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t pourquoi nous vivons dans l’Histoire, et dans l’
absence
, ou dans la nostalgie des temps qui viennent ; c’est pourquoi nous n’
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e, quand celui de Schopenhauer s’évanouit en pure
absence
. 13. K. entend : en vertu de ce paradoxe impensable, l’Incarnation h
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, par le seul fait qu’il ruine le langage. Cette
absence
d’un principe communautaire vivant et puissant dans nos vies, c’est l
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e s’adresse à mon hypocrisie, à ma lâcheté, à mon
absence
de foi, mais non pas du tout à la foi. Car la foi, dit Luther, est ‟u
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l n’y a pas de socialisme en Asie, cela tient à l’
absence
du christianisme. » Je note ici, à l’appui des dires de de Man, que l
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lus, il n’agit plus. Ce qu’on « entend », c’est l’
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de l’esprit, c’est l’appel aux instincts, aux intérêts urgents, presq
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u, — s’il n’y avait, au centre de lui-même, cette
absence
. En tout pareil aux autres, sauf en ce je ne sais quoi qui n’est rien
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ns alors à notre mythe : la transparence, c’est l’
absence
d’ombre, donc de secret. Or le secret « sacré » étant le lieu de la c
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ée au grand jour non son secret, mais justement l’
absence
en lui de son secret, sa transparence : spirituellement, ou de quelqu
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partement, reculent bientôt devant l’énormité — l’
absence
de normes — de la vie telle qu’ils la découvrent. Ils se rendorment,