1 matérielle, elle est d’abord cette inquiétude du cœur et de l’esprit qui naît de la mort des amitiés. Plus angoissante enco

2 ndi d’un désespoir qu’il sent vivre dans tous les cœurs . L’homme d’aujourd’hui méprise les religions. Il sait ce qu’il faut p

3 es ? Ce problème n’est pas gratuit : il touche au cœur de la foi réformée. Or c’est lui justement que traite saint Paul au c

4 nous lorsque l’Esprit dit : la Parole dans notre cœur . Quelle étrange illusion nous ferait croire qu’une décision de l’Éter

5 adoxe que Luther n’a pas inventé, mais qui est au cœur même de l’Évangile. L’apôtre Paul l’a formulé avant toute « tradition

6 humaine, le lieu de la pureté, si la « pureté du cœur  », comme le veut Kierkegaard, c’est le vouloir unique, unifiant l’êtr

7 ition. Ils vous diront aussi qu’ils n’ont plus le cœur à leur ouvrage, quand ils savent que les résultats sont à la merci so

8 Vous avez pu germaniser nos plaines Mais notre cœur — vous ne l’aurez jamais ! Dans un article de 1922, il loue cependan

9 écarter les conseils de pitié que me dictait mon cœur . Signalement de Peter Schlemihl Peter est un naïf : il croit à

10 ité paraît se déplacer dans le cerveau ou dans le cœur . La pudeur aussitôt affecte la pensée, les sentiments. On parle « d’é

11 atin. En effet, Pédenaud, qui a voulu en avoir le cœur net, a pris des instructions par téléphone au chef-lieu. Son supérieu

12 difficile parce qu’il est simple. « La pureté du cœur , c’est de vouloir une seule chose », écrit-il. Mais cette seule chose