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la rejette, rejette aussi sa raison d’être et sa
vocation
prophétique. Il existe, dira Karl Barth, dont la théologie procède ic
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droit sur nous en tant que personnes, en tant que
vocations
. Surtout, jamais un succès politique ne pourra, pour nous, se confond
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oprement protestant. La doctrine calviniste de la
vocation
ou des charismes nous y expose davantage que les catholiques, toujour
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s la mesure où l’objection est l’expression d’une
vocation
particulière, elle tend à échapper à la politique et sort du domaine
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core été manifesté », dit Jean. Et de même, notre
vocation
n’est jamais totalement incarnée. Entre la forme pure de notre vocati
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totalement incarnée. Entre la forme pure de notre
vocation
et la forme visible de notre visage, il y a le péché, et les abîmes d
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en son lieu, en son temps unique. Figure de notre
vocation
, forme informante de notre être et que voient « les yeux de la foi »,
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rche vers la plénitude. Deviner la forme de notre
vocation
, c’est aller au-delà des « apparences actuelles », mais dans les lign
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t c’est pourquoi il nous faut la chercher dans la
vocation
créatrice, non plus dans cette fonction sociale impersonnelle que rep