1 me est un danger permanent au sein de la jeunesse intellectuelle bourgeoise théoriquement acquise à la Révolution. On reconnaît en lui

2 u’ils se disent révolutionnaires, ces bons petits intellectuels deviennent un danger pour la Révolution ou pour ne rien exagérer un p

3 t l’autre jour, non sans effroi, du « bolchévisme intellectuel  » qu’auraient manifesté certains écrits récents, publiés par des revu

4 u’il sévit actuellement, parmi certains groupes d’ intellectuels , un véritable romantisme du chambardement, de l’émeute et du sang ver

5 On nous a aussi reproché de n’être qu’un groupe d’ intellectuels « bourgeois ». Comme ce reproche nous vient des marxistes, nous nous

6 ésentants instruits des classes possédantes : les intellectuels . Par leur situation sociale, les fondateurs du socialisme scientifiqu

7 tifique contemporain, Marx et Engels, étaient des intellectuels bourgeois. De même, en Russie, la doctrine sociale-démocrate surgit i

8 l et fatal du développement de la pensée chez les intellectuels .5 Peut-être ne serait-il pas inutile, pour conclure, de dégager cla

9 mbien de bourgeois, combien de paysans, combien d’ intellectuels parmi les lecteurs de Commune ? h. « Pour qui écrivez-vous ? », Com

10 abituel qui le réduit à être une faculté purement intellectuelle , sans contact avec les événements, sans action effective, on est parv

11 e plus en plus important dans la vie politique et intellectuelle de la France et, par là même, à influencer toutes nos tentatives de r

12 la tâche à laquelle il a consacré toute sa force intellectuelle et toute son œuvre… S’il ne meurt pas, dit-il, il devra poursuivre sa

13 ce de lui créer une atmosphère, un champ d’essais intellectuels , je dirais même une sentimentalité, au meilleur sens du terme. La for