1
pter les suites inéluctables, jusque dans l’ordre
matériel
. Suites encore imprévisibles, mais qu’il nous appartient, dès mainten
2
ires, qui prétendent partir des faits concrets et
matériels
. L’un d’entre eux revendiquait récemment, à la suite de Marx, disait-
3
à la suite de Marx, disait-il, « la précédence du
matériel
, l’antériorité de l’être par rapport à la pensée ». En d’autres terme
4
commencement du désordre n’est pas dans les faits
matériels
dont nous souffrons, n’est pas dans le machinisme, par exemple, mais
5
enons par exemple le problème du « minimum de vie
matérielle
» destiné à assurer la liberté de l’homme. Marxistes et capitalistes
6
bération de l’homme bénéficiant du minimum de vie
matérielle
restera purement illusoire, puisque l’État, sous sa forme capitaliste
7
ts, nous disons que le problème du minimum de vie
matérielle
ne prend son sens que dans le plan de la personne qui est, nous allon
8
acte et non pas comme un donné physique ou moral,
matériel
ou abstrait. La personne, c’est l’individu engagé dans un conflit cré
9
ette fois d’une mesure humaine, le minimum de vie
matérielle
qui permet à la personne de courir sa chance. Nous ne pouvons songer
10
au, ont bien plutôt consolidé les pires tyrannies
matérielles
, et consacré la primauté de l’économie, la primauté de l’inhumain sur
11
ompare. Affleurant maintenant au niveau des faits
matériels
, cet antagonisme radical vient s’incarner dans notre génération. Saur
12
laient-ils ? Entre l’aspect spirituel et l’aspect
matériel
de l’homme, il existe deux traits d’union : la vue et la parole, la v