1 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
1 re et de mouvoir effectivement les hommes. Cas de Nietzsche , des surréalistes, etc. Ce sont des êtres isolés, qui crient très for
2 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
2 ou moi. Je dirai : moi. Dussè-je tuer Dieu, comme Nietzsche a proclamé qu’il avait fait. L. — Comment le temps tuerait-il l’Éter
3 rsaires du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche , aboutit à un dilemme qui me paraît correspondre, terme à terme, à ce
4 dois » des chrétiens, qui est prononcé par Dieu, Nietzsche oppose le « je veux » de l’homme divinisé. Puis, à l’existence de Die
5 eraine, demeure entière. La différence, c’est que Nietzsche nous propose d’adorer un Destin muet, tandis que nous adorons une Pro
3 1937, Articles divers (1936-1938). « Subjectivité et transcendance », Lettre de M. Denis de Rougemont (décembre 1937)
6 a nature ». Voyez chez Goethe, chez Tolstoï, chez Nietzsche  : dans la mesure où elle est un élément de transcendance, la nature d
4 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
7 droit. » Où trouve-t-on cela ? Dans les livres de Nietzsche . Mais non pas encore dans l’Histoire ? Si ce n’est pas une utopie de
5 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
8 irrémédiable. Tous les autres, sauf Empédocle et Nietzsche , ont refusé de signer de leur sang le pacte qui lie le penseur à Méph
9 . Ce qui est certain, c’est qu’à la différence de Nietzsche , personne ne parviendra jamais à « utiliser » Kierkegaard pour des fi
6 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
10 e de volumes l’espace de dix ans : Kierkegaard et Nietzsche . Le premier était riche et dépensait sans compter85. Le second était