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Staline, après vingt ans de pouvoir des Soviets,
annonce
une constitution qui renforce encore l’étatisme, et ne parle même plu
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t pourquoi son message nous est encore prêché. Il
annonçait
aux hommes non pas la haine et le cynisme — qui appartiennent à la fo
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eur transformation en Christ, venu au monde. Il n’
annonçait
pas un futur hypothétique, au nom d’une théorie ardue, mais une prése
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’une Personne vivante et de son amour éternel. Il
annonçait
l’homme changé. Trop beau tout cela ! Trop beau pour être vrai, dit l
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n de corriger sans cesse, de rectifier le message
annoncé
par la prédication et par les sacrements. C’est un acte d’obéissance,