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il travailla d’abord au service d’une compagnie d’
assurances
générales, puis d’une compagnie d’assurances ouvrières. Le travail ma
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ie d’assurances générales, puis d’une compagnie d’
assurances
ouvrières. Le travail manuel l’attirait ; il s’essaya dans un atelier
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et vis comme un chrétien : au jour le jour, sans
assurances
et sans préparation, à la grâce de Dieu, dans la confiance et l’inqui
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se. En vertu de cette « élection » dont ils ont l’
assurance
d’être l’objet, par une grâce périlleuse, et dans la foi, les calvini
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en fait. Je vois tous les espoirs et toutes les «
assurances
» de cette population balayée périodiquement par la faillite des entr
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la parlotte. Tout de suite, c’est la question des
assurances
qu’il aborde avec autorité, tout en tenant son doigt blessé droit en
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air, dans une attitude doctorale. La question des
assurances
est une question complexe, comme toutes les questions capitales. Les
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oigt en l’air, il passe en revue les compagnies d’
assurances
— et analogues — avec lesquelles il est en compte. Je dis compagnies
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lesquelles il est en compte. Je dis compagnies d’
assurances
, mais lui les nomme plus couramment « ces cochons-là ». Ces cochons-l
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par jour ». Pour se venger, il leur a retiré son
assurance
à lui, et l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les assurance
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l’a passée à d’autres. Il reste par bonheur : les
assurances
sociales, vie, décès, « avec doublage », vieillesse, accidents du tra
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. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des
assurances
sociales ont intérêt à assister à la conférence. L’organisation lutte
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de la décrocher un peu pour toucher davantage à l’
assurance
!) Il a bien fallu se rendre à l’évidence : ce sommier implacable res