1 er le reste — disons : la culture, l’esprit, et l’ âme si l’on y tient — il faut commencer par le nier. L’« esprit » du bour

2 t à un homme de gagner le monde, s’il perdait son âme  ? » Son âme, c’est-à-dire la conscience de son origine et de sa fin,

3 de gagner le monde, s’il perdait son âme ? » Son âme , c’est-à-dire la conscience de son origine et de sa fin, du sens même

4 s lieux-sombres-et-populeux où il faut pénétrer l’ âme basse et la petite enveloppe à la main. Tant d’autres disent : « Allo

5 Mais n’allons pas conclure trop vite. Les états d’ âme d’un malade ou d’un fou diffèrent-ils essentiellement des états d’âme

6 ’un fou diffèrent-ils essentiellement des états d’ âme d’un homme sain ? Ne sont-ils pas plutôt de simples fixations d’états

7 mauvaise pudeur provient de ce que le corps et l’ âme se distinguent de plus en plus, et cessent d’être reflets l’un de l’a

8 n de l’esprit. (L’esprit seul voit) Le corps et l’ âme chantent alors dans l’unisson de la chasteté. L’esprit offensif et jo

9 x de ce que l’on appellera plus tard le vague à l’ âme , — qui est aussi bien le vague au corps… Le roman d’Hoffmannsthal — c

10 manière subtile et précise qui en dit long sur l’ âme de ce peuple discret. C’est l’impression que je veux retenir pour le

11 e avec tous ceux qui veulent sauver non point nos âmes — c’est l’affaire de Dieu seul — mais bien la possibilité de vivre et

12 s, et les mêmes chiens qui reviennent, et pas une âme . « Vallée de l’ombre de la mort… étranger et voyageur sur la terre… »