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quelque espoir à condition de ne plus dire un
mot
de ne plus rien. La morte ou la nue Quand tes yeux se confo
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euples. On le sait à Genève : tout est affaire de
mots
. Il n’y a pas de « guerre » en Chine, l’ordre règne à Varsovie, et en
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tre interviewé. Nous allions oublier les derniers
mots
de sa déclaration. M. Durand-Dupont cherchait à nous persuader. 6. «
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ous est possible maintenant de désigner d’un seul
mot
l’objectif de nos attaques. Le processus concret dans lequel Marx a i
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ques que nous envisageons pour les réaliser. Deux
mots
toutefois sur notre attitude révolutionnaire. Certains s’étonneront p
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liquées dans notre exposé. Voici donc en quelques
mots
nos positions de combat : 1° « Sans théorie révolutionnaire, pas d’ac
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d’un groupe d’ingénieurs occupés depuis quelques
mots
à la chiffrer, à la traduire en une institution pratique, ont prouvé
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idées en sont arrivés à un tel point que les deux
mots
ont l’air bien souvent de s’opposer. À force de considérer d’une part
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l’empreinte négative. On abuse singulièrement du
mot
« esprit » dans les jeunes groupes et les revues non conformistes. (L
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lement, un défaut de préparation doctrinale, — ce
mot
devant être entendu, répétons-le, dans l’acception la plus littéralem
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r retrouver le contenu concret et précis du grand
mot
de révolution dont abusent aujourd’hui, à l’envi, les anarchistes pet
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e, c’est bien cette faculté de libérer l’être des
mots
. Cessons d’épiloguer sur les vieilles armures, et recherchons plutôt
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l’Ordre nouveau évite l’emploi fort équivoque du
mot
Esprit, pour y substituer l’adjectif « spirituel » qualifiant l’acte
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ales — sont essentiellement révolutionnaires ? Le
mot
nation dans son acception moderne n’a-t-il pas désigné d’abord l’idéa
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e du visage. La langue allemande ne connaît qu’un
mot
pour visage et vision : Gesicht. Quelle est donc cette parenté des ap
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choses qui se meuvent, ou qui sont mues, — en un
mot
: ce qui change. « Car les choses visibles sont passagères, mais seul
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arfois trop « claire » au sens rationaliste de ce
mot
. Connaissance trop pénétrante, qui dépasse trop aisément le concret d
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: pensée merveilleusement excitant. Les quelques
mots
que je souligne dans le texte de Paul Valéry ne sont-ils pas l’ébloui
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is sang). C’est Rimbaud qui souligne les derniers
mots
. 29. Soliloques de saint Augustin, chapitre XXXI. 30. « N’advient-
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ldung, p. 25.) 31. Il convient de débarrasser ce
mot
de tout pathos romantique. Le drame, c’est proprement l’action, en ta
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iliarisé avec cet ordre de spéculations. Certains
mots
employés ici dans un sens très particulier nécessiteraient des commen
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euple et de la nation ? Par quel grossier abus du
mot
nation a-t-on pu venir à cette alternative ? Lorsqu’à Valmy le généra
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conditions serait mal fait. » Est-ce que ce beau
mot
d’agréable ne prête pas ici à confusion ? L’on croirait qu’il s’agit