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actuellement dans toute l’Europe de l’Est. De la
patrie
, centre de rayonnement, elle a fait la nation-carcan. Et de l’univers
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ffirmation tardive d’un nationalisme traître à la
patrie
. Notre réponse ne prendra pas la forme d’une justification, mais d’un
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yrannies racistes et collectivistes. Au nom de la
patrie
, lieu d’enracinement de la personne, nous dénoncerons les mystiques n
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a tension nécessaire et créatrice entre la petite
patrie
décentralisatrice d’une part, et d’autre part l’universalisme issu di
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ns sont : — dans le domaine politique : la petite
patrie
décentralisatrice et le centre de contrôle doctrinal et juridique ; —
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actère « sacré » que revêt à leurs yeux l’idée de
patrie
préalablement confondue avec celle de l’État, en témoignent avec évid
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les derniers liens qui rattachent un homme à une
patrie
concrète, si restreinte soit-elle. Il n’y aura plus le frein à l’entr
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précisée par Robert Aron et Arnaud Dandieu entre
patrie
et nation ; ne pourrait-on pas dire que les communautés fondées par l
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vegarde la tension nécessaire et féconde entre la
patrie
et la nation. La révolution nécessaire ne sera ordre qu’à ce prix. C’
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r ces meurtrières confusions : la confusion de la
patrie
et des banquiers, la confusion de la Révolution et des Soviets. Nous
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ont compris que la Banque de France est contre la
patrie
, quand les gauches auront compris que la peur de Chiappe n’est pas un
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ccasionnelle en faveur d’une cause humaine, de la
patrie
, ou même des Éthiopiens. Notons d’abord qu’une pareille attitude a le