1
e nihiliste7 du Traité du désespoir ; et celui du
psychologue
lyrique et retors à la fois du Journal du Séducteur. Mais Kierkegaard
2
lle physiologie, on se demande parfois comment le
Psychologue
a bien pu se tailler son domaine. La propriété, c’est le vol, disait
3
au temps où paraissaient précisément les premiers
psychologues
! Mais aux dépens de quoi s’installaient-ils ? Entre l’aspect spiritu
4
e monde de la physionomie23. Je crois bien que le
psychologue
s’est introduit dans la vision, s’est installé à la place du drame, a
5
sse. Mais aujourd’hui qu’ils relèvent la tête, le
psychologue
se voit en mauvaise posture : car les uns le méprisent, et les autres
6
tres, qui peut nous apporter ici un argument : un
psychologue
moderne25 nous a démontré que la vision n’est pas une sensation, mais
7
l’œil ? À quoi tend le jugement ? Et voilà notre
psychologue
obligé de chercher ses lumières chez les physiologistes ou chez les m
8
i de droit les honneurs qu’il avait empruntés, le
psychologue
se voit restitué dans son rôle de simple observateur. Étant donnée sa
9
té connu. » (I Cor. 13.12) À la question de notre
psychologue
— sinon celle qu’il se pose, du moins celle qu’il se trouve nous pose
10
évore tout ce que la métaphysique avait laissé du
psychologue
, qui devient un simple point de vue. Ces vérités ne sont guère « expl
11
i crée. Si l’imagination n’est pas ce fantôme des
psychologues
, une simple définition dont tous les termes sont problématiques ; si