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on la durée mais l’éternel, non la raison mais la
révélation
, non la pensée qui s’arrête à l’utile mais celle-là seule qui mène au
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e le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette
révélation
, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans un paradoxe ; il est perd
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r nous savons, de science et de prescience, et la
révélation
biblique nous le confirme, qu’à l’origine de tout mouvement des corps