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rreur. La peur du sang, le goût du sang : ce sont
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deux aspects morbides d’une même maladie bourgeoise. C’est à quoi mèn
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s néfastes que les plus violents cataclysmes, car
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où ils passèrent et répandirent leurs excréments, la terre même reste
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rcices de rhétorique prolétarienne publiés ici où
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par quelques chiens de garde du conformisme stalinien. Nous nous éton
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as « témoin de la vérité » qui veut. Ce n’est pas
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un choix de l’homme. Kierkegaard a choisi d’être « un poète et un pen
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t pas que je puisse donner cette réponse, loin de
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. Je voudrais seulement les aider à prendre au sérieux leur question.
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roite, on dit que l’homme est une bête, que c’est
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son partage et qu’il faut s’y tenir. À gauche, on dit que si l’homme
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On a cru, ou feint de croire, qu’il ne s’agissait
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que d’un « spiritualisme ». De même, on a trop souvent confondu, et j
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tte affirmation dans la revue Esprit . S’agit-il
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, encore, du spirituel comme acte ? Certes, Emmanuel Mounier, directeu
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tion nécessaire ne sera ordre qu’à ce prix. C’est
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son vrai problème. p. Rougemont Denis de, « Jeunesse déracinée »,
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soit qu’une mauvaise épreuve, déjà brûlée, ici et
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, ridée froissée, et rendue émouvante par toutes ces marques où se lit
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Nous ne mangeons pas de ce pain-
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: à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)v Certains voudraient no
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emont Denis de, « Nous ne mangeons pas de ce pain-
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(à propos du 14 juillet) », Bulletin de liaison des groupes Ordre nou
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ain devant l’action. Arrêtons-nous à cette partie-
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qui explique le titre du livre. On a plaisir à discuter des déclarati