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r en droit, il travailla d’abord au service d’une
compagnie
d’assurances générales, puis d’une compagnie d’assurances ouvrières.
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’une compagnie d’assurances générales, puis d’une
compagnie
d’assurances ouvrières. Le travail manuel l’attirait ; il s’essaya da
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cuisine, le doigt en l’air, il passe en revue les
compagnies
d’assurances — et analogues — avec lesquelles il est en compte. Je di
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logues — avec lesquelles il est en compte. Je dis
compagnies
d’assurances, mais lui les nomme plus couramment « ces cochons-là ».
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sa place au soleil », et qui ne subsiste dans la
compagnie
de ses semblables que par un subterfuge toujours menacé. D’une incomp
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ui ne soit desservi par une ou deux ou même trois
compagnies
de transports locaux. Depuis que j’ai quitté Paris, j’ai bien utilisé