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nce extravagante. Derrière cette psychologie de l’
angoisse
quotidienne, l’on pressent chez Kafka des intentions morales, une phi
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l’absolu moral et religieux, sa psychologie de l’
angoisse
dérivent sans doute de Kierkegaard, qu’il fut l’un des premiers à déc
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n but invisible aux mortels est une menace et une
angoisse
, au moins autant qu’une promesse. Une menace pour les « intérêts immé
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égligés au profit d’on ne sait quel futur. Et une
angoisse
contre laquelle il est fatal que l’on cherche à se protéger par quelq
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c’est-à-dire en changeant de plan, en allant de l’
angoisse
à la création, de l’impasse du désordre à l’ordre nouveau, la personn
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. En quoi cela peut-il consister ? Aucune idée. L’
angoisse
m’étreint. Je suis comme un enfant devant le mystère de « la vie… ».
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part, auquel on ne croit pas. (D’où sans doute l’
angoisse
qui pousse tant d’écrivains à gagner de l’argent, à entrer à l’Académ
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rdu son ombre, se promène parmi les hommes avec l’
angoisse
de voir révélée au grand jour non son secret, mais justement l’absenc
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blement, tournent autour de moi, me flairent avec
angoisse
, et fuient soudain en gémissant. J’ai des lettres à porter à l’autobu