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iné que par son Dieu ou par « le monde », il faut
choisir
. Il faut être un chrétien ou un bourgeois. Le bourgeois est sans voca
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arti contre le régime communiste. On nous donne à
choisir
entre deux sortes de matérialisme. Mais le communisme, au moins, voul
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st vrai de la biographie d’un homme que l’Éternel
choisit
n’est pas moins vrai de l’histoire profane des Juifs, porteurs eux au
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de incrédule et rebelle, de ceux que Dieu s’est «
choisis
» pour témoins, en tant que collectivité, peuple ou église. En vertu
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alors se joue de moi indignement ! Il faudra donc
choisir
: Dieu ou moi. Je dirai : moi. Dussè-je tuer Dieu, comme Nietzsche a
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crédules, aux plus avilies, à ces jeunes gens qui
choisissent
le néant et la folie avec Ivan Karamazov, comme d’autres s’étaient su
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un auteur, d’influencer le public par des moyens
choisis
, et de lui transmettre une certaine vision du monde plus profonde, pl
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um. S’il fallait à tout prix reprendre les termes
choisis
par M. Beausire lui-même pour définir notre attitude, je dirais : Le