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t se détourne en l’amour décrié du seul instant
où
tu l’aurais aimé Et les humains leur nombre dans la pluie Autour
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bourgeoisie est un mensonge. Car, dans la mesure
où
il veut être effectif, il doit accepter libéralement d’être radicalem
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ut est devenu tellement abstrait dans une société
où
règnent le bavardage et le papier-monnaie que les réalités les plus s
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: 1° une Révolution est sanglante dans la mesure
où
elle est mal préparée. 2° le sang répandu par la Révolution est la ma
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Et il condamne cette brutalité dans tous les cas
où
elle ne sert pas à assurer sa sécurité. Encore ne l’utilise-t-il pas
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éfastes que les plus violents cataclysmes, car là
où
ils passèrent et répandirent leurs excréments, la terre même reste st
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on des nécessités concrètes de l’heure et du lieu
où
ils vivent, la France de 1932, non la Russie de 1917, révèle un déses
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stématiques, qu’elles soient importées d’Amérique
où
elles sont mortelles, où de Russie, où pour l’heure elles sont vitale
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ent importées d’Amérique où elles sont mortelles,
où
de Russie, où pour l’heure elles sont vitales, peu importe. Ce n’est
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d’Amérique où elles sont mortelles, où de Russie,
où
pour l’heure elles sont vitales, peu importe. Ce n’est pas la pureté
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ications vous furent exposés par moi le jour même
où
nous convînmes de votre collaboration. (Le « certain front unique » s
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exercices de rhétorique prolétarienne publiés ici
où
là par quelques chiens de garde du conformisme stalinien. Nous nous é
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xistes sont insolubles sur le terrain positiviste
où
ils les placent. Elles ne prennent leur vrai sens que dans le plan de
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t leur vrai sens que dans le plan de la personne,
où
nous les reposons. Prenons par exemple le problème du « minimum de vi
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a manière. Mais leur dispute se passe sur un plan
où
elle est par définition sans issue : le plan matérialiste. Qui pourra
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tre du pain, et nous en promettons dans la mesure
où
nous assurerons en même temps aux hommes une raison de vivre que les
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homme sans liens, réduit à l’unité arithmétique,
où
l’a-t-on vu ? qui l’a vu ? et comment existerait-il ? C’est pourtant
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t avec des discours, mais bien en créant un monde
où
il apparaîtra sous son vrai jour, comme le conservatoire de la politi
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e administratif, politique, financier et policier
où
viennent se congestionner les énergies du pays. Ce que nous voulons,
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rait trop insister sur cette vérité, à une époque
où
l’engouement pour les formes les plus étroites du praticisme va de pa
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ais qu’adviendra-t-il, le jour peut-être prochain
où
ces jeunes hommes s’apercevront que les régimes qu’ils servent, loin
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tout ce qui fonde la dignité proprement humaine.
Où
est le remède ? Les auteurs de Jeune Europe n’hésitent pas à le voir
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, s’écrie Carl Koch, visiblement scandalisé. Mais
où
est le critère, et qui juge ? Nicodème aussi estimait qu’une telle do
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de service dans le journal de l’hôpital Frédérik
où
Kierkegaard passa ses derniers jours : « Il tient sa maladie pour mor
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rne, ces vieilles tyrannies importées d’un Orient
où
l’on savait au moins, même en les adorant, qu’elles se nourrissent du
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rait trop insister sur cette vérité, à une époque
où
l’engouement pour les formes les plus étroites du praticisme va de pa
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pratique l’échec d’une révolution qui ne sait pas
où
elle va. » Cartésienne ou hégélienne, la dialectique sur laquelle se
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nde dans ce rapport originel de l’homme à Dieu, d’
où
découle la relation réelle et humainement bienfaisante que l’Évangile
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rnerai à deux remarques seulement. Dans la mesure
où
l’objection est l’expression d’une vocation particulière, elle tend à
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sort du domaine de cette enquête. Dans la mesure
où
elle devient l’expression d’un mouvement, le moins qu’on en puisse di
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ale que les deux groupes refusent avec rigueur. D’
où
les malentendus, parfois bien réjouissants, qu’ils ont provoqués de t
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: c’est aux racines du mal qu’ils s’attaquent. D’
où
leur force d’entraînement lente et profonde, dont les effets se manif
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s principes de départ. o. Rougemont Denis de, «
Où
sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les
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t, d’opinions mûries ou de réceptivité normale. D’
où
la fatigue, la sensation d’être vidé, d’être dominé par un milieu qu’
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’argent, vous louerez un de ces studios bien nus,
où
la vie prend un visage tellement abstrait qu’on n’arrive plus même à
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es ; rien qui se cache ou rien qui s’exagère, par
où
j’entends : rien de « moral » — ou d’immoral. Et l’illusion lorsqu’el
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ropriété, c’est le vol, disait Proudhon, au temps
où
paraissaient précisément les premiers psychologues ! Mais aux dépens
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inctif. Mais, alors, deux questions se posent : d’
où
vient l’œil ? À quoi tend le jugement ? Et voilà notre psychologue ob
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u force : te voilà, c’est la force. Tu ne sais ni
où
tu vas, ni pourquoi tu vas, entre partout, réponds à tout. On ne te t
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issée, et rendue émouvante par toutes ces marques
où
se lit notre histoire… Cependant le regard qui se risque à déchiffrer
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peut le plus, peut aussi nous apprendre le moins.
Où
trouver cette force et ce maître, comment voir ce modèle idéal qui sa
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er la réalité — pour nous avoir révélé le salut ?
Où
trouver la réponse qui nous permettrait seule de poser sérieusement n
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lemand de cette grandiose conception d’un univers
où
tout est correspondance organique, où la réalité naît de l’union des
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’un univers où tout est correspondance organique,
où
la réalité naît de l’union des contradictions naturelles, où l’homme
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té naît de l’union des contradictions naturelles,
où
l’homme est microcosme de la Création. Paracelse, Bruno, Nicolas de C
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la réalité spécifique du monde de l’Incarnation,
où
la philosophie de l’organique peut trouver ses mesures humaines et sa
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mesures, sans barrières sociales, sans costumes,
où
les types ne sont plus des repères. Notre mesure est donc devenue per
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tête de leurs troupes. Nous nous battrons le jour
où
le peuple français aura compris que l’adversaire unique est le capita
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tile (15 novembre 1935)w Ce long avant-propos,
où
l’auteur nous rapporte avec quelque détail l’emploi de son temps dura
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nons de cette préface sa morale : « Dès l’instant
où
l’on se récure du frivole, la vie devient immensément large. » Que tr
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’habitude de cette fière politesse, dans ce temps
où
les partisans ont l’air de haïr davantage la cause adverse qu’ils n’a