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l faut le devenir. Et le problème, alors, devient
celui
de l’acte, c’est-à-dire de la création d’une possibilité nouvelle, sa
2
la forme des choses, — à la commune dégradation.
Ceux
qui ne croient pas à l’acte, c’est qu’ils ne connaissent plus aucun c
3
languit après ce commencement et bienheureux est
celui
qui dans sa fin possède son commencement ». Mais l’homme déchu de son
4
croyants, dont la vocation prophétique pareille à
celle
des hommes de Dieu qui se lèvent sous l’Ancienne Alliance, se confond
5
t imprévisible ; le nôtre, disons-nous, n’est pas
celui
de ces prophètes. Cependant la question demeure : comment agir, et co
6
ire, dans une sorte d’humour — dans l’aventure de
celui
que rien ne protège et la prudence de celui qui écoute, dans le tourm
7
re de celui que rien ne protège et la prudence de
celui
qui écoute, dans le tourment et dans la joie d’une découverte quotidi
8
temps en vertu de l’absurde 13. Et ce courage est
celui
de la foi. Par la foi Abraham ne perdit point Isaac ; c’est par la fo
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et qui veut prévenir l’orgueil. Mais la vision de
celui
qui agit n’est point un jugement des résultats, — des créatures ; ell
10
équence, il est toujours initiation. La vision de
celui
qui agit est tout entière absorbée par l’instant, par le passage de c
11
e de ce qui meurt à ce qui nait, — par le réel. «
Celui
qui doit agir, s’il veut juger de soi selon le succès qu’il remporte,
12
ance de l’homme : d’où l’impossibilité de l’oser.
Celui
que la foi vint saisir sait maintenant que l’acte est le contraire du
13
e de « la masse », alors que la foi véritable est
celle
du solitaire que plus rien ne soutient, hors la foi ? « Celui qui ne
14
itaire que plus rien ne soutient, hors la foi ? «
Celui
qui ne renonce pas à la vraisemblance n’entre jamais en relation avec
15
d peut connaître une rédemption par l’acte, quand
celui
de Schopenhauer s’évanouit en pure absence. 13. K. entend : en vertu
16
s uns tiennent le parti de l’esprit et les autres
celui
de l’ordre, les uns le parti de la révolution, les autres celui de la
17
re, les uns le parti de la révolution, les autres
celui
de la patrie… Les uns voudraient la liberté dans l’ordre, ou la révol
18
ur le seul mot : esprit, si j’interroge au hasard
ceux
qui veulent défendre « l’esprit » contre les menaces dites matérialis
19
l distingués les uns des autres par la plupart de
ceux
qui les prononcent. Ainsi révolution signifiera selon les cas : émeut
20
nt très fort parce qu’ils se sentent très loin de
ceux
qu’ils interpellent, et qu’ils traitent comme des sourds. 26. Contra
21
uppression future. Au contraire, il fait fusiller
ceux
qui en parlent. On vous répond que c’est une nécessité de la tactique
22
une réalisation des volontés de Dieu, contrariant
celles
du siècle, — soit la pensée, par une action45 qui ne peut être que ré
23
, la situation qui se présentait à Marx ? C’était
celle
de la Restauration. Professeurs et bourgeois libéraux, grands patrons
24
udra donc recourir à un autre ordre d’arguments :
ceux
que l’on dit « matérialistes ». Ce seront d’une part la violence prol
25
formule. Je résume et je simplifie ce processus :
ceux
qui prétendent réformer « l’intérieur » se gardent bien de toucher à
26
la « vérité » tactique du matérialisme vulgaire,
celui
que la presse bourgeoise a si beau jeu d’attaquer aujourd’hui — encor
27
lui, un mensonge absolu exactement symétrique de
celui
des idéalistes : la croyance que si l’on change l’ordre des choses, o
28
n préjugé absurde, une erreur non moins grave que
celle
des défenseurs de l’esprit pur : l’erreur qui porte l’homme à croire
29
ire cela. Bien plus, Marx vient lui démontrer que
ceux
qui prétendent le contraire, et qui prêchent que l’argent ne fait pas
30
e « le monde » qui l’a rejetée. Elle ne sauve que
ceux
d’entre les hommes qui refusent totalement ce monde et s’attendent to
31
chrétien sont humainement bien plus valables que
ceux
du chrétien au marxiste. En gros : si Marx se trompe et réussit, c’es
32
r un dialecticien ! Si tu dis que le chrétien est
celui
qui ne fait rien, tu prouves simplement que tu ignores tout du christ
33
les que présentent la volonté du vrai chrétien et
celle
du communiste militant, ont tenté la synthèse pratique des deux croya
34
hristianisme prépare un Royaume éternel, qui sera
celui
de Dieu, non de la Terre. Tous deux sont eschatologiques, en ce sens
35
et n’engage que certaines dispositions de l’être,
celles
-là précisément que l’avenir socialiste, la société sans classes, doit
36
t déifié. Cette situation n’est pas sans rappeler
celle
de l’Empire romain au premier âge du christianisme, telle que nous l’
37
ntés de Dieu. Nous réservons certaines activités,
celles
-là précisément dont le marxisme a dû faire sa spécialité, en vertu de
38
ue, nos affaires, nos intérêts dits matériels, et
ceux
des autres ! Exemple typique : l’auteur d’un des cantiques les plus p
39
e et à conquérir… Ainsi les annales d’Israël sont
celles
d’une puissance imprévue et humainement imprévisible, qui ne fut jama
40
nsignifiant ; vocation invisible et triomphante :
celle
que prêchent les prophètes au peuple et qui seule l’élève, l’assemble
41
sans relâche. Mais la pire des idolâtries, c’est
celle
qui prend pour objet de son culte la mesure même, la Loi en soi, abst
42
rands rigoristes, les savants docteurs de la Loi,
ceux
que le peuple honorait à peu près comme on le fit plus tard des Pères
43
onnée, tuant en Jésus-Christ au nom de la lettre,
celui
dont cette lettre préparait la venue, et qui seul lui donnait son sen
44
l’on voit que la culture la plus pauvre, qui fut
celle
du peuple hébreu, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l
45
é parfaitement bien établies, puisqu’il n’y a que
celles
qui n’ont pas cet avantage que l’on soit obligé de changer, lorsque l
46
e plus juste, plus excellente et plus sainte, que
celle
dont ce souverain Monarque de l’univers est l’auteur… Quelle forme de
47
— et parce qu’elle a perdu son sens en condamnant
celui
qu’elle annonçait. Christ apporte une nouvelle mesure, fondant ainsi
48
lui-même cette mesure, cette Alliance, et ce sont
ceux
qui adorent encore l’ancienne Loi, « déclarée vieillie », qui sont ma
49
de la vocation et le thème du peuple élu sont de
ceux
qui émeuvent le plus profondément la « sensibilité spirituelle » d’un
50
signalées entre le sort des tribus dispersées et
celui
du « petit troupeau » longtemps chassé de son pays ; ni les ressembla
51
spirituel, dans un monde incrédule et rebelle, de
ceux
que Dieu s’est « choisis » pour témoins, en tant que collectivité, pe
52
c possible de perdre sa vocation ? Et que devient
celui
qui la trahit, soit qu’il rejette ses ordres, soit qu’il la prenne po
53
ssible, c’est-à-dire ne peut être perdue, même si
celui
qui en est l’objet s’y oppose de toutes ses forces ! Car sa révolte m
54
vient à la conception ancienne : un chef hébreu —
celui
que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rudiments d
55
la sortie d’Égypte. Les prophètes seraient alors
ceux
qui rappellent le peuple au culte du vrai Dieu — contre les prêtres d
56
ntre les prêtres des dieux étrangers — mais aussi
ceux
qui dénoncent les excès du légalisme. 67. Livre II, chap. VI, trad.
57
ou efficacité, du langage des clercs, identique à
celui
des bergers. 70. Voir sur ce point : Colloque avec Salomon, par Albe
58
t-il pas entendre ceci de toute vocation, mais de
celle
par laquelle Dieu a adopté en son alliance la postérité d’Abraham : v
59
e serait exagérer, mais dans le sens contraire de
celui
qu’on imagine. Car on fait pis que de l’ignorer et même que de le méc
60
ou mieux : dans la totalité de l’être, revient à
celle
d’un christianisme qui se met au service de l’humain (j’entends bien
61
isé » par les efforts de la religion s’ajoutant à
ceux
de la raison), et d’un christianisme absolu, qu’on déclare volontiers
62
violents n’ébranlent plus que le « vieil homme »,
celui
qu’il nous faut dépouiller. Folie pour les sages Mais il s’en f
63
temps — que dire de Paul, bien plus ancien — tous
ceux
qui tiennent la prédestination pour un dogme immoral ou périmé ; ceux
64
prédestination pour un dogme immoral ou périmé ;
ceux
qui traduisent « Paix sur la terre aux hommes que Dieu agrée » par «
65
é, pour heurter de front le lecteur incroyant, ou
celui
qui ne partage pas la foi de Paul et des Apôtres. D’abord, le langage
66
n lui seul, la liberté. Mais cela n’apparaît qu’à
celui
qui ose aller jusqu’aux extrêmes de la connaissance de soi-même et de
67
ple absurdité. Mais alors, on peut se demander si
ceux
qui refusent le christianisme échappent vraiment à la difficulté ; ou
68
emme qui me paraît correspondre, terme à terme, à
celui
que Luther et Paul — et l’Évangile — posent à notre foi. C’est qu’il
69
tiennent plus compte de la crise du monde, et de
celle
de l’esprit dans ce monde. L’esprit s’est dégagé des coordonnées du m
70
minution qu’elle favorise en nous : ce mot serait
celui
d’inactualité, entendu, non pas au sens temporel, mais au sens de rup
71
lème, données qui sont par là même objectives, et
celles
sur lesquelles il faut que l’esprit s’appuie pour poser un problème q
72
ssaie de définir le saut, il ne sautera pas. Tous
ceux
qui ont pratiqué un minimum de culture physique connaissent ce genre
73
la certitude que l’analyse philosophique est avec
celui
qui ne peut pas sauter. Et c’est peut-être cela précisément que la sa
74
ment, de son accomplissement. C’est l’euphorie de
celui
qui éprouve simultanément la résistance d’un objet et la victoire sur
75
fie au maximum de sécurité, dans la conscience de
celui
qui agit. Nous appellerions volontiers cet instant le saint des saint
76
ention de l’homme « intérieur » suppose et permet
celle
du « robot » d’affaires. L’autisme est un fléchissement de la personn
77
restige du positivisme et du néo-pragmatisme qu’à
celui
du moulin à prières. Il est plus difficile de maintenir sur le qui-vi
78
ancières ou des partisanneries politiques qui est
celui
de la presse française, rend à peu près impossibles une documentation
79
mation d’État : Tass ou DNB sont aussi graves que
celles
d’un monopole privé) qu’il est à craindre qu’elle ne puisse s’accompl
80
n attaquant l’ensemble des trusts qu’on atteindra
celui
des journaux. Le but L’objet des « Clubs de presse », en même t
81
e nécessaire, est de fournir dès à présent à tous
ceux
qui en éprouvent le pressant besoin, les premiers éléments d’une info
82
on. Sur un terrain parfaitement précis et limité,
celui
de l’information, nous avons pensé que nous devions collaborer avec d
83
s. Ils prennent de préférence un sens contraire à
celui
de l’usage courant. (Staline dit : « Je ne suis pas un dictateur » ;
84
l n’est pas de problème politique plus urgent que
celui
des mots ; et qu’il n’est pas de problème culturel qui ne dépende de
85
contagieux » de nos genres littéraires, j’entends
celui
qui exerce l’influence la plus directe et la plus intime sur nos mœur
86
révolutionnaire cohérent. Il n’a qu’une crainte :
celle
de passer pour autre chose qu’un « pur artiste », celle de passer pou
87
de passer pour autre chose qu’un « pur artiste »,
celle
de passer pour un auteur à thèse, pour un propagandiste. Cette craint
88
propagandiste. Cette crainte — qui ne fut jamais
celle
des grands artistes — fait de notre romancier, tout simplement, le pr
89
toire de la littérature française de Thibaudetk :
celui
qui est consacré à l’après-guerre. II est vrai que beaucoup de noms y
90
anchise n’est pas possible.) De ces années, et de
celles
de la crise qui les suit, on ne retiendra guère que les bizarreries l
91
tion littéraire, après tout, ne fait que traduire
celle
de la société. Tous ces romans-cycles sont, en effet, des procès-verb
92
0 chômeurs pour une population de 2300 habitants.
Ceux
qui travaillent encore gagnent à peine de quoi se nourrir. Et j’entre
93
rs parents aux hasards de la rue, qui valent bien
ceux
de la famille, mais aussi aux hasards de l’éducation primaire, bienfa
94
es vieux célibataires assez fortunés, ou ascètes.
Ceux
qui n’ont plus besoin de calculer, ceux-là calculent. Et les autres a
95
, ce qui compte dans ce pays, c’est la religion —
celle
des ancêtres, tout au moins ! — l’éducation et le métier. C’est cela
96
ts sont souvent réactionnaires et se mêlent peu à
ceux
de la place. Enfin ceux qui sont occupés par l’imprimerie du journal
97
naires et se mêlent peu à ceux de la place. Enfin
ceux
qui sont occupés par l’imprimerie du journal local, par les garages o
98
i l’on y réfléchit, résume un drame. Ce drame est
celui
du langage dans notre société présente. Et c’est encore une fois le d
99
ts n’ont plus le même sens pour le peuple et pour
ceux
qui voudraient lui parler. Le petit exemple que je viens de citer, c’
100
x distances télescopiques que tout cela met entre
celui
qui parle et son public ! (Le « conférencier » en tournée se présente
101
1934 À N… la mairie est tout entière communiste.
Ceux
des habitants qui ne le sont pas ne savent pas trop ce qu’ils sont, à
102
’est un comique profond, lugubre et déprimant que
celui
du chrétien honteux, honteux d’une foi qu’il n’a pas ! Car s’il l’ava
103
leurs… Je voudrais définir le croyant véritable :
celui
qui sait qu’il ne croit pas aux dieux du monde, et qui le prouve. Com
104
, etc. Un geste résume toute la situation : c’est
celui
du coiffeur fameux, premier gagnant de la Loterie nationale, s’inclin
105
it pour ou contre, et il se méfie par principe de
celui
qui distingue et nuance. On ne tiendra jamais assez compte de cette o
106
âgés de 60 ans au mois de juillet 1930 29 . Tous
ceux
qui ne bénéficient pas de la loi des assurances sociales ont intérêt
107
sont si peu ! — et si possible, plus médiocre que
celle
des grands journaux d’information. On leur impose une mystique confec
108
és. Mieux encore, parlez-leur de leur travail, de
celui
qu’ils sont en train de faire tandis que vous causez, vous arriverez
109
e le mal vient de l’État — et cela veut dire : de
ceux
qui font les lois sans rien savoir des situations locales. Parfois il
110
politicien. La dictature est la seule solution de
ceux
qui refusent d’éduquer le peuple. Dictature ou éducation, voilà le di
111
urèrent les généraux de la Révolution, et qui fut
celle
de Bonaparte, n’est en somme que l’application du style français à la
112
is cela permet toutefois de comparer sa manière à
celle
de Lénine. Lénine affiche en littérature des goûts tantôt traditionne
113
aptise inspiration lorsqu’il excite ou crée, chez
celui
qui l’éprouve, le désir de s’en délivrer en l’exprimant. Et c’est ain
114
a preuve humiliante de la chair — humiliante pour
ceux
, du moins qui, plaçant la Raison dans le monde des dieux, voudraient
115
e sa pensée. Sa vision du monde serait exactement
celle
d’un philistin sympathique, d’un philistin sans exigences, et qui veu
116
. Je retiens donc de Freud cette constatation : «
Celui
qui, dans un domaine quelconque, est considéré comme anormal au point
117
r que Schlemihl est le type même de l’inadapté, —
celui
qui ne peut « trouver sa place au soleil », et qui ne subsiste dans l
118
état de Peter Schlemihl n’est-il pas comparable à
celui
d’un esprit et d’un corps sains après « l’amour » ? Durant quelques m
119
étant le lieu de la créativité dans la personne,
celui
qui a perdu son ombre, se promène parmi les hommes avec l’angoisse de
120
impératrice qui a perdu son ombre et qui emprunte
celle
d’une fille du peuple. Mais Andersen, comme on pouvait s’y attendre,
121
semaine, cela compte quand on n’a plus rien. Pour
celui
qui vit au jour le jour, il s’agit essentiellement d’éviter les lacun
122
t avec force recommandations ; et ils sont rares,
ceux
qui n’ont pas deux mots à dire par la portière entr’ouverte un instan
123
s faveurs que les femmes ont toujours accordées à
ceux
qui commandent et disposent, ne fût-ce que pour une heure, de leur vi
124
e action rapide. Mais loin de moi ces ambitions :
ceux
qui les ont n’en parlent pas, dit-on. Et je ne suis qu’un écrivain. C
125
n se proposait justement de combattre, et qui est
celle
de l’État totalitaire. Or, pour convaincre, il faut entre autres diss
126
personnaliste, je tiens que seule la foi réelle —
celle
qui agit, et non celle qui endort — donne à notre attitude son sens d
127
que seule la foi réelle — celle qui agit, et non
celle
qui endort — donne à notre attitude son sens dernier. Beaucoup de mes
128
n refuge pour les faibles et les sceptiques, pour
ceux
qui craignent de se perdre en s’engageant, et préfèrent la littératur
129
! Nous saurons très bien nous entendre avec tous
ceux
qui veulent sauver non point nos âmes — c’est l’affaire de Dieu seul
130
candale. Il décrivait la vie de Nynster. Était-ce
celle
d’un témoin de la vérité ? Non, s’écriait Kierkegaard : Un témoin de
131
ent des systèmes (qu’ils se garderont d’habiter).
Ceux
qui persistent cependant, s’aperçoivent que l’entreprise pourrait êtr
132
er. Mais, ayant tué en lui toute autre vanité que
celle
de haïr le temps — c’est là son dépit amoureux — Kierkegaard peut enf
133
mars 1662). Que dirions-nous alors du sort fait à
celui
qui doit se montrer aux hommes tel qu’il est ? S’entendre dire que l’
134
met en mesure d’approcher. L’épreuve décisive est
celle
que l’on subit au contact de voisins que rien en nous, que rien dans
135
l était à demi aveugle… Confort et culture. — À
ceux
qui n’ont rien, il faut donner du confort, afin qu’ils puissent conce
136
tence que la recherche d’un gain précaire. Mais à
ceux
qui ont quelque chose, il faut rappeler que la recherche du confort e