1
t se consoler sur des risques — aussi refusés
Tout
se détourne en l’amour décrié du seul instant où tu l’aurais aimé
2
t — l’éclair noyé dans ses yeux détournés ! —
tout
se refuse au tourment bien-aimé… a. Rougemont Denis de, « Mouve
3
fait prier pour nous répondre. Il est curieux de
tout
ce que font « les jeunes ». Il a été jeune, lui aussi. Du moins il l’
4
t attaché aux vieux principes libéraux, ennemi de
toute
violence, et qui ne ferait pas de mal à une mouche. ⁂ Des millions d
5
ux la bourgeoisie démocratique. Elle réside avant
tout
dans l’inconscience formidable que traduit la réponse de M. Durand-Du
6
and-Dupont est persuadé qu’il exprime une opinion
tout
à fait courante et par là même justifiée jusqu’à l’évidence. Prenons
7
phrase pour ce qu’elle est, dans sa simplicité :
tout
un programme. Et définissons à grands traits les réactions du bon sen
8
se de ferme. La fermeté de M. Durand-Dupont étant
toute
verbale, ne relève donc que de l’analyse logique, et doit être rejeté
9
nt ses principes. (M. Chiappe.). 5. « … ennemi de
toute
violence… ». L’ennemi de la violence, tel que nous le connaissons, es
10
conscience de « l’honnête homme » un problème que
toutes
ses convictions inconscientes tendent à faire apparaître comme très g
11
niment diverse dans ses manifestations étendues à
toute
la face du globe et décorées des noms des plus hypocrites, d’une part
12
ble. Climat salubre des aventures spirituelles. ⁂
Tout
est devenu tellement abstrait dans une société où règnent le bavardag
13
l’imagination des peuples. On le sait à Genève :
tout
est affaire de mots. Il n’y a pas de « guerre » en Chine, l’ordre règ
14
un régime de liberté. La liberté d’opposition est
tout
à fait illusoire, même chez nous (sic). Et ceux qui seraient tentés d
15
que ceux qui occupèrent l’opinion de 1914 à 1918.
Toute
l’astuce de ceux qui gouvernent consiste alors à dissimuler la nécess
16
pitaliste, et même hostiles à son progrès normal.
Toute
l’astuce, encore une fois, consiste à envelopper la violence d’assez
17
a créer par des percées brutales et destructives.
Toutes
les révolutions ont été sabotées. Elles ont été livrées à la police o
18
-à-dire : la critique violente et constructive de
toutes
les doctrines régnantes, y compris celles qui sont officiellement rév
19
etits purs, ceux qui opposent des textes appris à
tout
effort créateur ; petits purs, ceux qui se prévalent d’un mot d’ordre
20
arice de tempérament, cette méfiance vis-à-vis de
toute
nouveauté réelle, ce besoin de contrôler la naissance des idées dange
21
fère la stérilité au risque. Les petits purs sont
tout
simplement les petits bourgeois de la Révolution. Puis du fait qu’ils
22
d’autre à faire que d’installer des mitrailleuses
tout
le long de la fameuse « ligne générale » et d’abattre sans pitié tout
23
ameuse « ligne générale » et d’abattre sans pitié
tout
ce qui dépasse. Cependant cette défense meurtrière d’une position tou
24
Cependant cette défense meurtrière d’une position
toute
théorique se révélant pour l’instant malaisée, ils utilisent leurs lo
25
chante orthodoxie. Ils se soumettent éperdument à
toutes
les directives même si comme on le vit naguère, ces directives s’acco
26
er des seuls faits qui nous pressent. Et dès lors
toutes
les tares de l’orthodoxie les menacent : ils défendent un système, au
27
sonne même, en tant que cette personne s’oppose à
toutes
les abstractions systématiques, qu’elles soient importées d’Amérique
28
mes, venant après votre solennelle répudiation de
toute
solidarité entre « vous » et « nous », sont de nature à induire en er
29
x collectivismes qui triomphent actuellement dans
toute
l’Europe de l’Est. De la patrie, centre de rayonnement, elle a fait l
30
l’internationalisme, c’est-à-dire la négation de
toutes
les raisons d’être personnelles. (Je m’excuse du pléonasme.) Telle es
31
ci notre tâche : en face de mouvements qui tirent
toute
leur puissance de nos trahisons, nous avons à restaurer le principe p
32
e la revendication universelle de l’humain contre
tout
ce que l’homme invente pour se mettre à l’abri du risque normal et né
33
isque normal et nécessaire de l’existence, contre
toutes
les tyrannies qu’il s’impose en vertu du sadisme de la lâcheté. Telle
34
aces. C’est que nous sommes et voulons être avant
tout
des doctrinaires. Cette volonté a scandalisé certains de nos adversai
35
lonté totaliste s’exprime ainsi : nous suspendons
toutes
nos constructions à un fait humain central, la personne — telle que n
36
ntral, la personne — telle que nous la définirons
tout
à l’heure — ou mieux encore, le conflit personnel, et nous prenons po
37
n, risque, choix, acte, tels sont les éléments de
toute
liberté réelle et créatrice, partant, de toute dignité humaine. ⁂ Pou
38
de toute liberté réelle et créatrice, partant, de
toute
dignité humaine. ⁂ Pour faire sentir tout de suite le concret d’une t
39
C’est pourtant sur cet homme abstrait qu’est bâti
tout
le système démocratique. Et l’erreur initiale, doctrinale, se retrouv
40
nd lieu, la doctrine de la personne nous oppose à
tout
soviétisme stalinien. Il est trop facile, en effet, de distinguer dan
41
institutions qui nous permettront de rompre avec
tout
étatisme, de changer de plan, de réaliser une révolution effective ?
42
collectivisé, soumise à un organe de répartition,
tout
à fait distinct du pouvoir politique. Ainsi se trouve sauvegardée la
43
us maintiendrons la primauté de la doctrine, avec
tout
ce que cela comporte, en apparence, de sécheresse technique. Nous sav
44
ns ! Certes, nous savons que le premier aspect de
toute
révolution est dans un renoncement. Mais pour que l’acte soit réel, e
45
. 4° Cet acte créateur dont nous faisons dépendre
tout
l’ordre nouveau, cette « source d’énergie » permanente de la révoluti
46
autre ressemblance, sans doute moins essentielle,
toute
provisoire, mais qui frappe plus facilement l’observateur sensible au
47
peu leur doctrine, disons qu’ils reprochent avant
tout
aux trois révolutions établies d’avoir « prématurément » bouleversé u
48
si que la jeunesse s’est trouvée embrigadée, avec
tout
son élan, avec toute sa passion rénovatrice, dans des cadres bien plu
49
’est trouvée embrigadée, avec tout son élan, avec
toute
sa passion rénovatrice, dans des cadres bien plus rigides que ceux qu
50
e ! Une nouvelle idolâtrie de l’État, qui réprime
toute
fantaisie personnelle, toute recherche originale, toute possibilité d
51
l’État, qui réprime toute fantaisie personnelle,
toute
recherche originale, toute possibilité de dépassement, tout ce qui fo
52
fantaisie personnelle, toute recherche originale,
toute
possibilité de dépassement, tout ce qui fonde la dignité proprement h
53
rche originale, toute possibilité de dépassement,
tout
ce qui fonde la dignité proprement humaine. Où est le remède ? Les au
54
athétique, d’une époque qui a besoin, plus que de
toute
autre chose, de critiques lucides. 6. Un volume chez Plon, éditeur.
55
aire l’éloge de ce livre. Parfois, je le voudrais
tout
autre. Tel qu’il est cependant, on n’en peut désirer de plus utile. E
56
nser qu’on aurait pu s’y prendre autrement. Après
tout
, il ne faut pas souhaiter à Kierkegaard une introduction systématique
57
événement. Voici un homme qui vient nous dire, en
toute
simplicité, qu’il a vu l’événement, et qu’il en est encore tout remué
58
é, qu’il a vu l’événement, et qu’il en est encore
tout
remué. On le croira sans peine : il n’a pas l’air d’avoir pu inventer
59
e qualitative infinie » entre Dieu et l’homme. Le
tout
de l’homme est négation de Dieu. C’est pourquoi l’homme n’arrive à Di
60
r sa mort justement, témoigné de la vérité ? 7.
Tout
cela, bien entendu, n’est qu’apparences, psychologie. Le seul fait, c
61
chologie. Le seul fait, c’est la foi qui soutient
tout
. Mais peu l’ont vu. 8. « Le christianisme du Nouveau Testament n’exi
62
omplissement de la tâche à laquelle il a consacré
toute
sa force intellectuelle et toute son œuvre… S’il ne meurt pas, dit-il
63
le il a consacré toute sa force intellectuelle et
toute
son œuvre… S’il ne meurt pas, dit-il, il devra poursuivre sa lutte re
64
e ne font pas les brigadiers et les embrigadés de
toute
farine que nous voyons parader en Europe devant ces dieux que l’on no
65
-être la juste punition d’une intelligentsia dont
toute
la « distinction » consiste à séparer jalousement la pensée de l’acti
66
uer et étendre son pouvoir, lui permet de rallier
toutes
ses forces psychologiques ou physiques, dans un souci de conservation
67
n réalité, la dictature de transition qui enterre
toutes
les revendications en promettant la lune, ne peut servir qu’à masquer
68
peut rendre compte que des données antérieures à
tout
acte, non de l’acte lui-même. Au moment de sauter, elles hésitent et
69
conciliant les contradictions réelles sur le plan
tout
abstrait de l’étatisme, au lieu de les laisser se développer jusqu’à
70
raît la plus profonde et la plus significative de
toutes
celles qui aient occupé jusqu’à présent les philosophes. Tous les aut
71
n argent.) Mais ce que je sais, c’est que l’homme
tout
court, ou même l’homme noble, ou prolétaire, n’a jamais risqué sa pea
72
le chapitre intitulé Échange et Crédit bouleverse
toutes
les idées traditionnelles sur la question — et en passant, l’un des f
73
précision et de vigueur spirituelle, au mépris de
toute
rhétorique. 13. « La Révolution est-elle nécessaire ? », NRF de janv
74
urgeoise, il n’existe pas de théorie du désordre.
Toute
doctrine sociale, fût-elle la plus subversive, est la doctrine d’un c
75
s activités, de la durée, des créations humaines.
Tout
ordre terrestre suppose une conception de l’homme, tel qu’il est ou t
76
r un système, par un programme, par des solutions
toutes
faites. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la politique
77
s, le fondement et la seule direction possible de
toute
politique chrétienne : « L’homme seul (devant Dieu) est au-dessus de
78
ion Sully. Peut-on « se borner au pratique » ? Et
toute
activité auprès des ouvriers ne pose-t-elle pas des problèmes de doct
79
objecteurs chrétiens se sont gardés jusqu’ici de
toute
espèce de propagande, et ne tombent nullement sous le coup de la grav
80
cret, un acte de foi, qui transcendent le plan de
toute
doctrine sociale. Mais il fallait en parler ici : elle marque le pôle
81
sont quelques-unes des formules que je proposais
tout
à l’heure pour définir l’attitude chrétienne devant les exigences de
82
i vainement irritant, et qui fausse dès l’origine
toute
discussion honnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économ
83
ns l’ordre philosophique, l’Ordre nouveau suspend
toutes
ses définitions à l’acte constituant la personne (l’individu engagé d
84
el l’Ordre nouveau rattache d’une façon immédiate
toutes
ses institutions. Telle est la « primauté du spirituel » qu’il ne ces
85
rencontre d’une centaine de jeunes écrivains « de
toutes
croyances et de toutes incroyances », comme disait Péguy, le lieu d’u
86
e de jeunes écrivains « de toutes croyances et de
toutes
incroyances », comme disait Péguy, le lieu d’une enquête permanente e
87
olutionnaires un succès de lecture, aux dépens de
toute
adhésion durable. Des obscurités, des lourdeurs, un péguysme parfois
88
tuelle de la France et, par là même, à influencer
toutes
nos tentatives de rénovation. Je crois bien n’être pas sorti du cadre
89
e du siècle, etc. 16. Illustration politique : à
tout
système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’homme, su
90
u rendre méfiants certains économistes. Mais déjà
toute
une équipe d’ingénieurs s’est attachée à chiffrer et à définir dans l
91
simple voisin. Cf. le numéro 5 de Hic et Nunc ,
tout
entier consacré à cette exégèse de la parabole du bon Samaritain. 21
92
un lieu héréditaire, un patrimoine de souvenirs,
tout
ce que symbolise l’expression « à la maison », l’habitation des ville
93
udiciaire et policier inexorable, inconnaissable,
tout
prêt à sanctionner cette confusion de la morale et de l’argent que le
94
udrais dire ici est simple, fondamental, et comme
toutes
les choses simples et fondamentales, devrait être dit en une phrase,
95
rait être dit en une phrase, ou développé pendant
toute
une vie. Aussi bien n’ai-je pas l’intention de l’expliquer, moins enc
96
t. N’est-ce pas ainsi que meurt une illusion ? Or
toutes
ces choses et bien d’autres qu’on pourrait dire de la vision, on peut
97
sociations mentales : il n’y a que des jugements.
Toute
pensée est « judicatoire », et tout, en l’homme dépend de la pensée.
98
s jugements. Toute pensée est « judicatoire », et
tout
, en l’homme dépend de la pensée. Voir, c’est porter un jugement disti
99
nation, est dominée par la vision ; il semble que
tout
s’y ramène à l’opposition des ténèbres et de la lumière. « Autrefois
100
t fixé le vocabulaire métaphysique et poétique de
tout
le Moyen Âge, d’une partie de la Renaissance, et même du rationalisme
101
uve nous poser — sur le sens dernier du jugement,
toute
la métaphysique chrétienne, et après elle toute philosophie qui postu
102
, toute la métaphysique chrétienne, et après elle
toute
philosophie qui postule la transcendance de l’éternel, répondent : ce
103
tion biblique nous le confirme, qu’à l’origine de
tout
mouvement des corps, il y a comme un appel de la lumière. La première
104
soit » est aussi le premier moteur de l’univers.
Toute
substance que la lumière vient toucher, aussitôt se meut et se forme,
105
élan vers la lumière — ou pour la fuir — par quoi
tout
se révèle et se manifeste à la vue, — ou bien dans le néant comme se
106
le néant comme se perdent les astres morts. Donc,
tout
ce que nous voyons a vu ; et tout, d’abord, a été vu par la lumière c
107
es morts. Donc, tout ce que nous voyons a vu ; et
tout
, d’abord, a été vu par la lumière créatrice. « L’œil ne verrait pas l
108
s peu27. Et c’est ainsi que la physiologie dévore
tout
ce que la métaphysique avait laissé du psychologue, qui devient un si
109
parole. Mais les mystiques et les poètes ont, de
tout
temps, depuis l’Incarnation, connu ce grand mystère de la vision. C’e
110
vas, ni pourquoi tu vas, entre partout, réponds à
tout
. On ne te tuera pas plus que si tu étais cadavre”. Au matin j’avais l
111
ion, mouvement de l’amour. Augustin qui, plus que
tout
autre, a parlé de la « beauté » de Dieu, savait que vision et amour s
112
ci et là, ridée froissée, et rendue émouvante par
toutes
ces marques où se lit notre histoire… Cependant le regard qui se risq
113
iner, c’est se placer dans la perspective même de
toute
genèse spirituelle, dans l’axe de la personne en exercice, dans le dr
114
esprit, au lieu très saint de notre humanité. Ici
tout
est réel, tout est action et résistance, tout est drame. Et les corre
115
très saint de notre humanité. Ici tout est réel,
tout
est action et résistance, tout est drame. Et les correspondances sont
116
Ici tout est réel, tout est action et résistance,
tout
est drame. Et les correspondances sont embrassées d’un seul regard. L
117
ation qu’on éprouve en présence de cette forme de
toutes
les formes que nous offre la face de l’homme, il faut entendre qu’ell
118
liers d’une étude physiognomonique, la vision que
toute
étude de cet ordre suppose et développe. Je voudrais maintenant entra
119
diquerai l’ordre de la marche. Premier principe :
Tout
ce qui est réel est moteur, et donc informateur ou créateur de formes
120
fierait, pour un homme entièrement spirituel, que
tout
ce qui est réel se voit. Ce qui signifie plus modestement, pour nous
121
catégories morales ou sociales que nous croyons «
toutes
naturelles ». Une forme peut être seulement interprétée, symboliqueme
122
ès près de l’Organismusgedanke qui est la clef de
tout
le romantisme allemand de cette grandiose conception d’un univers où
123
and de cette grandiose conception d’un univers où
tout
est correspondance organique, où la réalité naît de l’union des contr
124
’analogia entis que Karl Barth poursuit à travers
toute
son œuvre. Ce qui subsiste de l’Organismusgedanke, une fois cette con
125
événement — tensions instituées entre des motifs
tout
contraires, dont la coïncidence définit la personne. Tensions qui d’a
126
prêter à rien d’autre : Les Affinités électives.
Tout
y est formes, actions, symboles ; et tout est vision créatrice. Goeth
127
ctives. Tout y est formes, actions, symboles ; et
tout
est vision créatrice. Goethe est un œil. Et le chant de Lyncée sur sa
128
che, non moins que ceux de Goethe, surent voir en
toutes
choses « le charme éternel » qui les crée. Ouvrez donc au hasard tel
129
structeur, je vois comme son regard se repose sur
tout
ce qui, près et loin, est construit autour de lui, et aussi sur la vi
130
, la mer et la ligne de ta montagne, et comme sur
tout
cela, par son regard, il exerce sa puissance et sa conquête… Et le Z
131
ux de la psychologie de laboratoire. Mais presque
toutes
les interprétations qui ont eu cours dans ce domaine, jusqu’à Freud y
132
p. 25.) 31. Il convient de débarrasser ce mot de
tout
pathos romantique. Le drame, c’est proprement l’action, en tant que m
133
même différence : l’ON s’interdit, dans sa revue,
toute
espèce de polémique, de réponses à ses contradicteurs, de critique li
134
uvement, mais nous croyons avoir, pour le moment,
tout
autre chose à faire. Dans les 32 pages de notre revue, nous ne pouvon
135
nt les 180 pages mensuelles d’ Esprit . Rien dans
tout
cela qui empêche une collaboration, — au contraire, et je suis bien p
136
déclarations aussi franches et pourtant pures de
toute
espèce de hargne. (On perdait un peu l’habitude de cette fière polite
137
ur son œuvre, estimant s’acquitter de la sorte de
tout
ce qu’il doit, en principe, à César. Sans préjudice d’une prise de po
138
pprouve ce que dit Montherlant sur l’inutilité de
tout
service — à condition que le sentiment poignant de cette vanité final
139
le concours des deux qui est vrai. L’œuvre avant
tout
? Oui, mais toute œuvre est une action, et c’est le contenu de cette
140
deux qui est vrai. L’œuvre avant tout ? Oui, mais
toute
œuvre est une action, et c’est le contenu de cette œuvre, ou l’object
141
u l’objectif de cette action, qu’il importe avant
tout
de connaître. Et non pas seulement que l’auteur a su se mettre en con
142
lifié d’homme de la Renaissance, ne serait-il pas
tout
aussi bien — s’il refuse le siècle précédent — un contemporain spirit
143
esprit de saisir avidement et de me dessaisir de
tout
ce que la jouissance me promet d’être heureux, ce qui fait qu’il ne m
144
les deux ont pris soin d’avouer ! Certes, il y a
toutes
les différences que l’on voudra, mais pas si fortes qu’elles ne nous