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écisément, l’état de Peter Schlemihl n’est-il pas
comparable
à celui d’un esprit et d’un corps sains après « l’amour » ? Durant qu
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-huit-cents ans de christianisme, une seule tâche
comparable
à la mienne. Dans la ‟chrétienté”, elle apparaît pour la première foi
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s villes, rouge et circulante, pleine de rumeurs,
comparable
à la fièvre. Plus lucide souvent que les jours. Ici, tout repose comp