1 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
1 grand nombre que jamais, et ne se disent rien qui compte . « Paroles vaines, serments faux ! » Or, quand la parole se détruit,
2 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
2 soire, instrumental, qu’il doit servir au bout du compte la vérité ­­— laquelle contient aussi l’« esprit » — bref qu’il n’est
3 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
3 il puisse se donner des lois qui ne tiennent plus compte de la crise du monde, et de celle de l’esprit dans ce monde. L’esprit
4 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
4 mais seulement à leur religion. En vérité, ce qui compte dans ce pays, c’est la religion — celle des ancêtres, tout au moins !
5 propriétaires ou des ouvriers travaillant à leur compte . — En somme, vous vous entendez bien avec eux ? — Ils savent que je s
6 rances — et analogues — avec lesquelles il est en compte . Je dis compagnies d’assurances, mais lui les nomme plus couramment «
7 bre de sept ou huit. Il en totalise sept pour son compte , et sa dame fait le petit appoint. Elle s’est « coupé » la jambe, cel
8 i distingue et nuance. On ne tiendra jamais assez compte de cette opposition fondamentale. Peut-être ferais-je bien, à l’aveni
9 supposer que l’envie m’en prenne. Tout ce que je compte dire dans mon journal, c’est qu’on peut être très content d’un sort m
5 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
10 es et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un coulo
11 s couverts de puces. J’exagère à peine : pour mon compte , j’en ai pris sept sur mon pyjama dans l’espace de deux minutes, ce q
12 t un mois. Or, un mois, ou même une semaine, cela compte quand on n’a plus rien. Pour celui qui vit au jour le jour, il s’agit