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chemin ; mais je vois des visages fraternels où s’
agitait
la foule confuse et menaçante. Nous ne voyons aucun visage ailleurs q
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e sur les élans révolutionnaires spasmodiques qui
agitent
l’humanité (comme en 1789 et en 1917), il faudrait que l’homme soit d
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rel ? Sentez-vous, à la lire, quelque chose qui s’
agite
en vous, entre le rire, l’inquiétude, et le dégoût ? Partagez-vous ma