1
ces généreux pluriels n’ont pas empêché certains
lecteurs
d’Europe — j’en ai reçu maints témoignages — de voir dans le début de
2
t « nous », sont de nature à induire en erreur un
lecteur
qui ignorerait — ce dont vous vous souvenez sans doute aussi bien que
3
je veux dissiper, c’est le malaise créé chez vos
lecteurs
, — que vous l’ayez ou non voulu, par la première partie de votre étud
4
reste, je ne puis mieux faire que de renvoyer ces
lecteurs
à l’article de Jean-Richard Bloch, que l’on trouvera vingt pages avan
5
répète inlassablement Kierkegaard. C’est de toi,
lecteur
, qu’il s’agit, et non pas d’un auteur nouveau. Koch n’a pas simplifié
6
ien de paysans, combien d’intellectuels parmi les
lecteurs
de Commune ? j. Rougemont Denis de, « Pour qui écrivez-vous ? », C
7
sans illusions. II. Qu’avons-nous fait ? Le
lecteur
voudra bien considérer que ce qu’on vient de lui dire n’est pas origi
8
ent, peut-être, d’indiquer à l’imagination de mon
lecteur
quelques-unes des perspectives qui rayonnent autour du mystère dont j
9
et développe. Je voudrais maintenant entraîner le
lecteur
dans une brève incursion à travers ces domaines que l’on pourrait nom
10
aste, risquent de paraître assez “hermétiques” au
lecteur
peu familiarisé avec cet ordre de spéculations. Certains mots employé
11
ir ; ce qui l’amuse, c’est peut-être zéro pour le
lecteur
. S’il a le droit de déconcerter, c’est pour mieux souligner ce qu’il