l’Ordre nouveau ratta
76
e à un acte20, tel est donc le fait spirituel, le
fait
humain par excellence auquel l’Ordre nouveau rattache d’une façon imm
77
sieurs des mots d’ordre que la jeunesse française
fait
siens depuis un an ont été lancés par l’ON qui a eu l’adresse de ne p
78
é lancés par l’ON qui a eu l’adresse de ne pas en
faire
une sorte de propriété privée. Parmi eux, je citerai le « ni droite n
79
s, un péguysme parfois complaisant, — on voudrait
faire
l’éloge de ces gaucheries, songeant aux habiletés stériles, idiotes,
80
ation d’une position politique qui permettra de «
faire
la France protestante ». Je croirais davantage à la vertu d’une théol
81
qu’on voudrait expliquer. A-t-on pris garde à ce
fait
simple et général : que la révolution naît dans les villes ; que c’es
82
ns, des concierges, la brutalité des gérants, qui
fait
si bien sentir qu’on n’est plus chez soi nulle part, que l’on est tol
83
ière. Quel remède à ce péril qui, chaque jour, se
fait
plus menaçant ? On a dit : retour à la terre. Le mot d’ordre est bien
84
jeunes citadins jacobinisés malgré eux, vous n’en
ferez
pas des paysans. L’expérience allemande l’a montré, et l’échec des «
85
re, pensait-il, de « s’expliquer », mais comme on
fait
devant un tribunal, — et ce n’était pas leur coutume… L’aventure est
86
voit l’esprit dans son action, et le prend sur le
fait
de la métamorphose ? Et si l’on sait que la vision est acte, on saura
87
ssique détaille admirablement les motifs, mais ce
faisant
, il détend les ressorts de l’imprévisible événement — tensions instit
88
, des anatomies, des machines. Il sait de quoi se
fait
un sourire ; il peut le mettre sur la face d’une maison, aux plis d’u
89
e de Job, de ce profond traité théologique qui ne
fait
pas intervenir un seul concept abstrait, et qui ne connaît d’autres a
90
ologique qui se dessine un peu partout ne saurait
faire
fi des résultats d’observation acquis par les travaux de la psycholog
91
croyons avoir, pour le moment, tout autre chose à
faire
. Dans les 32 pages de notre revue, nous ne pouvons pas commenter la R
92
ire populaires, contre les démagogues apeurés qui
font
le jeu d’une dictature aux ordres des nationalistes russes. Nous somm
93
r que cette gauche et cette droite travaillent en
fait
pour le désordre, et que les seuls bénéficiaires de luttes civiles au
94
s de luttes civiles aussi mal orientées seront en
fait
les gros bailleurs de fonds. Erreur sur la mystique : la lutte des «
95
te des « nationaux » contre les « populaires » ne
fait
que prolonger dans la rue l’opposition stérile et périmée de la droit
96
re à ce beau livre33. Je crois que Montherlant se
fait
du tort chaque fois qu’il entreprend de s’expliquer : on ne lui en de
97
ement que l’auteur a su se mettre en condition de
faire
son œuvre, et de ne servir qu’à bon escient. À quoi Montherlant répon
98
u’à d’autres). « Les œuvres des écrivains ont été
faites
par le besoin organique qu’ont les écrivains de s’exprimer ». Ou enco
99
L’Écrivain digne de ce nom doit, dans son art, ne
faire
que ce qui lui est agréable. Ce qu’il ferait dans d’autres conditions
100
t, ne faire que ce qui lui est agréable. Ce qu’il
ferait
dans d’autres conditions serait mal fait. » Est-ce que ce beau mot d’
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qu’il ferait dans d’autres conditions serait mal
fait
. » Est-ce que ce beau mot d’agréable ne prête pas ici à confusion ? L
102
Les plus grands ont été les moins libres de n’en
faire
qu’à leur agrément. En bref, on peut reprocher à Montherlant de parle
103
ue la jouissance me promet d’être heureux, ce qui
fait
qu’il ne me coûte pas d’en être aussitôt privé ». Et par contre ceci,
104
publique, et de l’Église… Jusqu’au plaisir de se
faire
un peu voler par un serviteur agréable, que tous les deux ont pris so