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eoisie est un mensonge. Car, dans la mesure où il
veut
être effectif, il doit accepter libéralement d’être radicalement supp
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er faire à d’autres, et par d’autres, ce qu’il ne
voudrait
pas faire, ni subir. C’est-à-dire qu’il se décide pour la police cont
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e réfugie la lâcheté bourgeoise. M. Durand-Dupont
voudrait
bien que nous nous engagions ici dans une apologie philosophique de l
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s, et de Hegel une leçon révolutionnaire que nous
voulons
tirer des seuls faits qui nous pressent. Et dès lors toutes les tares
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’est pas, Nizan, une querelle de personnes que je
veux
vous faire. Vous parlez au pluriel, en ce qui vous concerne, et vous
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à polémiquer sur des épithètes passe-partout. Je
voudrais
simplement vous rendre attentif à ceci : que ces généreux pluriels n’
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un jugement objectif sur ses doctrines. Ce que je
veux
dissiper, c’est le malaise créé chez vos lecteurs, — que vous l’ayez
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créé chez vos lecteurs, — que vous l’ayez ou non
voulu
, par la première partie de votre étude. Pour le reste, je ne puis mie
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ts, publiés par des revues littéraires. Peut-être
voulait
-on faire allusion aux exercices de rhétorique prolétarienne publiés i
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c’est à lui que désormais s’adresseront ceux qui
veulent
s’adresser à la jeunesse d’un pays. Ils trouveront enfin à qui parler
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de bruit sur les places. C’est que nous sommes et
voulons
être avant tout des doctrinaires. Cette volonté a scandalisé certains
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», c’est lui d’abord qu’il faut détruire si l’on
veut
tuer ces racines et surtout empêcher qu’elles ne se reforment. La néc
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e congestionner les énergies du pays. Ce que nous
voulons
, c’est rétablir sur le plan politique la tension nécessaire et créatr
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nt, il en est d’injustifiés. Et c’est ce que nous
voulons
déterminer d’abord. On nous a aussi reproché de n’être qu’un groupe d
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tagonismes naturels féconds et créateurs que nous
voulons
éliminer les antagonismes artificiels et destructeurs que fait naître
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’étranger, la réputation de « statisme » que l’on
veut
faire à la France d’après-guerre. Nos deux publicistes appartiennent
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vues comme L’Ordre nouveau ou Esprit . Ils ont
voulu
faire œuvre d’information d’abord mais aussi de critique constructive
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eine de faire l’éloge de ce livre. Parfois, je le
voudrais
tout autre. Tel qu’il est cependant, on n’en peut désirer de plus uti
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e extrême de la foi, c’est le chrétien tel que le
veut
Kierkegaard. Je soupçonne un peu Carl Koch d’intelligence avec l’asse
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poète ». Double reproche, plus grave que Koch ne
veut
le croire. C’est en vain qu’il s’efforce tardivement d’en limiter la
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le temps. Oui, c’est un « paradoxe étrange » qui
veut
que l’homme soit sauvé par sa perte. Mais que vient faite ici cette a
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trop tiède, et propre au plus à écœurer celui qui
veut
non la durée mais l’éternel, non la raison mais la révélation, non la
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t menteurs. N’est pas « témoin de la vérité » qui
veut
. Ce n’est pas là un choix de l’homme. Kierkegaard a choisi d’être « u
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ue je puisse donner cette réponse, loin de là. Je
voudrais
seulement les aider à prendre au sérieux leur question. J’écris pour
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à notre acte, humble et violent. Voilà ce que je
veux
. Mais je ne sais pas ce que je puis. Je ne sais pas pour combien d’ho
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it post-scriptum d’une atroce perfidie : P.-S. On
voudrait
bien savoir pour quelle espèce d’hommes on écrit, en fait, mais il fa
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opagande de l’opportunisme. C’est pourquoi, sans
vouloir
en rien sous-estimer l’analyse qu’Aron et Dandieu nous proposent des
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osent des notions d’échange10 et de travail, nous
voudrions
surtout insister sur la nouveauté d’un chapitre de doctrine tel que «
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ent alors dans l’illusion d’une synthèse qu’elles
veulent
croire transitive, conciliant les contradictions réelles sur le plan
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iption résignée des altérations du langage. Je ne
voudrais
pas clore ces quelques notes, qui sont loin d’épuiser la revue des pr
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: « L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur
veut
que qui veut faire l’ange fait la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il ne s
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n’est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui
veut
faire l’ange fait la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas
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ns, ou prend les moyens pour des fins ; la foi ne
veut
connaître que les fins, et en vient à dévaloriser les moyens. Ou enco
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ouveau, prendre parti. Comme le réactionnaire, il
veut
connaître l’homme tel qu’il est — seulement il le connaît mieux. Comm
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usions. II. Qu’avons-nous fait ? Le lecteur
voudra
bien considérer que ce qu’on vient de lui dire n’est pas original, et
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dans notre « politique du pessimisme actif ». Je
voudrais
décrire maintenant une attitude constructive à laquelle je me suis ra
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jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui
voulait
être flattée. Et ce n’est pas l’exaspération du ton qui mesure l’effi
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itualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont
voulu
voir en elle les critiques de droite et de gauche, victimes de la con
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lourdeurs, un péguysme parfois complaisant, — on
voudrait
faire l’éloge de ces gaucheries, songeant aux habiletés stériles, idi
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ne ON. Citons le Club de février, la ligue « Nous
voulons
». Inspirés par l’Ordre nouveau ils sont cependant autonomes. 18. Ti
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is qui ne sont pas à l’échelle du phénomène qu’on
voudrait
expliquer. A-t-on pris garde à ce fait simple et général : que la rév
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spectives qui rayonnent autour du mystère dont je
voudrais
maintenant m’approcher : la vision est un acte. Vision et visage
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es » au sens de l’indiscret moderne, de celui qui
veut
toujours pénétrer sous la forme, plutôt que de la voir, et qui se per
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toute étude de cet ordre suppose et développe. Je
voudrais
maintenant entraîner le lecteur dans une brève incursion à travers ce
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astiques. Ceci dans Aurore par exemple : Si nous
voulions
tenter une architecture d’après le mode de notre âme (nous sommes tro
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à des tentatives de réalisation dont Esprit n’a
voulu
donner, jusqu’ici, que les fondements moraux ou religieux, et certain
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souvent Mounier, « d’épurer », d’enrichir si l’on
veut
, l’action en cours. Et c’est à quoi s’emploient les 180 pages mensuel
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opos du 14 juillet (15 juillet 1935)v Certains
voudraient
nous voir prendre position dans la lutte qui met aux prises un Front
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ence seulement) un seul et même but concret : ils
veulent
une dictature, un « état fort ». La dictature mène à la guerre entre
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orte ; et c’est sur cela seul qu’on le jugera. Je
veux
savoir pourquoi un écrivain écrit : tous les plus grands l’ont dit et
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neur : « Lénine, qui donna dans l’enfantillage de
vouloir
modifier une forme de gouvernement… » Ce même goût du bonheur, chez l
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! Certes, il y a toutes les différences que l’on
voudra
, mais pas si fortes qu’elles ne nous permettent de prendre une vue pl
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: tant pis — qui a une belle allure. À quoi l’on
voudrait
bien pourtant que ne se réduisît point l’héroïsme français : ce n’est