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un « paradoxe étrange » qui veut que l’homme soit
sauvé
par sa perte. Mais que vient faite ici cette ardeur de durer, de pens
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n comprend qu’un bourgeois risque sa peau pour la
sauver
: on ne comprend pas qu’il s’arrache la peau dans l’espoir qu’une mei
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à lui-même, comme perdu, et par cette révélation,
sauvé
. Ainsi l’homme n’est humain que dans un paradoxe ; il est perdu lorsq
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ans un paradoxe ; il est perdu lorsqu’il se croit
sauvé
, il est sauvé lorsqu’il se sait perdu. Je dis que seul ce paradoxe le
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e ; il est perdu lorsqu’il se croit sauvé, il est
sauvé
lorsqu’il se sait perdu. Je dis que seul ce paradoxe le fait humain :
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e péché, mais comme ayant reçu la promesse d’être
sauvés
de son empire. L’action politique nous est nécessaire, comme manger,