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étalent en des écrits dépourvus de puissance, un
goût
du sang qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois. Nous ne
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est de volupté ou de terreur. La peur du sang, le
goût
du sang : ce sont là deux aspects morbides d’une même maladie bourgeo
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ique de l’univers ? On pourrait m’objecter que le
goût
de la forme, apanage évident du « latin », suppose des géométries plu
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u bon sens en ces matières. Deux morceaux dans le
goût
classique le plus sévère sur la prudence et sur l’usage des vertus. E
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oir modifier une forme de gouvernement… » Ce même
goût
du bonheur, chez l’un et l’autre, ces mêmes façons de ne se piquer de