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, sont en réalité les complices de cette violence
jamais
avouée. Il est faux et contraire aux faits les plus patents, de prét
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ar son abstraction. Il importe qu’elle ne s’avoue
jamais
, qu’elle invoque toujours un prétexte élevé : maintenir l’ordre, port
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être « de culture ». Il importe qu’elle ne revête
jamais
un aspect proprement brutal, à moins que ce ne soit à de grandes dist
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demande par quel sophisme un régime d’opinion put
jamais
être confondu avec un régime de liberté. La liberté d’opposition est
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idéalistes : l’« imperfection naturelle » ne sera
jamais
supprimée dans l’œuvre humaine3. Mais la santé révolutionnaire consis
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problème de notre génération. La sécurité ne sera
jamais
garantie par la signature des vieillards ; elle repose sur la puissan
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ion sans issue : le plan matérialiste. Qui pourra
jamais
fixer absolument ce fameux minimum de vie nécessaire ? Il varie dans
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1 que le « contresens habituel sur l’esprit » n’a
jamais
été son fait, mais bien celui, intéressé, de certains de ses adversai
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court, ou même l’homme noble, ou prolétaire, n’a
jamais
risqué sa peau pour des intérêts. On ne se bat et on ne meurt que pou
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essaire, comme manger, travailler et penser, mais
jamais
un système politique ni aucune synthèse humaine n’aura de droit sur n
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nt que personnes, en tant que vocations. Surtout,
jamais
un succès politique ne pourra, pour nous, se confondre avec un progrè
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ne activité dont, à coup sûr, le bienfait ne sera
jamais
perdu, pour ceux d’abord qui en prennent l’initiative. Mais ici je po
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sté », dit Jean. Et de même, notre vocation n’est
jamais
totalement incarnée. Entre la forme pure de notre vocation et la form
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cquisitions modernes nous autoriseraient plus que
jamais
à en attendre. Erreur théologique à l’origine : Schelling pour appuye
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Goethe. (Souvenons-nous de son Prométhée). Vit-on
jamais
pareille faculté d’incorporer les affections de l’âme ? Pas trace de