1
dinier s’appelle Simard, sa femme Marguerite, son
chien
basset Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de gu
2
rasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un
chien
furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est
3
ps ; on bien l’on écrit simplement pour gagner sa
chienne
de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse q
4
age, illuminées comme un décor blanc et vert. Des
chiens
surgissent des coins d’ombre, aboient horriblement, tournent autour d
5
pas, si proche dans les rues vides, et les mêmes
chiens
qui reviennent, et pas une âme. « Vallée de l’ombre de la mort… étran