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l ange tombé et celui qui roulait se consoler
sur
des risques — aussi refusés Tout se détourne en l’amour décrié du
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», dans Plans, n° 11. b. Rougemont Denis de, «
Sur
la violence bourgeoise », Plans, Paris, 15 mai 1932, p. 6-8.
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ignés viennent vous tenir des théories effarantes
sur
la violence à main armée, sur la nécessité de fusiller les trois quar
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théories effarantes sur la violence à main armée,
sur
la nécessité de fusiller les trois quarts du genre humain, à commence
7
ciples ». Ne perdons pas notre temps à polémiquer
sur
des épithètes passe-partout. Je voudrais simplement vous rendre atten
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rsaire, plutôt que de porter un jugement objectif
sur
ses doctrines. Ce que je veux dissiper, c’est le malaise créé chez vo
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, Denis de Rougemont. d. Rougemont Denis de, «
Sur
un certain front unique », Europe, Paris, 15 février 1933, p. 303-304
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tie par la signature des vieillards ; elle repose
sur
la puissance révolutionnaire, c’est-à-dire sur la jeunesse de la nati
11
se sur la puissance révolutionnaire, c’est-à-dire
sur
la jeunesse de la nation. Mais la jeunesse française existe-t-elle ?
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nées dernières une profonde influence personnelle
sur
plusieurs jeunes écrivains révolutionnaires. M. Denis de Rougemont es
13
nouveau n’a pas fait jusqu’ici beaucoup de bruit
sur
les places. C’est que nous sommes et voulons être avant tout des doct
14
lan, pour nous, c’est porter l’effort constructif
sur
un terrain que le désordre actuel néglige ou tente de stériliser. La
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ivisent capitalistes et marxistes sont insolubles
sur
le terrain positiviste où ils les placent. Elles ne prennent leur vra
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cun à leur manière, le résoudre. Ils se disputent
sur
la manière. Mais leur dispute se passe sur un plan où elle est par dé
17
putent sur la manière. Mais leur dispute se passe
sur
un plan où elle est par définition sans issue : le plan matérialiste.
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’a vu ? et comment existerait-il ? C’est pourtant
sur
cet homme abstrait qu’est bâti tout le système démocratique. Et l’err
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nvisageons pour les réaliser. Deux mots toutefois
sur
notre attitude révolutionnaire. Certains s’étonneront peut-être de la
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tion révolutionnaire. On ne saurait trop insister
sur
cette vérité, à une époque où l’engouement pour les formes les plus é
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primauté de l’économie, la primauté de l’inhumain
sur
les personnes ? L’État, le standard, l’industrialisation, voilà bien
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l’Argent, son but suprême. Si nous avons insisté
sur
la partie critique de cet ouvrage, c’est que les conclusions construc
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-nous. Carl Koch s’est inspiré surtout des Stades
sur
le chemin de la vie, c’est-à-dire d’un ouvrage qui est à la fois le p
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sseur Wilhem, c’est la sagesse bourgeoise appuyée
sur
la religion. Et le Jeune Homme perdu d’inquiétude, qui ne découvre sa
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tration de l’emprise que peut exercer Kierkegaard
sur
un chrétien sincère, peu suspect de complaisance pour les subtilités
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ière —, nous pourrons nous montrer plus exigeants
sur
l’interprétation théologique qu’on nous propose au dernier chapitre.
27
e fois sut le centre même de l’œuvre, et non plus
sur
les avatars de sa présentation en France. Carl Koch reproche à Kierke
28
t de l’engagement personnel, quitte à se lamenter
sur
le monde tel qu’il va, — il faudrait dire : tel qu’on le laisse aller
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une convention faussement « réaliste » qui trompe
sur
la véritable nature de la pensée, et sur ses droits. Sans théorie ré
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i trompe sur la véritable nature de la pensée, et
sur
ses droits. Sans théorie révolutionnaire, pas d’action révolutionnai
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nine dans Que faire ? On ne saurait trop insister
sur
cette vérité, à une époque où l’engouement pour les formes les plus é
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10 et de travail, nous voudrions surtout insister
sur
la nouveauté d’un chapitre de doctrine tel que « Esprit et Révolution
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de doctrine tel que « Esprit et Révolution », et
sur
l’Esquisse d’une théorie générale de la Révolution qui ouvre la secon
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tion matérialiste, à force d’autre part, de faire
sur
l’esprit le contresens habituel qui le réduit à être une faculté pure
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dieu cette justice11 que le « contresens habituel
sur
l’esprit » n’a jamais été son fait, mais bien celui, intéressé, de ce
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atiste. Parce qu’elles reposent l’une et l’autre,
sur
des constructions rationalistes qui ne peuvent rendre compte du saut
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n promettant la lune, ne peut servir qu’à masquer
sur
le terrain pratique l’échec d’une révolution qui ne sait pas où elle
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e va. » Cartésienne ou hégélienne, la dialectique
sur
laquelle se fondent ces révolutions avortées ne peut rendre compte qu
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désormais le monstrueux visage ? — « Nous sommes
sur
la terre décisive… » Antithétique — an-archique —, seule et par elle-
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é de libérer l’être des mots. Cessons d’épiloguer
sur
les vieilles armures, et recherchons plutôt les conflits vitaux pour
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sait récemment à ces auteurs13. La première porte
sur
la notion de la personne, évidemment centrale pour la construction de
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t-être des lumières qui me font absolument défaut
sur
la psychologie du bourgeois, animal visqueux et féroce dont il me sem
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rédit bouleverse toutes les idées traditionnelles
sur
la question — et en passant, l’un des fondements de la théorie économ
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de la théorie économique de Marx — en s’appuyant
sur
une documentation dont la formule même est une trouvaille. 11. Et au
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e de l’Ordre nouveau, le seul qui se soit exprimé
sur
ce point avec netteté (Cf. le numéro 3 de sa revue). 12. et qui surt
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ici la page finale que Dandieu ajouta de sa main,
sur
épreuves, quelques jours avant sa mort. Aussi telle page sur Kreuger,
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s, quelques jours avant sa mort. Aussi telle page
sur
Kreuger, ou sur le but de la révolution, qui atteignent à la grandeur
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s avant sa mort. Aussi telle page sur Kreuger, ou
sur
le but de la révolution, qui atteignent à la grandeur à force de préc
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Où sont les jeunes protestants ? Remarques
sur
le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)o
50
s, profitons-en pour porter un regard plus direct
sur
les possibilités théoriques. Qu’est-ce que la foi des protestants leu
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itique ni aucune synthèse humaine n’aura de droit
sur
nous en tant que personnes, en tant que vocations. Surtout, jamais un
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moins encore matière d’enquête. (On n’enquête pas
sur
la doctrine chrétienne.) Mais la disposition de ces évidences va peut
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politique d’abord » de Maurras, l’insistance mise
sur
la forme de l’État, paraissent bien inactuels en regard des problèmes
54
fondé par la Fédération des étudiants chrétiens,
sur
le modèle des Équipes sociales de Robert Garric. Créer des contacts v
55
qui fausse dès l’origine toute discussion honnête
sur
les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et sociales dével
56
n d’un nouvel esprit communautaire, fondé non pas
sur
une mystique de race, de classe ou de parti, mais sur un sens concret
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une mystique de race, de classe ou de parti, mais
sur
un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ces af
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onne (l’individu engagé dans un conflit concret).
Sur
cette notion d’acte pris comme point de départ 18 se fondent ses anal
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, le lieu d’une enquête permanente et approfondie
sur
la condition humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esp
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itique bien pensante. Si je me suis un peu étendu
sur
les principes spirituels qui animent l’activité d’Esprit et de L’Ordr
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ebout définira la position philosophique de l’ON.
Sur
la position du groupe relativement aux jeunesses russes et fascistes,
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ir R. Dupuis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon).
Sur
les problèmes généraux du temps considérés dans la perspective de l’O
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. Je pense qu’André Philip ne me contredirait pas
sur
ce point. C’est le seul d’entre les jeunes protestants qui « milite »
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de, « Où sont les jeunes protestants ? Remarques
sur
le protestantisme et les doctrines politiques », Le Christianisme soc
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e nous apprend l’observation lorsqu’elle se porte
sur
l’acte même de la vision ? Selon que l’homme qui regarde participe au
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ui qui regarde se transforme. On a beaucoup écrit
sur
la fameuse opposition de la contemplation et de l’action. Une notion
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une sorte d’étymologie de l’imagination moderne.
Sur
la vision qui est jugement et action : « Quiconque regarde une femme
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œur, commis l’adultère avec elle. » (Matt. 5. 28)
Sur
la vision qui est transformation : « Nous serons semblables à lui par
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elon l’image de celui qui l’a créé. » (Col. 3.10)
Sur
la vision et le visage : « Nous tous, qui, le visage découvert contem
70
pose, du moins celle qu’il se trouve nous poser —
sur
le sens dernier du jugement, toute la métaphysique chrétienne, et apr
71
profondeurs de la Saison en enfer de Rimbaud : «
Sur
les routes, par les nuits d’hiver, sans gîte, sans habits, sans pain,
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de in amore ? N’était-ce pas se tromper à la fois
sur
la nature de l’amour et sur celle de la vision ? Voir Dieu, c’est se
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se tromper à la fois sur la nature de l’amour et
sur
celle de la vision ? Voir Dieu, c’est se transformer au sens le plus
74
lumière, ce n’est pas le regard troublé qui erre
sur
les miroirs de la ville, à la recherche d’une illusion de soi-même. I
75
on plus ce rêve de l’indiscret, ou cette revanche
sur
le réel qu’elle figure aux yeux du romantique ; si elle est au contra
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ui qui voit l’esprit dans son action, et le prend
sur
le fait de la métamorphose ? Et si l’on sait que la vision est acte,
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nteur, qu’il nous faut attacher nos yeux non plus
sur
les idées en tant que telles, mais bien sur les idées en tant qu’agie
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plus sur les idées en tant que telles, mais bien
sur
les idées en tant qu’agies, — sur les formes. Second principe : Une f
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lles, mais bien sur les idées en tant qu’agies, —
sur
les formes. Second principe : Une forme ne peut pas être « expliquée
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t dramatique. Mais je ne puis m’étendre davantage
sur
cet aspect du romantisme, qui le déborde singulièrement, par ailleurs
81
it de quoi se fait un sourire ; il peut le mettre
sur
la face d’une maison, aux plis d’un jardin… Et encore : Je sentais
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éatrice. Goethe est un œil. Et le chant de Lyncée
sur
sa tour — c’est le chant du bonheur de la vision : Zum sehen geboren
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constructeur, je vois comme son regard se repose
sur
tout ce qui, près et loin, est construit autour de lui, et aussi sur
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ès et loin, est construit autour de lui, et aussi
sur
la ville, la mer et la ligne de ta montagne, et comme sur tout cela,
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ille, la mer et la ligne de ta montagne, et comme
sur
tout cela, par son regard, il exerce sa puissance et sa conquête… Et
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plesse dont les avantages l’emportent, jusqu’ici,
sur
les inconvénients que l’on pouvait craindre. Esprit est surtout une
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roire que L’ON n’a pas établi ses constructions
sur
une enquête permanente, large et précise, ou qu’ Esprit n’ambitionne
88
mune (mai 1935)t u Monsieur, Votre petite note
sur
mon livre illustre une fois de plus la mauvaise foi de Commune. Si vo
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et assez bêtement, car vous ne tromperez personne
sur
mon compte et ridiculiserez la cause que vous croyez défendre. D’acco
90
nouveau seul a dénoncé depuis longtemps : Erreur
sur
la tactique : lorsqu’on voit la gauche et la droite proclamer la prio
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droite proclamer la priorité du « plan d’action »
sur
la doctrine, on est sûr que cette gauche et cette droite travaillent
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ront en fait les gros bailleurs de fonds. Erreur
sur
la mystique : la lutte des « nationaux » contre les « populaires » ne
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e. » Que trouvons-nous dans ce volume ? Des pages
sur
l’Espagne, d’autres sur l’Algérie, échantillons de cette Rose de sabl
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ans ce volume ? Des pages sur l’Espagne, d’autres
sur
l’Algérie, échantillons de cette Rose de sable qu’un scrupule patriot
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œuvre dès les premiers abords. Des considérations
sur
le peuple, le bourgeois et la noblesse : cela est neuf et vrai, bien
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ux morceaux dans le goût classique le plus sévère
sur
la prudence et sur l’usage des vertus. Enfin trois importants essais
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goût classique le plus sévère sur la prudence et
sur
l’usage des vertus. Enfin trois importants essais sur l’attitude de l
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l’usage des vertus. Enfin trois importants essais
sur
l’attitude de l’écrivain devant l’action. Arrêtons-nous à cette parti
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ple nécessaire. J’approuve ce que dit Montherlant
sur
l’inutilité de tout service — à condition que le sentiment poignant d
100
pour mieux souligner ce qu’il apporte ; et c’est
sur
cela seul qu’on le jugera. Je veux savoir pourquoi un écrivain écrit