1
s frontières nos corps sont dans l’autre nuit
mais
c’est ici que je t’ai touchée pour la première fois Ainsi C
2
i n’acceptent pas de crever de faim en douceur. ⁂
Mais
cette action très particulière de la non-violence mérite un examen pl
3
e, et en France on ne se tue plus que par amour. (
Mais
à Moscou, les petits Russes naissent avec un couteau entre les dents.
4
e envergure n’auraient pas de quoi nous troubler.
Mais
il arrive que l’ordre bourgeois, protecteur de la non-violence chère
5
ns l’ordre matériel. Suites encore imprévisibles,
mais
qu’il nous appartient, dès maintenant, d’orienter. Sans doute est-il
6
de la Révolution. Il est des crises nécessaires1.
Mais
c’est à nous précisément de préparer les voies que la force nouvelle,
7
Elles ont été livrées à la police ou à la foule.
Mais
nous qui le savons, c’est à nous qu’il incombe, dès maintenant, de pr
8
ante. Non, la Révolution n’est pas le sang versé.
Mais
nous disons qu’il est plus sain d’être blessé que lentement stérilisé
9
» ne sera jamais supprimée dans l’œuvre humaine3.
Mais
la santé révolutionnaire consiste à faire apparaître, fût-ce brutalem
10
si dur que la bataille d’hommes », écrit Rimbaud.
Mais
le bourgeois qui ne s’en doute guère confond la violence avec la brut
11
ste stérilisée pour un grand nombre de saisons. ⁂
Mais
revenons à notre interviewé. Nous allions oublier les derniers mots d
12
Certes, ils sont conformistes pis qu’à la gauche,
mais
pas plus loin comme disait l’autre. Ils n’ont pas le format physique
13
s notre violence personnelle, réelle, imparfaite,
mais
féconde. Nous prouverons le mouvement en marchant, quitte à marcher d
14
. Seule elle sera capable d’entraîner les masses.
Mais
en voilà assez, n’abusons pas des vérités premières, encore que la pe
15
naire, c’est-à-dire sur la jeunesse de la nation.
Mais
la jeunesse française existe-t-elle ? On put le croire vers 1925. C’é
16
oque ; et c’eût été le premier pas vers le salut.
Mais
les uns se perdirent en eux-mêmes, les autres dans on ne sait quelles
17
dé l’autorité de la France dans le monde moderne.
Mais
la démocratie l’a sabotée, ruinée et trahie. De la personne elle a fa
18
onse ne prendra pas la forme d’une justification,
mais
d’une accusation. Au nom de la personne, seul fondement de l’universe
19
cette formule, qui a le mérite de la simplicité.
Mais
nous disons que le commencement du désordre n’est pas dans les faits
20
frons, n’est pas dans le machinisme, par exemple,
mais
bien dans les doctrines qui ont assuré le développement actuel du mac
21
re, le résoudre. Ils se disputent sur la manière.
Mais
leur dispute se passe sur un plan où elle est par définition sans iss
22
e combattrons pas le Parlement avec des discours,
mais
bien en créant un monde où il apparaîtra sous son vrai jour, comme le
23
inhumaine, et cela non pas à cause de la machine,
mais
parce qu’aucun contrôle humain, aucune doctrine totale et transcendan
24
octrinale et révolutionnaire, sorte de Komintern,
mais
dépourvu de pouvoir économique4. Dans le domaine économique, nous rev
25
pect de toute révolution est dans un renoncement.
Mais
pour que l’acte soit réel, encore faut-il une doctrine et des institu
26
omplissent un acte de renoncement aux privilèges.
Mais
à leurs côtés, se dressent des gens qui, eux, ne comptent renoncer à
27
la bourgeoisie du xixe siècle. Des privilèges ?
Mais
tous les hommes ou presque en demandent. Seulement, il en est d’injus
28
e historique ne peut que rendre compte du passé —
mais
seul l’acte créateur opère le changement de plan et permet d’institue
29
Jardin, Claude Chevalley. 4. La seule réalité,
mais
indestructible — qui demeure à la Nation, une fois l’État supprimé, u
30
ières, on peut dire qu’elles seront universelles,
mais
particulières. Alors seulement, au lieu de s’entrechoquer, elles devr
31
uleversé les mœurs au moment où éclata la guerre,
mais
qui n’avait pas encore trouvé, à cette époque, une forme politique ad
32
elle qui constitue leur parenté la plus profonde.
Mais
il y a entre ces trois « dictatures de la masse » une autre ressembla
33
, sans doute moins essentielle, toute provisoire,
mais
qui frappe plus facilement l’observateur sensible aux atmosphères. C’
34
r avec un scepticisme plus ou moins sympathique ;
mais
elle n’avait pas répondu au défi qu’ils lui adressaient. MM. Dupuis e
35
. Ils ont voulu faire œuvre d’information d’abord
mais
aussi de critique constructive, et ils s’expliquent très franchement
36
à cause d’eux — ne sauraient être mises en doute.
Mais
qu’adviendra-t-il, le jour peut-être prochain où ces jeunes hommes s’
37
arl Koch d’intelligence avec l’assesseur Wilhelm.
Mais
voilà justement ce qu’il nous faut. Du personnage complexe de Kierkeg
38
ique et retors à la fois du Journal du Séducteur.
Mais
Kierkegaard est surtout un chrétien, et c’est ce qu’il eût fallu mont
39
ssurant, certes, et d’une trempe exceptionnelle ;
mais
non tant qu’il ne puisse « édifier » — pour user d’un vocable auquel
40
des systèmes, aux amateurs d’élégances formelles,
mais
qu’il saura certainement émouvoir ceux qui cherchent à vivre leur pen
41
nt à vivre leur pensée. « Non point l’admiration,
mais
l’acte ! », répète inlassablement Kierkegaard. C’est de toi, lecteur,
42
mplifié ce qui n’est pas simple chez Kierkegaard,
mais
il a su le décrire sans pédantisme et sans littérature. Tant de biogr
43
r modèle. Modeste et sûr, celui-ci nous aidera. ⁂
Mais
une fois rétablie la perspective hors de laquelle il est impossible d
44
-même le « témoin de la vérité » qu’il annonçait,
mais
resta simplement « un poète ». Double reproche, plus grave que Koch n
45
ant », s’écrie Carl Koch, visiblement scandalisé.
Mais
où est le critère, et qui juge ? Nicodème aussi estimait qu’une telle
46
ue le contraire du péché « ce n’est pas la vertu,
mais
la foi ». C’est une étrange confusion que de baptiser ascétisme une a
47
e » qui veut que l’homme soit sauvé par sa perte.
Mais
que vient faite ici cette ardeur de durer, de penser, de trouver des
48
pre au plus à écœurer celui qui veut non la durée
mais
l’éternel, non la raison mais la révélation, non la pensée qui s’arrê
49
i veut non la durée mais l’éternel, non la raison
mais
la révélation, non la pensée qui s’arrête à l’utile mais celle-là seu
50
révélation, non la pensée qui s’arrête à l’utile
mais
celle-là seule qui mène au terme extrême : car « la plus haute passio
51
à Kierkegaard de n’avoir pas incarné sa doctrine.
Mais
quelle était son exigence ? Nos vérités nous justifient, parce qu’ell
52
ustifient, parce qu’elles nous sont accessibles ;
mais
la vérité nous accuse, parce que nos désirs sont menteurs. N’est pas
53
si d’être « un poète et un penseur particulier ».
Mais
ce poète, ce penseur, dont on peut dire qu’il mourut en martyr9 d’avo
54
ie. Le seul fait, c’est la foi qui soutient tout.
Mais
peu l’ont vu. 8. « Le christianisme du Nouveau Testament n’existe pa
55
dit-il, il devra poursuivre sa lutte religieuse,
mais
elle s’en trouvera affaiblie ; au contraire, sa mort lui assurera une
56
r entendre, amis que ma parole n’atteindrait pas,
mais
ce message. J’écris pour ceux qui attendent courageusement une répons
57
re acte, humble et violent. Voilà ce que je veux.
Mais
je ne sais pas ce que je puis. Je ne sais pas pour combien d’hommes,
58
ir pour quelle espèce d’hommes on écrit, en fait,
mais
il faudrait des statistiques difficiles à établir. Par exemple : comb
59
même quelques députés.) On répondit à Berdiaev :
mais
nous avons Dandieu… Il nous reste, du moins, sa dernière œuvre. Aussi
60
es neuves — une nouvelle position des problèmes —
mais
aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplement, ici,
61
ries marxistes dans leur domaine de prédilection.
Mais
voilà qui est plus important : elle se révèle immédiatement réalisabl
62
habituel sur l’esprit » n’a jamais été son fait,
mais
bien celui, intéressé, de certains de ses adversaires, de certains de
63
i détendu le ressort de la Révolution nécessaire.
Mais
qu’est-ce que cette définition, sinon celle même du vieil individu id
64
it-on, ne peut être qu’un symbole de son argent.)
Mais
ce que je sais, c’est que l’homme tout court, ou même l’homme noble,
65
ue pose ce livre, sur le plan philosophique. 14.
Mais
le concret, c’est l’acte justement ! et non pas un donné « objectif »
66
dont la mesure n’est pas dans le présent injuste,
mais
dans le futur libérateur. Politique millénariste. À droite, on dit qu
67
c’est qu’il croit, c’est qu’il est dans la foi ;
mais
être dans la foi, c’est faire la volonté de Dieu, c’est agir, c’est d
68
aît et saisit l’homme dans sa condition actuelle.
Mais
il faut savoir aussi qu’elle est intenable, parce que les ordres de l
69
yant, il ne s’agit, d’abord, que d’un ordre reçu.
Mais
dès que l’ordre est véritablement reçu, et accepté, il s’agit de l’ex
70
une politique est dans l’histoire, dans la durée.
Mais
il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le pr
71
inséparable. Il est donc non seulement possible,
mais
nécessaire, que le chrétien prenne position en présence des partis po
72
ait que sa doctrine n’a pas à expliquer le monde,
mais
à le transformer — seulement, il sait que cette transformation s’appe
73
e véritable. Certes, nous sommes dans l’histoire,
mais
non pas comme la subissant. Nous sommes au monde comme n’étant pas du
74
monde comme n’étant pas du monde ; dans le péché,
mais
comme ayant reçu la promesse d’être sauvés de son empire. L’action po
75
t nécessaire, comme manger, travailler et penser,
mais
jamais un système politique ni aucune synthèse humaine n’aura de droi
76
s que le croyant doive s’isoler de la communauté,
mais
bien que la communauté doit toujours être subordonnée à cette fin la
77
érieurs de la personne par rapport à l’ensemble ;
mais
encore il pourra et devra affirmer que la seule communauté réelle et
78
ni gauche. Pessimisme quant aux fins terrestres,
mais
impliquant l’activité de l’homme considérée comme un service nécessai
79
e. (On n’enquête pas sur la doctrine chrétienne.)
Mais
la disposition de ces évidences va peut-être nous permettre de situer
80
vec celle de l’État, en témoignent avec évidence.
Mais
, d’autre part, le « politique d’abord » de Maurras, l’insistance mise
81
, pour ceux d’abord qui en prennent l’initiative.
Mais
ici je poserais une question inverse de celle que je posais à l’Assoc
82
i transcendent le plan de toute doctrine sociale.
Mais
il fallait en parler ici : elle marque le pôle du refus, dans notre «
83
nnées pour des doctrines de droite, ou de gauche.
Mais
c’est précisément ce genre d’adhésion sentimentale que les deux group
84
sur une mystique de race, de classe ou de parti,
mais
sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ce
85
oppement de la crise confirmera leurs prévisions.
Mais
il ne suffit pas qu’un point de départ soit juste. Il faut encore par
86
érateurs. Rien non plus pour flatter la jeunesse,
mais
la jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui voulait être flat
87
ne sont pas ceux qui disent Esprit ! Esprit !… »
Mais
tandis que l’Ordre nouveau évite l’emploi fort équivoque du mot Espri
88
ur un chrétien, l’illusion dernière de l’orgueil.
Mais
ces obstacles, ces divergences, le protestant les retrouverait aggrav
89
e à la vertu d’une théologie fidèle à la Réforme.
Mais
, justement, cette théologie nous ordonne d’agir, et de nous engager.
90
tution a pu rendre méfiants certains économistes.
Mais
déjà toute une équipe d’ingénieurs s’est attachée à chiffrer et à déf
91
tions… Arguments justes peut-être, pour certains,
mais
qui ne sont pas à l’échelle du phénomène qu’on voudrait expliquer. A-
92
rd par leur opposition à l’ordre qui les moleste.
Mais
il s’agit ici de gens habitués à conduire leurs affaires. Ils ne se c
93
urra se résoudre l’angoissant problème des cités.
Mais
il faudrait d’abord transformer la province et la rendre habitable… I
94
ion de l’expliquer, moins encore de le démontrer.
Mais
seulement, peut-être, d’indiquer à l’imagination de mon lecteur quelq
95
nt distincts, sans lesquels il n’est pas d’amour.
Mais
si leur être est justement l’amour ? Peut-on les isoler sans du même
96
aissaient précisément les premiers psychologues !
Mais
aux dépens de quoi s’installaient-ils ? Entre l’aspect spirituel et l
97
e leur permettre, pensait-il, de « s’expliquer »,
mais
comme on fait devant un tribunal, — et ce n’était pas leur coutume… L
98
our une paix qui n’était rien que leur faiblesse.
Mais
aujourd’hui qu’ils relèvent la tête, le psychologue se voit en mauvai
99
a démontré que la vision n’est pas une sensation,
mais
un décret de l’intellect. Il n’y a pas de sensations, il n’y a pas d’
100
ensée. Voir, c’est porter un jugement distinctif.
Mais
, alors, deux questions se posent : d’où vient l’œil ? À quoi tend le
101
ophétie, est dominée par l’audition de la Parole.
Mais
la métaphysique de la Nouvelle Alliance, qui est celle de l’Incarnati
102
ns comme dans un miroir et d’une manière obscure,
mais
alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, ma
103
s face à face ; aujourd’hui je connais en partie,
mais
alors je connaîtrai comme j’ai été connu. » (I Cor. 13.12) À la quest
104
mière (physique) On ne voit que ce qui est vu.
Mais
peut-être faut-il aller plus loin : on ne voit rien que ce qui voit.
105
hange. « Car les choses visibles sont passagères,
mais
seules les invisibles sont éternelles ». (II Cor. 4.18) Or nous savon
106
e « profondeur » ou plus rien n’arrête la parole.
Mais
les mystiques et les poètes ont, de tout temps, depuis l’Incarnation,
107
regarde : voir Dieu, c’est être regardé par lui.
Mais
alors, c’est aussi être aimé, et c’est se rendre à la transformation
108
éternelle, négation de l’incarnation ? Nullement,
mais
accomplissement, et splendeur de ce qui n’est pour nous qu’ombre et r
109
t et trouble. « Aujourd’hui je connais en partie,
mais
alors je connaîtrai comme j’ai été connu ». Cet alors est la plénitud
110
a frontière de la mort et de la vie ; et la nier,
mais
au nom de la foi, c’est du même coup la connaître dans sa significati
111
la forme pure est celle de l’idée platonicienne.
Mais
dans le monde de l’incarnation — le monde chrétien —, la forme pure e
112
c’est aller au-delà des « apparences actuelles »,
mais
dans les lignes de la création. L’imagination de la forme saisit d’ab
113
sit d’abord la loi de formation ; et c’est alors,
mais
alors seulement, qu’elle peut poursuivre sans s’égarer dans la nuit.
114
ation de la forme est sympathie avec la création.
Mais
nous tenons ici la clef du monde de l’incarnation, le secret de l’ima
115
rait constituer le centre ni le fondement causal,
mais
au sein duquel elle demeure cependant le cas privilégié par excellenc
116
s yeux non plus sur les idées en tant que telles,
mais
bien sur les idées en tant qu’agies, — sur les formes. Second princip
117
la vois même promise à une prochaine renaissance.
Mais
il importe d’en marquer le danger, disons plus : le péché, qui l’a st
118
ouissait la condition essentiellement dramatique.
Mais
je ne puis m’étendre davantage sur cet aspect du romantisme, qui le d
119
iste classique détaille admirablement les motifs,
mais
ce faisant, il détend les ressorts de l’imprévisible événement — tens
120
imace, ce qu’on nomme « l’extérieur » de l’homme,
mais
non pas son visage. Pour lui comme pour tous les autres (à l’exceptio
121
voit des types, le physionomiste, des créatures.
Mais
nous vivons dans un monde sans mesures, sans barrières sociales, sans
122
retombe au pouvoir de la raison et de Descartes.
Mais
passons de l’autre côté : chez les Allemands les moins suspects de sa
123
war doch so schön ! « Ô mes yeux bienheureux ! »
Mais
les pauvres yeux douloureux de Nietzsche, non moins que ceux de Goeth
124
par les travaux de la psychologie de laboratoire.
Mais
presque toutes les interprétations qui ont eu cours dans ce domaine,
125
paraisse le moins du monde nuisible au mouvement,
mais
nous croyons avoir, pour le moment, tout autre chose à faire. Dans le
126
oncées. (Voir notre Lettre à Hitler par exemple.)
Mais
ce n’est pas en exauçant des vœux, d’ailleurs humainement sympathique
127
un succès d’estime, auprès des esprits pondérés,
mais
un succès constructif, révolutionnaire, et qui se confondra nécessair
128
res poursuivent par des voies tactiques opposées (
mais
en apparence seulement) un seul et même but concret : ils veulent une
129
Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre… »
Mais
encore faut-il entreprendre. D’abord servir, sachant que c’est inutil
130
utile ; ensuite persévérer, malgré les résultats.
Mais
je crains bien qu’une humeur espagnole pousse Montherlant à préférer
131
des deux qui est vrai. L’œuvre avant tout ? Oui,
mais
toute œuvre est une action, et c’est le contenu de cette œuvre, ou l’
132
ait qu’il n’écrit pas pour défendre ceci ou cela,
mais
parce qu’il a envie d’écrire. (On le lui pardonne mieux qu’à d’autres
133
s’agit simplement de ce qui peut amuser l’auteur.
Mais
« un écrivain digne de ce nom » ne va pas, pour prendre un exemple, d
134
gime de son âme. » Cela n’est pas de Montherlant,
mais
bien du Prince de Ligne, on pourrait s’y tromper. Montherlant, qu’on
135
s, il y a toutes les différences que l’on voudra,
mais
pas si fortes qu’elles ne nous permettent de prendre une vue plus jus
136
ste aussi, et il faut souligner ce dernier trait.
Mais
comparez leur « écriture », c’est amusant. Et je leur vois, devant ce